II y a des pluies contre lesquelles les parapluies sont inefficaces. Quand il tombe… des poissons, mieux vaut un bon filet de pêche ! Depuis des siècles, on rapporte des histoires de poissons tombés miraculeusement du ciel. Sans pouvoir assigner à ce phénomène une cause précise.
voir aussi plus recent http://fr.wikipedia.org/wiki/Pluie_d%27animaux
http://secretebase.free.fr/etrange/pluieanimaux/pluieanimaux.htm
http://www.paranormal-encyclopedie.com/wiki/Articles/Pluie_d_animaux
Bizzare non ? en fait je crois que l’homme n’a pas encore compris grand chose de notre terre et que dire donc de notre univers et de la nature ?
Le 16 février 1861, un violent tremblement de terre secoue la presqu’île de Singapour. Pendant trois jours, la pluie tombe sans interruption. Quand elle s’arrête, un étrange phénomène attire l’attention du naturaliste François de Castelnau, qui écrit ensuite dans un rapport à l’Académie des sciences : « A dix heures du matin, le soleil se leva et, de ma fenêtre, je vis un grand nombre de Malais et de Chinois emplir leurs paniers de poissons, qu’ils ramassaient dans les flaques d’eau qui recouvraient le sol. Lorsqu’on leur demanda d’où venaient ces poissons, ils répondirent qu’ils étaient tombés du ciel. Trois jours plus tard, quand les flaques eurent séché, on y découvrit de nombreux poissons morts. »
Le 23 octobre 1947, le docteur A.D. Bajkov prend son petit déjeuner à Marksville,une petite ville de Louisiane. Une averse survient, après laquelle il remarque des poissons qui gisent le long des rues. Selon son témoignage, il y a des poissons-lunes, des vairons et même des perches longues de plus de 20 cm.
Le 9 février 1859, à Mountain Ash, au pays de Galles, John Lewis travaille sur un chantier de bois de charpente. Soudain, à 11 heures du matin, il reçoit sur la tête une pluie de petits objets. L’un de ces objets lui tombe sur la nuque : « En passant la main le long de mon cou, a-t-il raconté, quelle ne fut pas ma surprise de découvrir qu’il s’agissait de petits poissons ! A ce moment-là, je réalisai que toute la surface du sol en était recouverte. J’enlevai mon chapeau : les bords en étaient pleins. Ils sautaient dans toutes les directions… Le hangar et les branches voisines en étaient couverts.!Mes collègues et moi aurions pu en ramasser des seaux entiers. Il y avait eu deux averses, mais le vent ne souffiait pas très fort. Il y avait juste une sorte d’humidité naturelle …
Le 4 avril 1975, à la frontière indo-birmane, Ron Spencer est pris sous une bourrasque de pluie due à la mousson : « Des choses commencèrent à me tomber dessus, at-il expliqué, et, regardant autour de moi, je pus voir des myriades de petites formes qui se tortillaient sur le sol et des milliers d’autres qui étaient chassées des toits par l’eau et qui se déversaient dans les canaux pour finalement parvenir dans les rizières. C’étaient des petits poissons de la taille d’une sardine. Je n’ai pas besoin de dire qu’il n’en est pas resté un seul après la fin de la tempête : les insectes nécrophages avaient fait leur travail en quelques instants.
A l’heure actuelle, il n’existe aucune étude complète sur ce phénomène de
«( pluies de poissons »). Il ne semble dépassé en quantité que par les chutes de batraciens, grenouilles ou crapauds. D’après le docteur E.W. Gudger, du Muséum d’histoire naturelle des États-Unis, on compte 78 relations fiables en 2350 ans dont 17 viennent des Etas Unis, 13 de l’Inde, 11 de l’Allemagne, 9 de l’Écosse, 7 de l’Australie et 5 d’Angleterre. Pour sa part, Gilbert Whitley, un chercheur australien, a recensé plus de 50 de ces pluies pour la période 1879-1971.
On sait que les trombes et les tornades éparpillent tout ce qu’elles ont aspiré sur leur passage. Dans le cas de la chute de poissons rapportée par John Lewis, à Mountain Ash, la chute a été limitée à une surface de 70 m de long sur 10 m de large.
D’autres pluies de poissons paraissent confirmer cette extrême précision du phénomène. En 1839, au sud de Calcutta, un témoin affirme : « Ce qui m’a le plus surpris, c’est que le poisson est tombé sur une ligne droite, qui n’avait pas cinquante centimètres de large… »
D’autre part, les tourbillons et les tornades ne restent jamais longtemps au même endroit. Il existe de nombreux témoignages de la durée anormale en cas d’explication de poissons par une trombe d’eau des chutes de poissons. Le 24 août 1918, le biologiste A. Mee: rapporte avoir vu une chute de dix minutes sur une toute petite surface.
De même, pour expliquer quelques pluies vraiment hors du commun, il faudrait admettre l’existence de plusieurs trombes d’eau successives. A Mountain Ash, par exemple John Lewis affirme avoir subi deux averses de poissons d’une durée de deux minutes à dix minutes d’intervalle !
Enfin, l’état dans lequel ces mystérieux poissons arrivent sur le sol pose un problème. Dans de nombreux cas, les poissons sont frais et vivants. Dans d’autres cas sont morts, mais encore comestibles. Quelques témoignages, cependant, font état de poissons morts et desséchés. A Futterpoor à Allahabad, en Inde, on a rapporté la chute de plusieurs poissons secs. A Essen, en Allemagne, on a, par contre, assisté à la chute en 1896, d’une carpe congelée dans un bloc de glace ! Comment expliquer que des poissons aient pu rester en l’air assez longtemps pour être desséchés ou bien pris dans la glace ?
Curieusement, la plupart des poissons ainsi tombés à terre ne paraissent pas, quand ils sont vivants, avoir souffert de leur chute ni d’un contact brutal avec le sol…
La plupart du temps, ces poissons son de la même espèce. Il y a pourtant des exceptions on a ainsi relevé ce qui confirmerait la thèse d’une trombe d’eau aspirant tout sur son passage jusqu’à sept espèces différentes. Mais comment expliquer qu’on trouve, dans ces pluies de poissons, des espèces qui ne se rassemblent pas en bancs des espèces de poissons solitaires ? Et comment expliquer, dans l’hypothèse de la trombe d’eau, qu’il n’y ait aucun débris avec ces poissons?
Charles Fort, le célèbre « collectionneur de faits inexpliqués, a émis l’hypothèse selon laquelle ces chutes de poissons seraient dues à un phénomène de téléportation animale Les poissons se transporteraient ainsi d’un endroit où ils abondent à un autre point.
S’ils arrivent au bon endroit, cela éclaircirait le cas étrange de ces étangs fraîchement creusés et déjà pleins de poissons adultes. Dans le cas contraire, on expliquerait leur fraîcheur après une pluie, quand abondent sur un sol duquel ils donnent l’impression d’avoir surgi…
L’hypothèse de Charles Fort ne peut être infirmée, faute de pouvoir fournir, à l’heure actuelle, une explication satisfaisante à ce phénomène d’une incontestable réalité. Si elle peut expliquer certains cas particuliers l’hypothèse de la trombe d’eau reste bien insuffisante. Devant un tel mystère de la nature (mais est-ce bien de la nature qu’il s’agit ?), notre rationalisme scientifique se fait soudain très humble.
L’une des plus anciennes relations connues de ces chutes de poissons date du 11eme siècle de notre ère. Dans les Deipnosophistai, compilés par le Grec Athénée, on trouve : « Je sais également qu’il a plu des poissons. En tout cas, Phoenias, dans le livre II de son Eresian Magistrates, déclare que, dans le Chersonèse, il a plu des poissons pendant trois jours consécutifs. Phylarque, dans son quatrième livre, déclare que les gens ont souvent vu pleuvoir de ces poissons. »
Jusqu’à présent, personne n’a été capable d’avancer une explication satisfaisante à ce phénomène. En général, il est admis que l’on se trouve en présence de poissons arrachés à des plans d’eau par des tornades et des trombes d’eau, élevés jusque dans les nuages orageux par des tourbillons de vent, et qui finissent par retomber sur terre.
Cette hypothèse souffre pourtant de plusieurs contradictions, et ne peut rendre compte de l’ensemble des observations. Elle est néanmoins la meilleure parmi celles qui ont été avancées. Tout a été dit à propos de ces pluies étranges : que le phénomène était dû à la migration des poissons (?), qu’il s’agissait de poissons échappés du bec d’oiseaux aquatiques (par seaux ?), que ces poissons venaient de crues brutales (!) des rivières et même qu’ils hibernaient dans la boue et que les pluies les éveillaient (!)…
Evidemment, aucune de ces explications, même si elles peuvent rendre compte de quelques cas de chutes de poissons, ne peut prétendre à les rendre tous intelligibles.
Même l’hypothèse de la trombe d’eau est incapable d’expliquer la localisation précise
une baleine grise en …Israel
L’apparition d’une baleine grise au large d’Israël n’en finit pas d’étonner les scientifiques, l’imposant mammifère n’ayant pas été aperçu hors de l’Océan pacifique depuis quelques siècles.
La baleine, repérée pour la première fois samedi en Méditerranée au large d’Herzliya (centre), a probablement parcouru des milliers de kilomètres en provenance du Pacifique Nord après s’être perdue en cherchant de la nourriture.
« C’est un événement incroyable, présenté comme l’un des plus importants repérages de baleine jamais réalisé », commente le Dr Aviad Scheinin, président du Centre de recherche et d’assistance pour les mammifères marins d’Israël.
« Ce qui a stupéfié la communauté des chercheurs toute entière, c’est qu’il n’y a pas eu de baleine grise dans l’Atlantique depuis le XVIIIe siècle », dit M. Scheinin. Les baleines grises vivent actuellement dans les secteurs occidental et oriental du Pacifique Nord.
Pacifique Nord
La baleine, un male mûr mesurant environ 12 mètres et pesant une vingtaine de tonnes, a vraisemblablement gagné l’Atlantique via le Passage du Nord-Ouest, un passage maritime reliant le Pacifique à l’Atlantique en passant entre les îles arctiques du grand Nord canadien, normalement recouvert de glace, avant de terminer en Méditerranée.
« On a un animal censé vivre dans le Pacifique et comme la glace de l’Arctique est en train de fondre, il a réussi à emprunter ce corridor près du détroit de Bering », a ajouté le Dr Scheinin. Normalement, les baleines grises quittent le nord-est du Pacifique pour le Sud aux alentours d’octobre, à la recherche des eaux plus chaudes du Golfe de Californie, soit un aller-retour d’au moins 5.000 km.
Mauvaise route
A l’automne, la baleine « perdue » a pris la route du Sud dans l’intention de « tourner à gauche » dans la baie de Californie. Au lieu de quoi, elle s’est retrouvée dans l’Atlantique et a « tourné à gauche » à Gibraltar pour finir en Méditerranée, selon le Dr Scheinin.
« La question est désormais la suivante: allons nous assister à une recolonisation de l’Atlantique? », se demande-t-il. En attendant, la baleine semble se trouver bien là. « Elle est plutôt maigre, ce qui tend à montrer que le voyage fut difficile mais nous pensons qu’elle peut survivre ici », dit-il. (afp)
11/05/10 22h40
Quand je clique sur votre lien [quote]http://fr.wikipedia.org/wiki/Pluie_d’animaux[/quote]
il y a mon client email qui s’ouvre.
Je pense bien que ce phénomène est paranormal, il n’y a pas eu de trombes d’eau dans le Var depuis plusiurs mois…