Les nouveaux pères sont des pères comme avant à ceci de différent qu’ils ont plus de jours de congé, qu’ils peuvent maintenant poser des jours pour une naissance, ont droit à un congé paternité mais aussi au congé parental d’éducation.
Les nouveaux pères changent les couches, habillent les enfants, se chargent de donner le bain, de procurer les soins et ont plus de temps pour jouer avec eux, font un peu de ménage et prennent pour certains plaisir à faire la cuisine. Ils sont les précieux alliés des mamans débordées, qu’elles travaillent ou non !
Mais qui était cet « ancien » papa ? Il était celui qui ramenait l’argent à la maison, père nourricier par excellence. Il était le symbole de l’autorité. Celui dont les enfants adoraient le retour à la maison le soir après une dure journée de travail mais aussi celui tant craint par ses enfants car tout devait « filer droit ».
Les nouveaux pères se dévoilent un peu plus. Il osent parler de leurs sentiments. Ne sont plus seulement que cette fameuse autorité. Ils vont chercher les enfants à l’école, prennent des jours de congé pour garder leur enfant malade, amènent leur progéniture chez le pédiatre et osent s’attarder aux rayons bébés des supermarchés.
Certains d’entre eux s’arrêtent même de travailler pour garder leur tout petit pendant que maman ramène l’argent du ménage. Ce sont parfois des pères qui ont la garde exclusive de leur chère progéniture lors d’un divorce et qui osent désormais se battre pour obtenir la garde de leurs enfants alors que les préjugés ont la peau dure… « un enfant ce doit être gardé par sa mère ». La justice donne maintenant plus que de crédit à ces pères qui souhaite une garde alternée ou encore une garde exclusive.
Leurs droits et devoirs ont changés parce que les mœurs ont évolués. Chose inenvisageable avant, certains papas élèvent leur enfant avec leur moitié masculine (couples homosexuels).
Loin de remplacer la mère, le nouveau père est un précieux allié, tout en tendresse et en démonstration. Ils viennent compléter l’éducation des enfants par un nouvel angle. Les gestes sont différents de ceux de la mère. Par ailleurs, le père permet à son enfant de se « détacher » de la maman tout en douceur, créant ainsi une ouverture vers le monde extérieur .
Les nouveaux pères content à merveille les histoires au moment du coucher mais là où ces papas sont tout de même les plus forts, c’est pour réconforter un tout petit la nuit à la suite d’un cauchemar… « papa est là, il te protège » !
Pour ma part, j’aimais beaucoup nos anciens papas et j’adore les nouveaux. Nos « anciens » pères, loin d’être des êtres insensibles, nous transmettaient d’autres valeurs, qui ont fait de nous ce que nous sommes aujourd’hui. Mais il faut avouer que les papas se sont modernisés à l’instar des mamans qui travaillent et qui font carrière. Et ces papas là, loin de se féminiser, sont beaucoup plus investis d’un point de vue familial et social, au plus grand bonheur des leurs chers petits.
Je n’aime pas cette formulation malheureuse : « loin de remplacer la mère ». Le but d’un père de famille n’est pas de remplacer la mère et inversement ! D’autre part, s’il existe des « nouveaux pères », il n’existe pas de « nouvelle justice familiale », et en cas de divorce les enfants continuent d’être confiés à la mère dans 85% des cas. Ceci porte préjudice aux enfants. Dans 30% des cas, les enfants ne voient plus du tout leur père au bout de 3 ans. Chaque année des centaines de pères de famille se suicident… Outreau n’est qu’un détail, à coté des conséquences de la justice familiale. Evitez de raconter n’importe quoi dans vos articles, faites des recherches et indiquez les chiffres (vous n’avez fait aucune recherche !).
notre société française « post-moderne » a exclu le Père (dans les sens symbolique et concret du terme) et s’étonne de voir sa jeunesse sans repère devenir ultra-violente et ayant perdu toutes les valeurs humaines positives (respect, empathie, courage, etc…). On « interdit d’interdire », les pères ont toujours tord dans les divorces, certaines femmes vont même lancer des faux-témoignages contre eux pour les gardes d’enfant, des déchirements qui ne font que traumatiser les enfants, leur inculquer la haine, etc… Mais, bien sûr, on ne fait rien pour corriger cela, on attend la barbarie et le chaos!?
exemple concret que je connais: un jeune de 17 ans est incarcéré à multiple reprises pour actes de délinquance. Il se rend compte ensuite que ces actes sont faits pour se punir, pour punir sa mère avec laquelle il vit et pour appeler au secours son père. En effet, lors du divorce alors qu’il était encore enfant, sa mère lui a dit de déclarer que son père lui aurait fait des attouchements, ce qui a valu de la prison d’ailleurs (au père). Notre bonhomme nous a déclaré qu’il ne s’était en fait jamais rien passé…
Bonjour Dioxyde.
Je trouve votre avis très intéressant et je tiens à vous répondre. J’aurai aimé connaitre votre expérience en la matière avant de répondre mais bon…
Tout d’abord, mon article n’apparait pas dans une rubrique scientifique et c’est volontaire de ma part! Mais votre connaissance des statistiques en matière de divorce et de parité quant à la garde des enfants m’interesse beaucoup.
Par ailleurs, si vous lisez bien mon article, vous comprendrez le message suivant : un père a un rôle ESSENTIEL dans l’éducation de ses enfants. Ma formulation est peut être maladroite, je vous l’accorde mais je précise dans la suite de l’article que les 2 parents sont complémentaires et l’on ne peut en aucun cas remplacer ni le père, ni la mère!
En ce qui concerne la justice, l’évolution des mentalités a permi de voir, grâce à la loi du 4 mars 2002 portant sur la reconnaissance du droit de garde en résidence alternée, la fin de la prohibition du droit de garde coparental. Je suis navrée de vous le dire mais il s’agit bien là d’une évolution reconnaissant le droit aux 2 parents de garder leur enfant conjointement.
Là où je vous rejoins, c’est sur le fait que malheureusement les tribunaux ne reconnaissent pas encore les pères « aptes » à garder leur enfant de manière exclusive. Je n’y suis pas particulièrement favorable non plus dans la mesure où l’enfant a besoin des 2 parents et pas seulement d’1 seul de manière exclusive!
Pour finir, je ne pense pas raconter n’importe quoi puisqu’il s’agit de nombreuses expérienceS vécues(au pluriel c’est important de le préciser). Je suis issue d’un divorce dont le père n’a même pas attendu 3 ans pour démissionner vis à vis de ses enfants!!! Et je précise que ma mère s’est battue pour que mon père voit ses enfants… c’est juste que ce père là n’avait visiblement que peu d’intérêt pour sa descendance!
J’en connais des pères d’aujourd’hui qui continuent de conserver ce lien précieux avec leur enfant, et ce malgré divorce ou séparation, et en plus qui tiennent plus de 3 ans!!!! Et pourtant, je ne vis pas dans le pays des bisounours!
Pour finir Dioxyde, je respecte votre avis. Je tiens simplement à vous dire que mon article a la philosophie suivante : merci à tous ces nouveaux papas qui se battent pour leur enfant et qui ont su s’adapter en étant plus présents.
Sheitana. Merci pour votre témoignage.
Il est vraiment malheureux que certaines mères en arrivent a de tels mensonges pour garder leur enfant! Dans la vie tout se paie et d’ailleurs votre témoignage le prouve parfaitement. Il n’est pas humain de priver ses enfants de l’un de ses 2 parents et je crois que de toute façon les enfants ne sont pas dupes. Le rôle du père ainsi que celui de la mère est d’élever ses enfants dans de saines valeurs, comme vous le dites de respect, de partage et d’amour.
merci de votre réponse, « Ange 78 ». En effet, l’enfant, pour se construire a besoin des 2 « Images Parentales »: celle du Père et celle de la Mère, je mets des majuscules exprès, car ce sont des modèles d’identification indispensables et complémentaires. Toute société qui ne respecte plus ces besoins psychiques internes et incontournables d’un enfant, ne sera, à mon avis, pas longtemps viable!
Ange,
J’attendais cet article!!
Il est super,juste un point ,mon père s’approche de ses 80 ans et il a été pour nous un père très paternelle,on s’endormait toujours dans ses bras,il nous faisait des tours de voiture pour nous endormir et nous préparez les meilleurs croques monsieurs au monde!!
Et mon mari change les couches ,et lave le sol et fait la vaisselle et sait cuisiner!!
Je ne vois aucune différence entre ces deux génerations!!
merci pour ce bel article!je note *****
FOX
Merci beaucoup FOX!
Il est vrai que certains « anciens » pères sont de supers papas. Et heureusement que cela n’est pas donné qu’aux papas actuels. Vous avez beaucoup de chance d’avoir 2 « supers papas », à la fois le votre et votre moitié. C’est rassurant de savoir que ces hommes ne sont pas rares et c’est à eux que mon article s’adresse!
Mon expérience a été différente. J’ai un homme génial avec ses enfants à la maison mais mon enfance s’est plutôt construite avec un papa de « substitution » (j’entends par là mon papa de coeur et pas mon géniteur). Tiens… une nouvelle idéé d’article 😀
Ange
le papa de coeur est le vrai papa!
Entièrement d’accord avec vous Sheitana! C’est d’ailleurs le seul papa que je me suis choisie. C’est celui qui reste quelles que soient les épreuves! Enfin ça mon avis et mon vécu!
Ange
pour l’amour que l’on porte pour le papa geniteur cela depend des causes de son depart du foyer!!Meme si les absents ont toujours tord!!
Fox
Entièrement d’accord avec vous Fox! Encore une fois 😀
Je parlais en fait de mon expérience et d’ailleurs j’en parle dans mon prochain article que je viens de poster!
Il ne faut pas jeter la pierre sur les papas. Ils sont nombreux à se battre pour conserver ce lien si précieux avec leur enfant malgré une séparation. D’ailleurs, je pense que les enfants ne sont pas concernés par les problèmes de couples de leurs parents, c’est leur jardin secret et leurs conflit ne devraient pas interférer dans la relation parent-enfant.
Bonjour Ange78,
Votre article est « tout mignon »…un peu bisounours tout de même, et vous avez raison de préciser qu’il ne s’agit pas d’un article « scientifique ».
En effet si le comportement des papas a quelque peu changé, les études sociologiques qui se suivent se ressemblent et restent implacables : nouveaux papas ou pas, travail féminin ou pas, ce sont toujours les mamans qui assument l’essentiel des tâches de soins et d’éducation aux enfants (INED 2009, Rapport Tabarot 2008, CEREQ, DREES 2007 etc..)!
Quant à dioxyde, il écume tous les forums pour dire encore et toujours n’importe quoi :
la justice, en effet, ne privilégie pas les mères et au contaire bien souvent ! et il n’y a jamais eu « des milliers de pères qui se suicident » !!! C’est un pur délire de monsieur dioxyde afin de faire pleurer les béotiens dans les chaumières.
81% du total des résidences alternées sont demandées conjointement par les deux parents et pour le reste le juge l’IMPOSE ou impose des droits de visite et hébergement élargis.
Outre qu’il faut des conditions précises pour qu’une garde alternée ne nuise pas à un enfant, la grande majorité des pères ne la demandent pas car leur emploi du temps ne leur permet pas de prendre en charge un enfant petit et non autonome !!
Et il faut savoir aussi que lorsque les pères obtiennent la garde alternée ou totale d’un enfant petit, c’est la grad-mère paternelle ou la nouvelle compagne qui assument les soins et non le « papa » !
Et quand un enfant ne « voit » plus son père, c’est dans l’immense majorité des cas du fait du père lui-même qui préfère repartir à zéro en laissant tomber son ancienne famille (professeur D. Côté spécialiste canadienne de la « garde partagée »= !
Il y a un site très professionnel qui traite de ces questions :
http://www.lenfantdabord.org
Bonjour Nostresors et merci pour votre commentaire que j’apprécie beaucoup! Il est factuel.
J’ai fait un tour sur le site dont vous laissez le lien et c’est très intéressant. Cela fait un peu peur, surtout s’agissant des tous jeunes enfants. Les études réalisées sont assez allarmantes car visiblement les troubles du comportement des enfants en garde alternée sont nombreux et bien trop traumatisants pour un tout petit! Il est bien dommage que dans de trop nombreux cas de divorce la justice ne tienne pas compte de ce type d’études ou des cas bien particuliers de chacun.
Merci de cet éclairage nouveau. Si vous connaissez d’autres sources de renseignements cela m’interesse beaucoup!
@nostrésors: la justice ne devrait pas juger chaque cas en fonction des statistiques (à qui on peut faire dire aussi ce que l’on veut), mais vraiment en fonction de chaque cas particulier! je ne peux pas vous dire ce que je fais comme travail, discrétion professionnelle oblige, mais sachez que l’enfant a besoin d »une Figure Paternelle (je pèse mes mots et les majuscules) autant qu’une Figure Maternelle pour se construire, il a besoin des deux, il a besoin d’Amour et d’Autorité. Quand la Figure Paternelle est défaillante (que se soit ou non la faute du père), cet enfant a toutes les chances, soit de devenir délinquant, soit de développer des problèmes psychologiques à l’adolescence pouvant être graves!
Sheitana, je vous rejoins sur le fait que le manque de repères pour un enfant lui est très préjudiciable. Je pense également que le contexte socio-économique et la structure familiale sont des paramètres déterminants dans l’avenir de l’enfant et ses probabiltés de sombrer dans la délinquance! Les foyers d’accueil d’urgence n’en sont qu’un très bel exemple. Si démission parentale il y a, ces jeunes ne sont que plus difficiles à « recadrer ».
oui, Ange78, je suis d’accord avec vous, surtout en ce qui concerne la « petite délinquance ». Mais sachez qu’il y a aussi des jeunes de familles aisées, voire très aisées, qui commettent des crimes ignobles, comme par exemple ce fils d’avocat (sic!), cette fille assistante maternelle (sic!) et cette autre fille issue d’une famille de la bourgeoisie moyenne de la région marseillaise, qui ont torturé à mort de façon répugnante et particulièrement sadique un pauvre garçon, William MODOLO, issu d’un milieu peu favorisé (mère caissière de supermarché); et ce cas est loin d’être unique…
voici un lien si vous voulez en savoir plus:
oui, Ange78, c’est vrai pour beaucoup de jeunes qui deviennent petits délinquants, mais il existe aussi des jeunes issus de familles aisées, et même très aisées, qui commettent des crimes particulièrement atroces et gratuits! je te donne le lien suivant juste pour un exemple particulièrement terrifiant (mais j’ai d’autres exemples, celui-ci n’est malheureusement pas une exception), où un fils d’avocat (sic!), une assistante maternelle (sic!) et une autre fille issue d’une famille de la bourgeoisie moyenne de la région de Marseille, ont participé à torturer à mort de façon effroyable un pauvre garçon innocent (et lui était issu d’une famille pauvre, sa mère étant caissière de supermarché):
http://www.facebook.com/group.php?gid=106141033728&ref=share
excusez moi, il y a eu un peit « bug »
Il est vrai qu’il ne faut pas généraliser et associer systématiquement la délinquance aux milieux défavorises! Je souhaitais préciser que c’est le milieu socio-économique associe a la structure familiale qui peut engendrer des difficultés dans les repères de l’enfant. Et oui, la délinquance ne se résume pas seulement a des difficultés financières des parents, sinon une grande partie de nos enfants serait bien dangereux a notre société.
Merci pour le lien Sheitana!
Ange
@sheitana
Où avez-vous lu que la justice jugeait en fonction de statistiques ? Certainement pas sous ma « plume » ! Mais la justice est dans l’impossbilité de faire « du cas par cas » et d’autant plus que les juges n’ont aucune formation sur le dévelopement psychoaffectif des enfants, sur leurs besoins spécifiques qui ne sont pas toujours congruents avec ceux des parents.
Combien de juges prennent des décisions aberrantes non pas en s’appuyant sur des statistiques ou des études sociologiques ou scientifiques, ce qui leur permettrait en définitive moins d’erreurs, mais sur des images d’épinal médiatiques ?
Et nul ne conteste qu’un enfant a besoin de ses deux parents, mais en a t-il besoin à égalité de temps et à n’importe quel âge ? Cette égalité de présence et de temps n’a jamais existé dans l’histoire de l’humanité et n’existe jamais durant la vie commune sans que les enfants se développent anormalement. D’autant que si la résidence alternée garantit bien une égalité de temps passé dans chaque domicile, elle n’a jamais garanti une égalité de présence et de soins de chaque parent auprès de l’enfant !
La délinquance des jeunes a des origines multifactorielles. Et un de ces facteurs est la démission des pères quant à leur autorité. Après 68 et les slogans ravageurs comme » plus de hiérarchie », « démocratie horizontale », « liberté » etc. les pères sont devenus les copains de leurs enfants, puis les « papas poules » et aujourd’hui les « mères-bis » qui exigent le même rôle affectif que les mères auprès de leurs enfants et qui n’ont plus la distance nécessaire pour imposer leur autorité et les contraintes afférentes à toute éducation. En résumé : ils ne sont plus complémentaires des mères, mais se veulent interchangeables.
@Ange78
Les difficultés socio économiques ne génèrent pas forcément la délinquance mais rendent moins disponibles les parents envers leurs enfants pour assumer une parentalité efficace.
Nostresors, vous avez résume a peu près ce que je disais sur le facteur socio-économique. Ce n’est pas cela qui crée la délinquance mais bien l’éducation délivrée par les parents. Mais ce facteur bien particulier n’est heureusement pas synonyme de mauvaise éducation car on peut très bien se contenter de peu pour être heureux!
L ou je vous rejoins c’est sur le fait que par la force des choses un enfant passe plus de temps avec sa mère (grossesse, congé maternité…).
Je rajouterai aussi que dans les divorces les magistrats ne prennent en compte que très rarement en compte l’avis de l’enfant. Ce qui est bien dommage car cela ne nécessite pas de rajouter des grosses lourdeurs aux procédures. Les professionnels du secteur social ont peut être beaucoup de travail mais prendre le soin d’écouter un enfant ne prend que quelques minutes. Et quelques minutes pour le bien être d’une vie ce n’est pas grand chose!
il faudrait savoir prendre le minimum de temps pour des choses aussi graves! oui, l’enfant devrait être écouté plus, et cela ne prendrait pas beaucoup de temps. Les magistrats manquent souvent de compétence, et se basent trop sur leurs connaissances intellectuelles mais déconnectées des réalités (« technocratie »)
Oui et d’ailleurs de très bons professionnels tels que les éducateurs sp&écialisés, éducteurs de jeunes enfants ou encore assistants sociaux pourraient faire le relais entre les magistrats et les enfants. Ils sont compétents, formés d’un point de vue sociologique et psychologique et connaissent très bien les réalités car ils pratiquent sur le terrain la plupart du temps. Certes les professionnels de l’Aide Sociale à l’Enfance sont débordés, mais cette « mission » d’écoute des besoins de l’enfant pourrait être confiée aux professionnels, pourquoi pas en mairie, qui eux ont moins d’activités.
Il est malheureux que ces professionnels du travail social n’interviennent que dans les cas avérés de maltraitance ou de souffrance de l’enfant! Les droits de l’enfant ne sont alors respectés qu’une fois bafoués…! Pourtant ne dit-on pas mieux vaut prévenir que guérir? C’est regrétable que l’on n’ait que si peu de considération pour ces enfants qui sont pourtant notre avenir…!
« Mieux vaut prévenir que guérir » ,je suis d’accord avec vous,et mobiliser du personnel qualifié c’est une autre paire de manches,mais en se les retoussant un peu on peut !
C’est vrai que cela peu paraître un peu bisounours ,mais cela a toujours été vérifié ,la prévention ça a du bon !
Il ne manque plus que les bonnes volontés.
Merci Mecarryce pour le témoignage de bonne volonté par le biais de votre commentaire.