un mélange des genres mais aussi de fonctions.
C’est une émission qui a lieu tous les mardi soir sur France 2. Le 13/04/10 à 23 h20 il y avait le thème des discriminations, flagrants délits en tout genres. Trois sujets abordés la discrimination à l’embauche, celle au logement, et celle aux soins. Sans entrer dans le détail de cette émission qui parle de vrais problèmes de société sur des sujets majeurs, et qui a le courage de montrer ce qu’est le racisme à l’embauche, et un peu partout d’ailleurs. Mais pas que cela, la CMU pour les pauvres c’est la honte des médecins qui refusent de soigner malgré leur serment d’hyppocrate , et l’on voit que les blacks, blacks Français, sont victimes de cet état d’esprit qui ruine notre société. Mais aussi comment admettre qu’une personne âgée «de peau blanche par opposition à la peau noire» Française voit sa demande de logement rejetée par ce qu’elle a 70 ans alors qu’elle est parfaitement solvable. Prétexte si le propriétaire veut récupérer son logement il ne le pourra pas par ce qu’à 70 ans on ne peut mettre une personne hors du logement, argument honteux comme s’il était concevable de mettre à la rue une personne de cet âge, et de tout âge d’ailleurs, sans lui proposer un autre logement ! En d’autres termes, nos lois sécuritaires pour éviter les abus des propriétaires sont honteusement manipulées et se retournent par violation à l’encontre de ce qu’elles voulaient faire ! Ainsi, avec des arguments imparables comme celui d’une caution à l’étranger dans un pays de l’Union, l’Italie, on refuse un logement à une Italienne parfaitement correcte et solvable par ce que l’on ne pourrait récupérer la caution si nécessaire. Cette émission nous a montré comment des personnes enfreignent ainsi la loi en toutes impunités. Il nous faut comprendre que nos institutions, nos lois, sont inefficaces devant de tels comportements qui, restants impunis, se perpétuent. Les discussions qui ont suivi montrent deux fronts qui représentent bien ceux qui sont pour que la loi s’applique puisqu’ils souffrent de ces discriminations et ceux qui pensent que ce qui est présenté ne sont que des caricatures et que la France ce n’est pas cela, qu’elle est généreuse, et ayant des difficultés à admettre, le nez devant les faits, leurs réalités, arguant que les cas choisis, ne sont finalement que des caricatures, une façon comme une autre de les banaliser. La vidéo du débat.
REPORTAGE LES INFILTRES (4-6)
envoyé par molem55. – Plus de vidéos de blogueurs.
Mais cette émission ne déclenchera pas la polémique de celle du 06 avril sur la pédophilie qui a conduit à l’arrestation d’une vingtaine de pédophiles à la suite d’une traque de trois mois sur internet dans des sites réservés aux ados en se faisant passer pour Noémie ou Jessica une fillette de 12 ans pour être contacté par des hommes prompts à s’exhiber et à proposer des rendez-vous à caractère sexuels, et à dévoiler leur penchant pour des attouchements ou de vidéos pédopornographiques. C’était la première émission sur France 2 sur les «infiltrés» d’Hervé Chabatier producteur de cette l’émission très controversée.
1-Les infiltrés Pédophilie en france
envoyé par KKIZMO. – Regardez des vidéos d’animaux drôles.
En s’immergeant dans des réseaux internationaux de pédophilie, de maltraitance, mais aussi dans des bandes de délinquance en banlieue par exemple, nous avons déjà vu des interviews lors des émeutes, pour faire un scoop ces journalistes sont-ils des balances ou des taupes comme certains le prétendent ?
S’infiltrer, c’est pénétrer pas forcement au grand jour en trompant ceux que l’on veut connaître, ce qu’ils font, comment font-ils, il faut bien un moyen pour s’introduire. Ce n’est donc pas jouer franchement, c’est même abuser pour avoir le contact après de multiples tentatives je suppose. Alors on joue avec son interlocuteur pris au piège pour le faire parler sans annoncer que l’on est journaliste sans montrer la caméra cachée qui filme la scène. Pris dans cette tromperie d’approche des prédateurs sexuels, l’interlocuteur se dévoile, se libère de son poids sur sa conscience c’est l’occasion pour lui. Ne voulant reculer, et voyant que la personne, le journaliste sait, c’est ce que révèle la vidéo, celui-ci parle et c’est là qu’intervient la controverse.
Est-ce du journalisme d’investigation ou du journalisme de dénonciation ? On peut se demander si l’on n’exerce pas un métier à la place d’un autre en mélangeant ainsi les genres ? On a beau se persuader «j’balance pas j’évoque» que le document publié est un témoignage qui est lu par tous mais aussi par la police au même titre qu’un livre dès lors que le sujet est d’actualité et médiatiquement diffusé. On peut jouer sur les mots mais on sait bien que dès lors que l’on a à faire avec des criminels ou des personnes non recommandables supposés comme tels mais non jugées, c’est une forme de dénonciation qui peut engager la police à enquêter à demander des comptes au journaliste. Or, si l’on se réfère à cette émission sur France 2 présentée par David Pujadas qui clame,
«on ne va pas s’empêcher de dénoncer un violeur pas ce que l’on a sa carte de presse».
C’est évident, mais dans ces conditions, l’action menée devient une action de police au même titre que celle d’un inspecteur.
C’est tout le problème qui nous montre la défaillance de la police, car il faut bien le reconnaître, si elle pouvait faire son travail ces pédophiles auraient dû être démasqués depuis longtemps. Or, ces journalistes ne sont pas des spécialistes et malgré cela, ils ont démasqué un réseau on ne peut que les féliciter. Mais là nous abordons le problème de la déontologie du journalisme. Est-il concevable pour faire un papier ou un document qu’ils se comportent comme des auxiliaires de police ? C’est un mélange de genres, est-ce que cette façon ne va pas à l’encontre du journalisme dans sa noble fonction ? Quelle est la frontière entre le journaliste qui relate et commente des faits et celui qui va chercher par des enquêtes à infiltrer des réseaux ou tout autre groupes de délinquance ? Dissimuler sa fonction de journaliste qui lui donne un blanc seing pour tromper ses interlocuteurs est un acte répréhensible déontologiquement. N’est-ce pas être en contradiction avec les règles de base du journalisme ? Ne pas invoquer son titre et ne pas confondre son rôle avec celui d’un policier.
Il est évident que dès lors qu’un réseau de pédophilie est démasqué, la morale veut qu’il soit dénoncé, donc l’auteur de cette infiltration sait par avance ce qui en retourne, et qu’il aura à affronter une enquête de police, c’est la que se pose la protection des sources d’information. La charte des devoirs des journalistes Français que le journaliste doit respecter précise des règles par exemple :
s’interdit d’invoquer un titre ou une qualité imaginaires, d’user de moyens déloyaux pour obtenir une information ou surprendre la bonne foi de quiconque.
garde le secret professionnel.
ne confond pas son rôle avec celui du policier.
Voir aussi le blog d’Olivier Da Lage.
Il est donc évident que l’action de ces journalistes s’inscrit en dehors de leurs obligations professionnelles, mais dans ce cas précis l’opinion publique ne pardonnerait au journaliste de ne pas avoir divulgué ses sources. Il y a des cas ou la raison l’emporte sur la déontologie et loi.
Bonjour,
A lire sur le sujet le très bon article de Télérama, cette semaine.
[b]vieilleforge[/b] bonjour,
Je viens de prendre connaissance de l’article que vous proposez ici [url]http://television.telerama.fr/tele/emission.php?onglet=critique&id=16580542[/url], bien.
Ce n’est pas un article général comme celui que je viens de publier sur l’action des infiltrés qui pose un problème déontologique qui est le but de mon article même si j’évoque pour faire un tout les discriminations qui montrent un aspect de notre société.
Dans mon article vous avez les vidéos qui vous permettent de vous faire un avis sur ces infiltrés et sur les réactions des personnes interrogées.
Néanmoins l’article de Télérama complète le mien, merci de l’avoir proposé.
Bien à vous,
Anido
[b][b]C’est un excellent article, qui pose la réelle question sur ce qu’il faut faire, sur ce qu’il ne faut pas faire, en pratiquant le journalisme d’investigation…
Les journalistes ne sont pas des policiers, mais, tout comme les policiers, ils enquêtent, font des recoupements… Cependant, ces journalistes n’ont aucun pouvoir de police judiciaire… Donc, il y a, dans leur métier, une certaine limite à ne pas dépasser…[/b][/b]
[b]Dominique[/b] bonjour,
[b]Il y a une certaine limite à ne pas dépasser[/b], là est la question ?
Il est bien évident que dès lors que les enquêtes faites par des journalistes sur un sujet important sont publiées, ils s’exposent à ce que la police demande des informations, sur la véracité des sources.
Or, la déontologie des journalistes est le secret de ces sources, et l’enfreindre conduit inévitablement à se placer en indicateur. Tout dépend donc du sujet abordé dans l’enquête et de la conscience du journaliste.
Dans le cas présent, il s’agit de pédophilie donc d’une action criminelle, et il serait inconcevable au nom de la déontologie que le journaliste ne donne pas à la police ses informations.
S’il le fait, il devient un indicateur de police, ou est-il simplement un citoyen ?
A mon avis, il est un citoyen avant tout !
Bien à toi,
Anido
[b]Important,[/b]
Pour information,
En décembre 2009, un texte important pour la liberté de la presse a été adopté par le Parlement dans l’indifférence générale. La loi du 4 janvier 2010 sur la protection des sources était réclamée de longue date par les syndicats de journalistes. Elle modifie la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse en y introduisant [b]la notion de secret[/b]. Elle affirme qu’il [b]ne peut être porté atteinte directement ou indirectement au secret des sources que si un impératif prépondérant d’intérêt public le justifie et si les mesures envisagées sont strictement nécessaires et proportionnées au but légitime poursuivi[/b]. En outre, [b]cette atteinte ne peut en aucun cas consister en une obligation pour le journaliste de révéler ses sources[/b].
Si l’on se rapporte à la loi, les journalistes de l’émission [b]Les infiltrés[/b], consacrée à la pédophilie et diffusée le 6 avril sur France 2, n’avaient donc aucune obligation de dénoncer à la police les membres de réseaux pédophiles qu’ils avaient rencontrés, ainsi qu’ils l’ont pourtant fait. A la suite de cette dénonciation, un conseiller municipal du Mesnil-Saint-Denis (Yvelines) va comparaître devant les tribunaux pour proposition sexuelle à une mineure. [u]Il est vrai que l’article 434-1 du code pénal impose aux citoyens qui ont connaissance d’un crime sur le point d’être commis de prévenir les autorités judiciaires[/u]. Mais cette contrainte ne s’applique pas aux professions tenues au secret professionnel (article 226-13 du code pénal).
Dont acte !
Seule sa conscience compte.
Bien à vous,
Anido
[b][b]Anido,
bonjour…
Personnellement, je n’hésiterais pas, si j’étais en contact avec eux dans le cadre de la rédaction d’un article, d’un dossier, d’une interview…, de dénoncer des pédophiles, des violeurs, des tueurs en série…., ce, même si mes pairs, [i][i]les journalistes[/i][/i], me critiquaient de violer le secret de mes sources…
Bien entendu, il n’y a aucune chance pour que cela m’arrive, d’autant que je n’écris pas d’articles de la rubrique « Faits divers »…
Cependant, il y a des limites à ne pas dépasser, puisque les journalistes sont, tout d’abord et en premier lieu, des citoyens…
Avec toute mon amitié,
Dominique[/b][/b]
[b]Dominique[/b] bonjour,
J’en suis persuadé, le devoir citoyen impose de dénoncer de tels agissements, c’est sa conscience qui est en jeu.
Bien à toi,
Anido
Bonjour
je suis entièrement d’accord avec le fait de dénoncer ces faits, dans la mesure où l’on est tous citoyen avant tout. J’ai eu l’occasion de discuter du devoir de réserve également avec des médecins qui sont parfois informé de comportements pédophiles ou autres pathologies à risque pour les citoyens environnants, et ils sont souvent bien embarrassé de ce devoir de réserve… Nous vivons entouré de personnes déséquilibrées (à des degrés différents) et on voudrait tellement penser « qu’il n’y en a pas tant que ça » « qu’il ne faut pas exagérer » « qu’il ne faut pas être parano » mais j’ai eu la triste expérience d’avoir été victime de 2 pédophiles dans mon enfance, à 2 âges différents…Et en discutant de cela autour de moi j’ai reçu la confession de nombreuses personnes qui, pour la plupart, n’avait pas évoqué le sujet avant. Je précise que ces personnes sont pour la plupart des connaissances qui n’ont pas de tendance à la mythomanie. LA PEDOPHILIE touche tous les milieux mais elle est bien plus présente qu’on ne l’imagine. Pour ma part, je pense que les journalistes des « Infiltrés » sont indispensables, car il faut se dire que le travail de la police et la gendarmerie n’est pas en cause…Il y a malheureusement plus de pédophiles à trouver que d’enquêteurs!!! Je pense donc que c’est le devoir de chacun de dénoncer afin de préserver nos enfants de ce fléau et qu’il faut être vigilent. Je précise enfin que je ne suis ni dépressive, ni déprimée, car j’ai transformé ces 2 épisodes en énergie combative afin d’essayer d’enrayer un peu ce phénomène, en mémoire de ceux qui ont eu encore moins de chance que moi : les enfants et nourrissons qui ont subi des viols, tortures, et ceux dont la vie a été arrachée par ces prédateurs.
Une combattante de la pédophilie
[b]isabelle miazekperrin[/b] bonjour,
Merci pour ce bel article et de ce témoignage.
Je comprends d’autant mieux votre témoignage par la douleur morale que vous avez dû endurer si, elle n’est que morale.
La pédophilie touche tous les milieux c’est évident pourquoi y aurait-il un milieux qui en serait épargné ?
Les infiltrés, c’est à dire des journalistes d’investigation, je préfère ce mot plus exact de ce qu’ils font, sont utiles à la société, oui.
Pour que la police intervienne dans un délit, une affaire, il faut une plainte ou un ordre supérieur lorsqu’un problème de société demande une enquête. Ces journalistes d’investigation se situent entre les deux, et leur avantage réside dans le fait qu’ils n’ont besoin d’aucun ordre que celui de faire un document, un article journalistique, ce qui, lorsqu’il est bien fait, apporte à la société un regard sur l’un de ses dysfonctionnements.
Le problème de font de cet article indépendamment de son intérêt est celui de la déontologie lorsque ces journalistes sont interrogés par la police car s’ils donnent leurs sources, ils se comportent comme des auxiliaires de police et trahissent de ce fait la confiance que les personnes interrogées ont mis en eux. Moralement, cela va à l’encontre de leur travail mais, il faut choisir, et lorsque l’on a à faire à des délinquants sexuels ou tout autre, il importe de se comporter en citoyen et d’informer la police, c’est mon opinion.
Bien à vous,
Anido
Anido,
pour aller dans le sens de ta réponse faite à isabelle miazekperrin, je pense qu’il faudrait que la Charte du Journaliste prévoit de donner, à tout journaliste, l’autorisation de dénoncer tout acte de pédophilie, tout acte de viol, tout acte de violences, tout crime de sang, tout meurtre…, sans que les journalistes soient rejetés par l’ensemble de la Profession au prétexte qu’ils auraient révélé leurs sources aux forces de police ou de gendarmerie !
Certes, [i][b]les journalistes ne sont pas des auxiliaires de justice, ne sont pas des policiers[/b][/i]… Cependant, sur ce lien de [b]Google [ [url]http://www.google.com/search?ie=UTF-8&oe=UTF-8&sourceid=navclient&gfns=1&q=les+journalistes+ne+sont+pas+des+policiers[/url] ][/b], qui référence divers articles sur cette question, le débat a eu le mérite d’être lancé…
Alors, je serais favorable à ce que les choses soient clarifiées, mais, de manière très discrète, sachant que la justice, les forces de police et de gendarmerie ne devront jamais révéler les nom et coordonnées des journalistes, qui leur auront permis de sauver des enfants, d’éviter un meurtre…
Avec tout mon amitié,
[b]Dominique[/b]
[b]Dominique[/b] bonsoir,
C’est vrai que les organismes de presse ne sont pas clairs et qu’ils évitent de prendre clairement position envers leurs journalistes, qui pour beaucoup sont indépendants. On ne peut donc les placer tous dans les mêmes conditions. Une investigation comme celle de la pédophilie par qui a-t-elle été programmée ?
Beaucoup font des enquêtes et vendent leur papier, dans ce cas, c’est leur responsabilité qui est engagée, et la Charte qui est un document général s’applique, chaque journaliste devrait la connaître, et je pense que tous la connaisse.
Quand aux forces de police, le secret impose de ne pas révéler les sources des informations, je pense que c’est le cas.
Bien à toi,
Anido
[b]Anido[/b],
[quote][i][i][b]« … C’est vrai que les organismes de presse ne sont pas clairs et qu’ils évitent de prendre clairement position envers leurs journalistes, qui pour beaucoup sont indépendants. On ne peut donc les placer tous dans les mêmes conditions… »[/b][/i][/i][/quote]
C’est pour cela, [b]Anido[/b], que je serais tout à fait favorable à ce qu’un [b]Ordre national des Journalistes[/b] soit créé, qui prendrait en charge toutes ces questions en édictant une [b]Charte des Journalistes[/b], valable dans tous les médias écrits et audiovisuels, mais également valable dans tous les journaux en ligne…
[quote][i][i][b]« …Une investigation comme celle de la pédophilie par qui a-t-elle été programmée ? … »[/b][/i][/i][/quote]
[b][b]Anido[/b][/b], il faut que tu saches qu’une investigation, [i]comme celle qui concernait la pédophilie[/i], est tout d’abord discutée, en tant que projet, en Conseil de Rédaction… Ensuite, si l’ensemble des journaliste est d’accord, le Rédacteur en chef prend la décision finale de faire cette enquête et de la publier ou de ne rien faire du tout ! Maintenant, dans le cas où un journaliste indépendant propose, de sa propre initiative, un papier, une enquête, un document audiovisuel, déjà réalisé, le Rédacteur en Chef peut, toujours en accord avec son Conseil de Rédaction, accepter ou refuser le travail réalisé, à charge pour le journaliste indépendant d’aller le proposer ailleurs…
[b]/… 1[/b]
[b]Suite & fin de ma réponse à Anidom Nidolga[/b]
[quote][i][b]« … Beaucoup font des enquêtes et vendent leur papier, dans ce cas, c’est leur responsabilité qui est engagée, et la Charte qui est un document général s’applique, chaque journaliste devrait la connaître, et je pense que tous la connaisse… »[/b][/i][/quote]
[b]Anido[/b], comme je l’ai expliqué dans mon [b]commentaire n° 1[/b], je suis précisément pour la création de cet [b]Ordre National des Journalistes[/b], qui, pourrait parfaitement prendre en charge les journalistes indépendants ! La [b]Charte du Journaliste[/b], qui devrait être respectée par tous les journalistes sans exception, devrait concerner aussi bien la presse en ligne, [i]comme [b]C4N[/b], [b]Rue89[/b], [b]Mediapart[/b], [b][b]Bondy Blog[/b][/b]…[/i], que la presse écrite, [i]payante et gratuite[/i], la presse audiovisuelle, [i]publique et privée[/i] et les blogs de journaux !
[quote][i][b]« … Quant aux forces de police, le secret impose de ne pas révéler les sources des informations, je pense que c’est le cas.
… »[/b][/i][/quote]
C’est tout à fait exact, [b]Anido[/b]… Cependant, si j’ai entièrement confiance aux forces de police et de gendarmerie, je fais beaucoup moins confiance à certains magistrats et avocats… Je pense qu’une protection des témoins beaucoup plus dure devrait être prévue..
Avec toute mon amitié,
[b]Dominique[/b]
[b]/… 2[/b]
[b]Dominique,
[/b]
« je suis précisément pour la création de cet Ordre National des Journalistes, qui, pourrait parfaitement prendre en charge les journalistes indépendants ! La Charte du Journaliste, qui devrait être respectée par tous les journalistes sans exception, devrait concerner aussi bien la presse en ligne, comme C4N, Rue89, Mediapart, Bondy Blog…, que la presse écrite, payante et gratuite, la presse audiovisuelle, publique et privée et les blogs de journaux ! »
Pourquoi pas un ordre national, mais quand tu y inclus C4N et les blogs pour les quels les auteurs ne sont pas rémunérés j’y vois un hic.
C4N nous donne un euro par article correspondant à une part de publicité, ce n’est pas une rémunération de droits d’auteur c’est une gentillesse.
Pour mon blog sur le Monde.fr, je paie annuellement 146 euros, pour avoir droit à l’ensemble des publications et archives de ce journal et j’en fais profiter tout le monde qui veut bien me lire. Mais, je ne suis pas journaliste comme toi, alors la Charte du journaliste ne me concerne pas ainsi que l’Ordre que tu proposes bien que je le trouve intéressant.
En conclusion, oui pour l’Ordre des journalistes cela clarifiera la situation, mais appliqué seulement à ceux qui perçoivent une rémunération digne de ce qu’ils font !
Je ne peux faire un procès d’intention aux avocats bien que certains n’apparaissent pas très sûrs.
Bien à toi,
Anido
Anido
Je partage vos opinions à ce sujet. Quant à ce que j’ai vécu, comme je l’indique plus haut, je me dis régulièrement que j’ai eu la chance de ne pas subir encore pire et je pense souvent à ceux qui ont eu encore moins de chance que moi…Même si ce ne sont pas les seuls drames de ma vie…Mais j’ai eu la chance d’avoir une famille aimante et des amis d’enfance extra! Je combat pour ceux qui n’ont pas la force et je m’élève contre certaines injustices…Je possède désormais une bonne cuirasse et je ne me laisse pas impressionner…Il n’est d’ailleurs pas impossible qu’une de mes démarche soit médiatisée à moyen terme (elle ne concerne pas la pédophilie). J’ai également des projets de publication (dont un sur la pédophilie). Je souhaite inciter à la vigilance, tout en aidant les victimes à se reconstruire.
Ainsi, j’adresse également un message à ceux qui ont profité de ma faiblesse lorsque j’avais 5 ans et 8 ans (bien qu’un des 2 soit décédé): PEDOPHILE, AUJOURD’HUI JE SUIS ARME POUR TE COMBATTRE, TOI ET TES SEMBLABLES!
Anido, je n’ai malheureusement pas le temps de lire beaucoup d’articles sur C4N…Celui-là pose des questions… et permet d’évoquer un sujet qui concerne tout le monde.
Merci pour votre commentaire
Avec toute ma considération
Isabelle
isabelle miazekperrin bonsoir,
Je suis touché par votre sollicitude, et je comprends votre engagement. Il n’y a rien de pire que le viol d’un corps, et parfois il vaut mieux en mourir tant cette tache reste sur son corps toute sa vie.
Vous aviez 5 et 8 ans et vous avez le courage d’en parler, c’est bien, cela montre à ceux qui auraient subi des outrages qu’il faut en parler, non seulement cela soulage mais fait comprendre le mal que cela représente.
Le silence est une forme de complicité bien que ce n’en soit pas une dans ce cas.
Si ma modeste contribution peut vous aider dans votre tache n’hésitez pas, je serais présent.
Bien à vous,
Anido
Pour Isabelle : [url]http://www.facebook.com/Coachfr?v=wall#!/group.php?gid=42121697015&v=info&ref=mf[/url]
Anido
Je vous remercie pour vos propos. Au plaisir de vous lire prochainement quel qu’en soit le sujet…Bien que je n’ai que peu de temps…
Avec toute ma considération
Isabelle
Bien que ce ne soit pas totalement dans le sujet de ce papier de [b]Anidom Nidolga[/b], cet article de [b]SOPHY[/b] : [b] [i]« JEAN LUC MELENCHON : « Le Tribun Du Peuple » !! »[/i] [ [url]http://www.come4news.com/index.php?option=com_content&task=view&id=33609[/url] ][/b], parle fort bien du métier de journaliste, sachant que tout journaliste peut, un jour ou l’autre, se retrouver face à un problème de conscience, surtout lorsque, étant en contact avec lui, il se demande s’il doit dénoncer, s’il ne doit pas dénoncer ce réseau pédophile…
Comme l’a écrit [b]SOPHY[/b] dans son article, [i][b]« Jean Luc Mélanchon propose donc la création d’un Conseil National des Médias, qui regrouperait les syndicats, les élus, les journalistes, et….les Citoyens. »[/b][/i] J’y serais favorable.
Cependant, ce [b]Conseil National des Médias[/b] ne devra, [u][i]s’il voit le jour[/i][/u], jamais être piloté par l’État, ni par nos Élus politiques ; il devra être piloté par des journalistes élus, des syndicalistes élus, des citoyens élus… Puis, il devrait avoir un pouvoir de sanctions… Nos élus politiques, et l’État, s’ils désirent en faire partie, ne devraient y siéger qu’en tant qu'[b]arbitres [/b]et [b]modérateurs[/b], tout en n’ayant aucun droit en ce qui concerne les prises de décisions de ce [b][b]Conseil National des Médias[/b][/b]..
Mais, je suis toujours favorable à la création d’un [b]Ordre National des Journalistes[/b] professionnels… Cependant, comme je l’ai écrit précédemment en répondant à [b]Anidom Nidolga[/b], je recommanderais que cet Ordre ne devra jamais être piloté par l’État et par nos Élus politiques, qui pourront y siéger en tant que [b]modérateurs [/b]et [b]arbitres [/b]!
[b]Dominique[/b] bonsoir,
J’ai parcouru l’article de Sopphy, comme tu l’écris son article n’est pas le sujet de ce papier, nous n’avons pas la même façon de présenter l’information.
Cela étant, merci de ton commentaire.
Alors Mélenchon j’ai tendance à dire comme Sopphy que c’est une grande gueule, mais intelligente, et pour noyer le poisson il a des références.
Un conseil des médias pourquoi pas ? Comme noyade de poisson il est difficile de trouver mieux.
Plus on est de fous, plus on rigole, mais ce qu’il présente n’est pas dénué d’intérêt.
Que dire d’autre, c’est au pieds du mur que l’on voit le maçon, dire c’est bien, mais faire c’est mieux.
Pour moi, appliquons correctement la Charte des devoirs des journalistes actuelle, ce serait déjà bien, et pour le reste laissons faire sa conscience.
Le monde de l’information est en pleine évolution, et avant de modifier les devoirs du journaliste, il me paraît sage d’attendre que tout cela, se calme. Je pense qu’un jour les blogeurs seront intégrés à un support journalistique pour être contrôles. Leur importance grandissante d’analyse de l’information ne peut être laissée encore longtemps libre, le pouvoir politique voudra y mettre un frein.
Beaucoup sont déjà intégrés dans un journal, ce qui leur donne une forte audience, pour les autres comme moi, les obscurs, leur influence est négligeable, mais, elle peut se développer à force de produire des articles.
Il faut donc attendre.
Bien à toi,
Anido