Si l’herbe est verte dans le Nord de la France, ce n’est pas pour rien, c’est qu’il y pleut souvent, et donc, les moulins  à eau devraient pulluler pour en récolter l’énergie !  

En Corrèze, Dordogne, lot, ce sont les barrages qui sont à l’honneur, ils y sont impressionnants, cachés au fond de la verdure, on tombe quelque fois dessus au hasard d’une promenade, quand on n’est pas de la région !

 

Je peux vous dire que dans certains endroits comme la Franche Comté, c’est la bouse de vache qui devrait être recyclée, ainsi que le méthane échappé par nos magnifiques laitières !

 

Ici, dans les Pyrénées Orientales, ce sont les éoliennes qui poussent comme des champignons !

 

Il est à l’étude de construire un grand parc éolien ici en mer, mais le lieu n’a pas l’air encore divulgué, s’il a déjà été retenu.

 

Il fallait surtout dans un premier temps gérer les problèmes causés par les éoliennes déjà existantes !

Voyons les problèmes sur la santé des humains, le bruit étant infernal aux abords des éoliennes, il fallait trouver des fréquences, des vitesses plus tolérables à l’oreille !

 

Un autre problème se pose, celui-ci  ne devrait avoir aucune incidence sur la santé à première vue, c’est selon la vitesse des éoliennes, et la luminosité qui arrivent par intermittence sur les pales, les ondes hertziennes sont perturbées et la télé est saccadée par moment. TNT subit cet inconvénient, et ça tape sur les nerfs.

 

A côté de ça, nous sommes dans un couloir migratoire pour certaines espèces d’oiseaux et de chauves-souris, ces couloirs étant sans cesse perturbés depuis quelques années justement à cause de la main de l’homme, le nombre important des avions, le changement de paysages dû à de nombreuses constructions, les ondes provoquées par les éoliennes, tout ceci fausse les données ancestrales de nos amis les bêtes !

 

Car comme nous les animaux perdent quelques instincts, et leur pilotage automatique a pris un bon coup dans le manche ces dernières décennies !

Comme ils ne peuvent pas se diriger à vue non plus vu les changements  cadastraux, leurs couloirs dévient de pas mal de degrés !

 

J’ai vue l’an passé, et cette année aussi  des passages de grues, alors qu’elles  ne suivent pas de route par la côte du 66 théoriquement.

 

Comment reconnaître un vol de grues ? Elles changent de forme de vol, elles passent du V avec une longue branche et une toute petite à la ligne droite, le vol est lourd et le battement d’ailes bien rythmé, les oiseaux sont de couleurs foncées. L’envergure des ailes est quasi équivalente à la longueur de l’oiseau en vol, contraierement  à l’oie qui elle vole en V perpétuel en se relayant toutes les 10 secondes, son vol est lourd aussi mais l’envergure de ses ailes est bien supérieur à la longueur de l’oiseau en vol, sa couleur est grise aussi !

Il y a les cigognes aussi, mais leur vol est plus aérien moins lourd et on voit le blanc de l’oiseau en vol même d’assez loin, le bec est très long.

Le flamand quand à lui vole en groupe, en ban et non en ligne, sa forme en vol est très caractéristique, un long cou, un long corps, de longues pattes, et des ailes qui battent plus vite que les grues ou les cigognes, l’oiseau est de couleur claire en vol !

 

 

Cigognes en 2009 sur l’Eglise Saint Etienne

 

 

Les chauves-souris des P.O.  

8 espèces de chauves-souris sont concernées par ces sites Natura 2000 :

*Le grand Murin

*Le petit Murin

*Le murin à oreilles échancrées

*Le murin de Capaccini

*Le grand Rhinolophe

*Le petit rhinolophe

*Le rhinolophe euryale

*Le minioptère de Schreiberd

 

 

Ils ont tous un site particulier et privilégié au sein des sites Natura 2000

Pour protéger ces chiroptères qui sont en voie de disparition sur la France entière à cause des insecticides, et dans le Sud avec en plus le danger des éoliennes, les avions et hélicoptères passant pour tuer les larves de moustiques utilisaient des produits bio préservant la nourriture de nos petits mammifères volants, mais à partir du 30 novembre 2010, ce produit Le BTI (Bacillus thuringiensis israelensis) ne sera plus homologué ! Peut-être y a-t-il un impact sur les oiseaux, j’ai en effet remarqué que cette année nous avions beaucoup moins de flamands roses que l’an passé, et ce produit a été utilisé pour la première fois en 2006.

Au niveau des éoliennes, ce sont des grands hachoirs et assommoirs, une étude Canadienne a donné la solution pour sauver jusqu’à 90% des chauves-souris !

 

 

En effet, les chauves-souris ne sortent pas au dessus d’une certaine vitesse de vent ! Et n’iront pas se frotter aux pales si on augmente la vitesse de démarrage des Eoliennes de 13 / 14,5 Km/h à 17Km /h.

Les chiffres  constatés sur les collisions entre les oiseaux et les chiroptères migrateurs ou non, sont très encourageants !

Il suffit maintenant de faire de même pour toutes les éoliennes de France, et l’instaurer sur les  parcs éoliens à venir même en mer.

 

 

Une petite vidéo pour mieux comprendre que l’éolienne, c’est l’énergie qui peut être maitrisée!

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