Comment sortir d’une crise, engendrée par le « Patronat » peu scrupuleux, qui ferme des entreprises, les délocalise vers des pays où la main d’œuvre n’a que peu de valeur – payent d’énormes dividendes à des actionnaires qui ne s’impliquent même pas dans l’entreprise –  n’ont aucun état d’âme, aucune compassion – aucun patriotisme. Leur patrie est celle qui les enrichira le plus et peu importe que la France décline industriellement. La solution est toute trouvée : Employés, devenez patron, participez pleinement au développement de votre société et de votre pays et percevez des dividendes bien mérités


 Quelques ouvriers, cadres, employés de sociétés, ont compris que pour maintenir leurs emplois, en France et éviter des fermetures abusives, il leur fallait,  eux même prendre la direction de leur entreprise.

Les avantages d’une gestion « coopérative » sont énormes. Plus de grèves salariales ou autres, Les employés devenus actionnaires, peuvent enfin se partager les bénéfices dégagés par leur travail. Plus aucun intérêt à délocaliser. Plus d’intérêts, non plus à employer de la main d’œuvre étrangère à leur région. Le travail au noir est naturellement proscrit et l’entreprise, qui n’est plus inquiétée et pénalisée par des mouvements de protestation, maintiens ses délais de construction – entretien une qualité de service et de fabrication constante et améliore sensiblement sa fiabilité et son image positive. Combien de marchés important, n’ont pas été passés avec des entreprises françaises pourtant dotés d’une image de marque et d’un savoir faire reconnu, par peur de délais non respectés par des sociétés en proie à la contestation de leurs employés. Les chambres des métiers et du commerce, favorisent de plus en plus la prise de « pouvoir » des employés, dans les dossiers de reprise. La classe « travailleuse » ne  doit pas avoir peur de devenir «le patronat de demain », elle en à les moyens – le courage et l’humanité qui manquent à nos « patrons » Et puis,  si nos dirigeants n’ont pas les moyens – le savoir faire et le courage de faire tourner les machines de « nos » sociétés, laissons les s’expatrier et proposer leur méthode de gestion dans les pays où l’esclavagisme est encore en vigueur Créons pour nos nouvelles entreprises un label véritablement « made in France », un label reconnu à l’étranger comme garanti de qualité – de sérieux et montrons à ce "patronat" qu’ils ne sont pas indispensables à notre survie.