Serez-vous étonnés si je vous dis que la loi, en France comme en Europe, ne condamne pas l’apologie de la pédophilie ? Tant que cela reste du domaine de l’écrit. Sans images pouvant laisser supposer un passage à l’acte. En invoquant toujours l’alibi de Sade ou de Pierre Louÿs pour leur oeuvre littéraire. Une polémique relancée en 2002 avec "Il entrerait dans la légende" de Louis Skorecki, un livre exposant les mille et une façons de violer puis de tuer des fillettes ou des petits garçons. Du comique décalé, paraît-il. Malgré les protestations, l’ouvrage ne fut pas interdit. Pas plus que les sites web proposant au grand jour des "histoires taboues" plus ou moins bien écrites. Au nom de la littérature.
La plupart des défenseurs de cette "liberté d’expression" sont d’ailleurs des "intellectuels" ou de pseudo-penseurs mondains. Les tribulations récentes d’un cinéaste et d’un ministre, ardemment défendus par les gens de leur caste, sont venues nous le rappeler.
Le vote pédophile
La déculpabilisation de l’ignominie commence aux Pays Bas avec un certain Edward Brongersma, élu du parti travailliste et président du comité judiciaire du sénat (excusez du peu !) défenseur d’une pédophilie basée sur le "consentement de l’enfant". Avec son associé Fritz Bernard, un étrange psychiatre, il fonde dans les années 60, dans l’indifférence générale, le premier mouvement pédophile militant pour l’abolition des majorités sexuelles à 14 ou 15 ans.
En juin 1979, devenu le parti politique NVSH, ils proposent au parlement de légaliser les rapports soi-disant consentis entre enfants et adultes. Le projet est rejeté mais le débat acquiert une forme de légitimité et, dans les années suivantes, malgré les scandales et crimes advenus dans des pays limitrophes, les militants pro-pédophiles exposent régulièrement dans les média "l’avantage pour les enfants de connaître le sexe avant la puberté" (sic)
L’Angleterre et l’Allemagne ne sont pas en reste question propagande pédophile, mais des procès retentissants dans les années 1980, freinent la diffusion de cette "littérature".
Il est pour le moins troublant que l’Union EUropéenne si friande à réglementer le diamètre des petits pois et si prompte à réagir au moindre propos politique border line, n’ait jamais exprimé une forte désapprobation sur ce sujet.
La philosophie pédophile
En France, cela ne vaut pas mieux ! Et cela remonte loin… Avant 1942, quand la majorité sexuelle était fixée à 13 ans, des écrivains de renom comme André Gide, Henri de Montherlant ou Roger Peyrefitte se vantaient ouvertement de leur appétence pour les garçonnets. Au nom de leur art. La police et la justice fermaient les yeux sur ces "fantaisies d’esthètes".
Après guerre, Tony Duvert prix Médicis 1973 revendique publiquement sa pédophilie, tandis que Gabriel Matzneff exige le droit au sexe pour les moins de 13 ans. Et en 1975 Daniel Cohn-Bendit tient des propos pour le moins ambigüs sur la sexualité des enfants dans "Le Grand bazar".
Leurs éditeurs ne s’en émeuvent guère. Pas plus que l’ORTF qui leur offre sa tribune. Ni d’ailleurs "Le Monde" où Matzneff est chroniqueur.
Un appui de taille leur vient de René Schérer, frère du cinéaste Eric Rohmer, un philosophe mondain qui clame les bienfaits pour les enfants d’une sexualité avec les adultes et déplore la fin des relations pédérastiques à l’ancienne entre maîtres et disciples.
Schérer sera inquiété lors de l’affaire du Coral, dans les années 1980…
On a peine à croire le nombre d’ignominies qui ont pu être proférées en ce temps là par des gens célèbres, et benoîtement répercutées par des média aussi panurgiques qu’immoraux.
"Le Monde" et "Libération" publient entre 1977 et 1979 diverses pétitions pour l’abrogation des lois sur la majorité sexuelle et la dépénalisation des relations consenties entre adultes et jeunes de moins de 15 ans. Parmi les signataires : les "philosophes" Michel Foucault, Jacques Derrida, Louis Althusser (qui étranglera son épouse 3 ans plus tard mais sera acquitté car tenu pour fou) Jean-Paul Sartre, Simone de Beauvoir, André Glucksmann et Roland Barthes… Les écrivains Louis Aragon, Guy Hocquenghem et Philippe Sollers, le cinéaste Alain Robbe-Grillet (membre de l’Académie française en 2004 !) les politiciens alors en herbe Bernard Kouchner et Jack Lang…
Et, plus surprenant, la pédopsychiatre Françoise Dolto.
En tout cas que du beau linge ! Plusieurs affirmeront, 20 ans plus tard, ne pas s’en souvenir ou avoir signé automatiquement. Amnésiques ou inconséquents nos grands intellectuels ?
Peu de voix s’élèvent contre de tels propos et les média continuent à édicter la loi des pervers.
Toujours en 1979, le pédophile Jacques Dugué (qui prendra 30 ans de réclusion en 2002 pour viols d’enfants et proxénétisme enfantin) publie 2 tribunes libres dans "Libération" où il fait l’apologie de la sodomie d’enfants et affirme "qu’ils aiment ça !"
Le 20 juin 1981, "Libé" (encore lui !) publie "calins enfantins" un article où un pédophile témoigne, en toute impunité, de ses rapports avec une enfant de cinq ans.
Et en 1985, les Verts allemands incluent dans leur programme une proposition de loi visant à abolir
la pédophilie sans violences, en insistant par exemple sur le fait que "les rapports sexuels avec
des enfants seraient bénéfiques tant pour les enfants que pour les adultes".
Condamnations tardives
Dans les années suivantes, divers groupes miitant pour la défense du droit à la pédophilie se constituent en Europe dans l’indifférence générale des politiciens et des donneurs de leçons de bienpensance. Très actifs, ils passent des paroles aux actes, ce qui entraînera leur disparition lors de procès en 1986 – 87 quand il apparaît que Carpentier, un des "philosophes" du CRIES (Centre de Recherche et d’Information sur l’Enfance et la Sexualité) organisait un commerce de vidéos et rencontres pédophiles impliquant 18 pays. Avec, suprême abomination, l’utilisation des locaux de l’UNICEF comme studios !
En 1997, 2 autres "philosophes" de la même mouvance Vuillaume et Gauchet sont condamnés à leur tour pour des faits similaires.
En fait, il faudra attendre les années 1990 et l’affaire Dutroux pour que la pédophilie soit enfin
unanimement condamnée. Du moins en façade. Peut-être parce qu’elle était allée trop loin avec des assassinats d’enfants ? En tout cas, les maîtres à penser font machine arrière. Matzneff se déjuge en traitant de "salauds" ses anciens amis, Cohn Bendit prétend avoir juste voulu "choquer le bourgeois" et Sollers a perdu la mémoire. Les autres, ceux qui ne sont pas morts ou gâteux, se tiennent coi. En espérant que l’oubli fera son oeuvre. Ne dit-on pas que les peuples ont la mémoire courte ?
Des personnalités à qui on rappelle leurs propos d’antan les démentent avec un aplomb incroyable.
Mais les écrits restent… Alors ils affirment que ce sont des faux ou qu’on leur a extorqué leur signature. Une indélicatesse qui aura échappé à ces étourdis pendant un quart de siècle !
Depuis l’an 2000, rien qu’en France, des centaines de personnes ont été condamnées aux assises pour des faits relevant de la pédophilie ou de la prostitution enfantine. On en parle moins parce que ce ne sont pas des "gens en vue", politiciens ou people. Les plus connus sont des notables provinciaux, des ecclésiastiques ou des enseignants. Ils côtoient sur les bancs d’infâmie des gens ordinaires, voire des marginaux.
Les élites se sont-elles acheté une conduite ? Sont-elles trop bien protégées ? Ou ont-elles simplement appris la prudence ?
http://fr.wikipedia.org/wiki/Apologie_de_la_p%C3%A9dophilie
http://fr.wikipedia.org/wiki/P%C3%A9titions_fran%C3%Aa_majorit%C3%A9_sexuelle
http://fr.wikipedia.org/wiki/Centre_de_recherche_et_d_sur_l’enfance_et_la_sexualit%
Article très intéressant, dommage qu’on ne puisse lire les bouts de lignes.
[b]Lorsque la pédophilie reste cachée, elle conduit souvent à l’homosexualité. Excellent résumé: un concentré d’évènements portés à la connaissance du public qui enfin s’insurge ! Merci Christian.[/b]
[b]Excellent pour se rafraîchir la mémoire !!!
Pauvre Humanité !!!!
La civilisation occidentale n’a rien à envier aux négriers du temps de l’esclavage….[/b]
Oui pauvre monde de plus en plus déjanté
[b]Il y a bien moins de risques à « tripoter » un jeune garçon plutôt qu’un adulte?[/b]
Lamentable, à vomir !
Merci pour l’article, j’ignorais l’étendue de ces « crimes sexuels » !
Hé oui, c’est étonnant ce laxisme ? Hé bien non, pas tout à fait ! Figurez-vous qu’il s’agit là d’un comportement typiquement « bobo ». Pas de tabou est le mot d’ordre ! Alors, allons-y, faisons-en la promotion, même contre ses idées s’il le faut ! Il faut à tout prix paraître ouvert à tout ! Il va sans dire que tout ce « beau » monde appartient à la grande bourgeoisie de la gauche « progressiste », dont [i]Libé[/i] et [i]Le Monde[/i] en sont les portes-parole !
Évidemment, lorsque l’on se trouve confronté à ce problème c’est une tout autre histoire : c’est la faute aux autres, cherchons les coupables !
Je suis écœurée !
[b]Pour mémoire: Alexandre Soljenitsyne« On asservit les peuples plus facilement avec la pornographie que par des miradors.
Je précise que la modération m’a censuré un texte concernant ce type de sujet au nom de la charte du site interprétée probablement par des bobos de gauche (et de droite pourrie)Je suis parfaitement d’accord avec Nordi, ces comportements atteignent et même dépassent les abîmes … L’abjection, l’abomination de ces gens doit être pourchassée implacablement (bien que les interdits …?) c’est un combat de très longue haleine, voire de toute éternité. [/b]
sur le même sujet (très récent), en un peu plus dur:
[url]http://dondevamos.canalblog.com/archives/2011/09/28/22179142.html#c45267623[/url]
Nordi, force est de constater que dans les années 60 à 80 l’aristocratie d’argent qui tenait le pouvoir et ses accessoires, économie, média, culture, etc, essayait de légitimer ses perversions en les enrobant de considérations « philosophiques ». Au nom de « leur » liberté de faire ce qui leur plait. Et afin d’éviter un regard trop critique de la société, en comptant sur le panurgisme des « intellectuels ».
On peut être de gauche, et même d’extrême gauche, sans pour autant renoncer au droit de cuisser les manant(e)s revendiqué par Leurs Seigneuries ! 🙁
Après le CRIES et Dutroux, quand la propagande n’est plus possible, parce que le scandale est trop grand, ils changent de braquet. Entre le silence prudent et l’indignation feinte, les bobos pervers profitent de l’impunité qui leur est acquise par solidarité de caste et partage de pratiques déviantes entre gens du même monde.
La conclusion de mon papier sous-entend : ce n’est pas parce qu’ils n’en font plus la promo éhontée qu’ils ont renoncé à leurs ignominies !
D’ailleurs, il faut voir avec quelle unanimité ils défendent bec et ongles ceux des leurs qui sont impliqués dans des affaires de pédophilie…
Incroyable!J’ai appris des choses que je ne connaisais pas!
Je n’ai rien appris de nouveau je connais pire que tous cela,
une fois qu’on a ouvert ces yeux, on connait le mal on sait de quoi il tient ou il se tient
et de ce qu’il est capable de faire dans le coeur des hommes(femmes) !!
Imaginez vous, vous vivez un monde mensonge, éducation histoires comprises !!!
Imaginez que le pouvoir de l’argent et le pouvoir tous cour vous permet tous
les dépassements humaines !!!
Alors vous saurez ou les trouver en nombres !!!
Ceux a qui la racine est le diable en personne !!!
[b]Lorsque que quelqu’un pousse des cris d’orfraie à propos de la déduction pédophilie/pédérastie et insulte, vitupère, invoque la loi, taxe d’homophobie, rameute ses coreligionnaires, n’accepte ni discussion, ni démonstration, ni raisonnement, ni même le simple bon sens, on est fondé à en déduire que ces gens là ont quelque chose de grave à cacher.
Dois-je vous rappeler que les marxistes de tout temps et leurs remugles de gauche ont décidé de détruire la cellule familiale pour mieux séparer les enfants des mauvaises influences bourgeoises des parents, que le viol des femmes en union soviétique était monnaie courante pour mieux asservir la population en faisant régner un climat de terreur du à la la police secrète et les prendre en mains (si je puis dire) dans les crèches d’état.
J’éprouve du dégoût pour ces comportements, je être ce que je suis, monogame hétérosexuelle, c’est mon choix.[/b]
dernière phrase :
je suis ce que je suis et non être
et hétérosexuel (masculin)
http://www.enfancebrisee.fr/theories-pro-pedo.htm
Françoise Dolto et le déni de l’inceste
Dolto, interviewée par la revue Choisir, en novembre 1979.
« -Choisir : Mais enfin il y a bien des cas de viol ?
-Dolto : Il n’y a pas de viol du tout. Elles sont consentantes.
-Choisir : Quand une fille vient vous voir et qu’elle vous raconte que, dans son enfance, son père a coïté avec elle et qu’elle a ressenti cela comme un viol, que lui répondez-vous ?
-Dolto : Elle ne l’a pas ressenti comme un viol. Elle a simplement compris que son père l’aimait et qu’il se consolait avec elle, parce que sa femme ne voulait pas faire l’amour avec lui. »
[Plus loin…]
-Choisir : D’après vous, il n’y a pas de père vicieux et pervers ?
-Dolto : Il suffit que la fille refuse de coucher avec lui, en disant que cela ne se fait pas, pour qu’il la laisse tranquille.
-Choisir : Il peut insister ?
-Dolto : Pas du tout, parce qu’il sait que l’enfant sait que c’est défendu. Et puis le père incestueux a tout de même peur que sa fille en parle. En général la fille ne dit rien, enfin pas tout de suite. »
Qui était Françoise Dolto ?
Françoise Dolto naît le 6 novembre 1908 à Paris, dans une famille catholique et bourgeoise du XVIe arrondissement, quatrième enfant, après sa soeur, Jacqueline, et deux frères.
Le drame de son enfance est la disparition de sa soeur, morte d’un cancer. Françoise a douze ans.
Mme Marette (la propre mère de Françoise dolto) ne le pardonnera jamais à sa cadette, « parce que ma soeur est morte et que c’est moi qui aurais dû mourir selon elle. Ma soeur était blonde aux yeux bleus, comme le père de ma mère, et elle aurait dû vivre parce que, pour ma mère, elle était la fille de l’inceste ».
(Autoportrait d’une psychanalyste – 1934-1988, éd. du Seuil, 1989, p.18).
Voilà l’inexpiable qui fixe une part de son destin.
« Il est utile que les psychanalystes qui écrivent, livrent dans la mesure du possible, ce qu’ils ont compris de l’énigme de leur histoire personnelle » .
Françoise Dolto
[b]Dolto était une névrosée qui ne s’est jamais soignée ! à la limite de l’incitation aux pires turpitudes humaines sous couvert (excuses) de sa (pseudo)science. Elle aurait dû finir dans un asile et non sur les plateaux de télévision[/b]
Les citations de Françoise Dolto prises sur un forum et ressorties telles qu’elles sont des extraits totalement sortis de leur contexte. A ce petit jeu des citations on peut rendre Gandhi ultra violent, Marx capitaliste, Platon niais etc…
Dolto n’est plus en odeur de sainteté, c’est clair et on lui fait dire LE CONTRAIRE de ce qu’elle préconisait: l’enfant-roi (ou doit-on parler plutôt d’enfant non structuré) pour autant qu’il existe , est le contraire des théories de Dolto;le problème étant que ses détracteurs ont pour leur immense majorité jamais ouvert un de ses ouvrages, ni écouté une de ses nombreuses conférences.
on préfère les neuros sciences et Cyrulnik!
[b]justement, à point nommé
[url]http://www.come4news.com/ue-mesures-drastiques-contre-les-pedophiles-320454[/url][/b]
Ceux qui affirment qu’ils ont choisi leur sexualité sont les complices des pédophiles car ils affirment « le libre choix », ce qui est une aberration fondamentale. Dire que « Moi, j’ai choisi d’être hétéro, blanc et normal » revient à dire « Moi, j’ai choisi d’être homo, noir et pervers » comme quand on choisit entre des bananes et des figues au supermarché. Dès lors, on peut considérer que les enfants choisissent eux aussi leur sexualité… N’importe quoi ! On ne choisit pas cela. Le croire est la source du vice, bien cachée chez des soit disant ennemis de la pédophilie alors qu’ils en sont complices. Un enfant ne choisit pas sa sexualité, pas plus qu’un adulte non plus. Il n’y a pas de choix mais des comportements sexuels dont certains sont nuisibles à la vie, à la façon d’une maladie. La pédophilie est une maladie sexuelle. Elle est comme la peste. Et tous ceux qui la défendent par leurs croyances au libre choix sont complices de cette peste.