Année après année, le débat concernant les mises en échec illégales et les coups salauds fait énormément jaser. Dans la partie de samedi contre les Kings de Los-Angeles, le défenseur du Canadien Josh Gorges s'est fait servir un coup de coude directement à la tête par le robuste défenseur québécois Denis Gauthier. En plus d'avoir le coude très haut, il a sauté pour distribuer sa mise en échec.

Voici la mise en échec :

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Les dirigeants de la ligue nationale devrait être plus sévère à l'endroit de tel gestes. Les victimes de ces gestes sont souvent tenus à l'écart du jeu pour une longue période, tandis que les agresseurs reviennent au jeu une ou deux semaines plus tard.


Dans le cas mentionné plus haut, Josh Gorges est victime d'une commotion cérébrale tandis que Gauthier, a écopé de 6 matchs de suspension.

Dans des cas où il y a vraiment un assaut, la ligue se doit d'intervenir. Un option qui a déjà été discutée par des analystes serait de suspendre le joueur "agresseur" tant et aussi longtemps que le joueur blessé n'est pas en mesure de revenir au jeu. De cette manière, les joueurs réfléchiraient davantage avant de faire de tels gestes ou en subiraient les conséquences s'ils ne comprennent pas plus.

L'an dernier, la saison de Patrice Bergeron a pris fin après seulement dix rencontres lors d'une mise en échec illégale encore une fois. Un autre québécois, Simon Gagné, a joué 25 parties avant d'être également victime d'une commotion cérébrale.

Il y a aussi les coups de bâtons et les joueurs qui sortent les genoux qui doivent être punis sévèrement, car cela peut mettre fin à une carrière. Pour ce qui est des batailles, elles sont un autre dossier complexe que la ligue nationale de hockey doit étudier.

Sébastien