Les Cannabis et ses effets : analyse détailée

Le cannabis est une drogue difficile à cerner. Les opinions sont très partagées lorsqu'il est question de cette drogue dite douce; certains sont convaincus de ses bienfaits, tandis que d'autres veulent la faire disparaitre pour toujours.
En fait, la question à savoir s'il faut ou non considérer la marijuana comme étant dangereuse est beaucoup plus complexe qu'elle n'y paraît. À mon avis, il faut d'abord observer ses effets sur le cerveau humain pour ensuite tirer des conclusions. C'est précisément ce que je m'efforcerai de faire tout au long de cet article. Vous aurez droit à des faits, mais aussi à quelques unes de mes théories personnelles. Je tiens à vous avertir que je ne crois, en aucun temps, détenir la vérité absolue. J'espère seulement que ces théories, même si elles s'avèrent fausses, puissent lancer quelqu'un de plus expérimenté sur une piste afin d’aboutir à de meilleures réponses.

 

Le Cannabis et l’asymétrie cérébrale
Il existe une panoplie d’information à propos des effets du cannabis. Cependant, je n’ai pu trouver quoi que ce soit qui relie la marijuana avec nos deux cerveaux.
Le cerveau est divisé en deux hémisphères; le gauche et le droit. C'est ce que l'on appelle l'asymétrie cérébrale. L'humain est le seul être vivant dont les deux côtés du cerveau sont affectés à des tâches différentes. Pour vous donner une idée générale, le côté gauche abrite la conscience tandis que le côté droit, l'inconscience. Ces deux hémisphères communiquent entre eux grâce au corps calleux. C'est le lien, chez les mammifères, qui connecte le cerveau droit au cerveau gauche. Composé de plus de 200 millions de neurones, ce lien est essentiel au bon fonctionnement cognitif de l'être humain. (http://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A9solobe)

Le Cerveau Gauche
Commençons par parler de l'hémisphère gauche. Dans 90 % des cas, c'est celui qui est le plus développé chez l'être humains. (http://cerveaudroit.ouvaton.org/article.php3?id_article=17). On l'appelle également l'hémisphère dominant. Il agit en quelque sorte comme un filtre qui trie toutes les informations venant du monde extérieur. Il classe et met de l'ordre dans l'océan de données que reçoivent les cinq sens. Il traite les informations de façon séquentielle, exactement comme fait l'ordinateur. Donc, le cerveau gauche analyse une par une chaque parcelle d'information.
Il trie les information en ordre d'importance, et se débarrasse de ce qui est inutile. De cette façon, nous ne sommes pas alerté par quelque chose de banal ou de familier, comme la température ambiante par exemple. Il se fit sur les expériences vécues pour que nous n'ayons pas à se préoccuper des choses qui font partie du quotidien. Comme mentionné ci haut, lorsque la température ambiante est normale, nous en sommes rarement conscient. L’hémisphère gauche bloque cette information car elle est inutile; elle ne consiste pas en une menace; elle n'est donc pas importante. Cependant, s'il se met à faire trop froid ou trop chaud dans la pièce, on se rend très vite compte de l'anomalie. Sans cette capacité, il nous serait impossible de vivre normalement dans ce monde étrange dans lequel nous vivons. C'est aussi grâce à l'hémisphère gauche que nous parlons. En effet, c'est à cet endroit précis qu'habite le langage ; C'est dans cette région du cerveau que loge cette petite voix intérieure: la conscience. C'est d'ailleurs pour cela qu'il n'est pas possible de réaliser qu'une chaise est rouge sans le formuler clairement en mots intérieurement.
En résumé, l'hémisphère gauche est logique, il calcule, classe, associe, résous, analyse, pense. C’est lui qui est raisonnable, qui pose les limites, qui filtre le monde extérieur. Il analyse les informations de manière séquentielle, c'est-à-dire une par une, du début jusqu'à la fin. Sans l'hémisphère gauche, il nous serait impossible de lire et écrire, parler, compter, résonner, et même d'être conscient de quoi que ce soit.

Le Cerveau Droit
Le cerveau droit, quant à lui, est très différent de son confrère. Je dirais même que c'est complètement l'opposé. C'est à l'intérieur de l'hémisphère droit qu'existe l'inconscience (http://cerveaudroit.ouvaton.org/article.php3?id_article=18). C'est là-bas que passent, sans exception, toutes les informations venant du monde extérieur. Ce côté du cerveau ne trie pas; il se gave d'absolument toutes les données qui proviennent des 5 sens. Il est au courant d'absolument tout ce qui l'entoure. C'est lui qui comprend le langage corporel. C'est grâce au cerveau droit que l’on aime, ou que l’on n’aime pas. Il ne se base pas sur ce qu'il connait et reste objectif. Il ne fait que voir, entendre, sentir, goûter, ou toucher. C’est lui d'ailleurs qui détecte les phéromones
Il ne se concentre pas sur les détails, mais a plutôt un point de vue global. C'est aussi lui qui crée, qui invente de nouveaux concepts, qui trouve de nouvelle solutions. Souvent, ce sont les artistes qui possèdent un hémisphère droit plus développé que la moyenne, ce qui leur permet d'être inventif. Tout le monde a déjà entendu parler du phénomène des artistes gauchers. En effet, les personnes gauchères ont souvent un cerveau droit plus développé que la moyenne.
Le cerveau droit est avide de complexité. Il aime le désordre, le chaos, contrairement à son voisin qui ne peut supporter autre chose que l'ordre absolu. Il voit et comprend ce que l'on n'est pas conscient et remarque tout grâce à sa vision d'ensemble. Il regarde grâce à la vue périphérique et remarque ce que vous ne regardez pas.
Donc, le cerveau droit est celui qui sait tout, qui ressent tout. Sans lui, nous serions constamment dérangé par la marée de sensations que nous bombarde le monde extérieur. De plus, il ne serait pas question de trouver de nouvelles solutions, d'inventer de nouvelles choses, d'évoluer. Sans lui, nous ne serions pas vraiment intelligents non plus.

Les effets du cannabis sur moi-même
Alors, maintenant que je vous ai endormi avec cette foule d'informations sur le cerveau humain, il serait important de retourner à nos moutons en commençant enfin à aborder notre thème principal: le cannabis et ses effets. Je commencerai par vous décrire mes propres observations sur moi-même. Ensuite, je vous ferai part de celles faites sur les autres, et finalement les corrélations constatées grâce mes minces connaissances sur le cerveau humain. Pour l'instant, parlons cannabis!
Pour moi, les effets sont très variables. Le tout dépend de plusieurs facteurs. J'ai remarqué que ses effets sont très différents tout dépendamment des circonstances de la consommation.
Par exemple, le pot peut me rendre extraverti, comme il peut me rendre très renfermé sur moi-même.
Dans les cas où je suis extraverti, il m'est très facile de communiquer facilement et rapidement. Je peux parler pendant des heures sans aucune fatigue, avec un intérêt sans vergogne envers l'autre interlocuteur. Je suis capable de calculer, mais incapable de faire taire cette voix intérieure. Lorsque ça m'arrive, je suis capable de parler avec davantage de facilité en français, mais aussi en espagnol, et surtout en anglais. Les vire langue comme "papier, panier, piano" deviennent ridiculement faciles à prononcer rapidement. Écrire des textes cohérents est plus aisé puisque mon vocabulaire me semble décuplés. Lorsque le pot me rend ainsi, à mon avis, c'est parce que mon cerveau gauche est le plus actif. Souvenez-vous, l'hémisphère gauche est l'hôte du langage. Les aptitudes linguistiques semblent beaucoup plus alertes qu'à la normale, et, par conséquent, on devient "jaseux". J'ai commencé à penser le jour où j'ai découvert le cannabis. En fait, la personne que j'étais auparavant est complètement différente de celle que je suis aujourd'hui. J'ai eu des tonnes de prises de conscience, presque toutes sous l'effet du cannabis.

Dans le cas inverse, lorsque le cannabis me rend renfermé, je suis alors inapte à toute communication normale. Je bafouille, je suis mal à l'aise en présence des autres; j'ai envie d'être seul. Me concentrer pour lire m'est presqu'impossible; encore moins composer un texte. C'est souvent dans ces moments où je n’angoisse pour aucune raison. En revanche, seul, je suis très bien. C'est d'ailleurs de loin le meilleur état d'esprit pour créer. Je suis artiste. Je pratique l'art avec divers médiums, mais mon préféré est la peinture numérique (peinture faite sur un canevas numérique avec un logiciel d'imagerie comme Photoshop). Depuis que j'ai commencé à consommer, je n'ai pu m'empêcher de remarquer l'évolution phénoménale de mes compétences picturales. Dans cet état de solitude, c'est le silence total dans ma tête; les pensées verbales cessent de se bousculer soudainement, pour laisser places aux idées nouvelles. C'est un peu comme si mon cerveau droit (l'inconscient) prenait le dessus, comme si l'autre cerveau était temporairement à "off" et cessait de m'empêcher de remarquer le banal. Je suis inexplicablement intéressé par une simple image ou vidéo. Je suis totalement distrait; un rien capte mon attention. J'ai l'impression de comprendre davantage le monde dans lequel je vis car j'ai l'impressions de le voir dans son ensemble. Il m'arrive constamment, depuis que je suis un consommateur, de faire des liens et comprendre le fonctionnement des choses par moi-même. En tant qu'artiste, c'est un atout majeur. En fait, j'ai énormément de difficulté à prendre position vis à vis le cannabis.

Les sens

Lorsque que "bien gelés", les sens nous semblent décuplés. C'est comme si le cannabis augmentait le volume de nos capteurs sensitifs. Les vibrations de la musique sont perçues à travers tout le corps. Il devient donc très plaisant d'écouter de la musique à haut volume avec un bon système de son. Je peux passer des heures dans mon auto à déranger les voisins en écoutant la musique au maximum.
La vue est différente. Je vois davantage avec ma vue périphérique. Cette vue périphérique est l'habileté que les yeux ont de voir les choses sans les regarder directement. Cette habileté du cerveau droit (http://www.bozarts.org/pages/cerdroit.htm) me semble exacerbée lors de la consommation. En effet, je suis davantage capable de dessiner ce que je vois, et avec plus de rapidité. Reproduire une photo en peinture est inexplicablement plus aisé. C’est ainsi que j’en suis venu cette hypothèse voulant que le cannabis rende mon cerveau droit plus actif. (http://cerveaudroit.ouvaton.org/article.php3?id_article=22)

Lorsqu'affecté par le cannabis, je remarque beaucoup plus ce qui m'entoure spatialement sans avoir à détourner les yeux. Par exemple, il m'arrive souvent d'avoir l'impression qu'il y ait quelqu'un derrière moi. Souvent, ce quelqu'un n'est qu'une chose bien banale qui n'aurait pas dû susciter mon attention. Étrangement, il m'est presqu'impossible d'arrêter d'y prêter attention, même si je sais que ce n'est rien. On dirait que mon cerveau gauche ne fait pas son boulot en ne triant pas les informations banales, un peu comme s'il était déficient. Il m'arrivait, au début, d'avoir toujours l'impression que quelqu'un me regardait. Le même phénomène s'est produit chez un bon ami à moi. Nos symptômes étaient les même: toujours l'impression que les gens s'apercevait de notre état second. Ceci amène beaucoup de stress chez l'utilisateur de cannabis. Cela s'apparente même à de la paranoïa.

La concentration

Se concentrer devient très difficile si l'on est sujet à la tentation. Par exemple, je connais quelqu'un qui doit absolument débrancher le câble d'Internet s'il veut pouvoir faire ses devoirs avec son ordinateur. Il devient trop facile de partir à naviguer sur Internet et ne pas faire sa besogne. C'est pourquoi du cannabis lors de la réalisation de travaux scolaires est une grande nuisance.
Lorsque j'ai consommé, je deviens très ludique. Je suis constamment perdu dans mes pensées qui passent d'un sujet à un autre. J'éprouve un intérêt anormal pour à peu près tout. De cette façon, il est facile de tomber dans la dépendance puisque le pot rend une soirée morne en une soirée intéressante. C'est mon cas.

Anxiété et angoisses
« …une personne anxieuse qui consomme pour se calmer pourrait voir ses réactions de panique augmenter, et la personne isolée qui fume à l'excès aurait encore plus de difficultés à entrer en contact avec les autres.» (http://www.cocp.ulaval.ca/sgc/pid/1085). Je dois malheureusement confirmer cette affirmation. J’ai remarqué que mon niveau d’anxiété avait grandement augmenté ces deux dernières années, mais je n’avais jamais fait le lien avec ma consommation. Un deuxième problème connexe est l’angoisse. J’ai des périodes d’angoisse pour aucune raison précise. Maintenant que j’en connais davantage à propos du cannabis, j’en suis venu à y associer ces problèmes que je n’avais pas auparavant.

La motivation
Le pot gruge l'énergie du consommateur et le rend moins motivé. C'est quelque chose que je crains énormément, et je m'efforce de ne pas tomber dans le gouffre. En effet, j'ai toujours été le genre de personne qui se donne à fond. Je suis une personne très motivée, mais j'ai remarqué que le pot diminue grandement cette motivation. C'est un dur travail sur soi-même que de réussir à trouver un équilibre entre consommation et responsabilités.

Autre effets
Voici quelques effets du cannabis directement tirés de : http://www.etape.qc.ca/drogues/cannabis.htm
« Rougeur de l'œil, rire spontané, somnolence, augmentation de l'appétit, paranoïa, anxiété ou panique légères, coordination, habiletés motrices et temps de réaction moindres, perte de mémoire à court terme, augmentation du rythme cardiaque et baisse de la tension, un assèchement des muqueuses buccales et de la gorge, irritation des voies respiratoires (lorsque fumé). »
« La perception du temps et de l'espace sont déformés. Certains consommateurs se replient sur eux-mêmes, ou ressentent de la peur, rient sans raison apparente, souffrent d'anxiété, de dépression. »« La combinaison d'alcool et de cannabis on pour effet d'accroître les effets de l'un et l'autre et peut entraîner des troubles graves. »

En soi, l'intoxication au cannabis n'est pas mortelle. Toutefois, le cannabis affecte la concentration, la perception, les réflexes et la coordination. Ces effets modifient la capacité d'une personne à conduire prudemment (autos, bateaux, motoneiges, etc.) ou à utiliser tout appareil ou machinerie. »
Utilisations Thérapeutiques
Selon le rapport de Pierre-Claude Nolin, la marijuana pourrais traiter différents types de maux et conditions. En voici quelques exemples :
– Soulager la nausée causée par la chimiothérapie
– Redonner l’appétit chez les gens souffrant du SIDA
– Traiter les glaucomes
– Contrôler les spasmes et les consultions chez les épileptiques
(http://books.google.ca/books?id=L_5gu-eUfE8C&pg=PA91&lpg=PA91&dq=pierre+claude+nolin+marijuana&source=bl&ots=S2-2dL5BOF&sig=tCkkGXC2GR5LLDjBZ6GVYKL0JuY&hl=fr&ei=WKoRSpmLNIyW8gSXjaGhBg&sa=X&oi=book_result&ct=result&resnum=2#PPA94,M1)

En résumé, la marijuana pourrait peut-être traiter ces différentes conditions mieux que certains médicaments actuels. Cependant, pour que le cannabis soit accepté en médecine, il faudrait qu’il existe des études cliniques rigoureuses utilisant des protocoles bien organisés. C’est ce critère qui ralenti le processus de recherche et d’implantation sur le marché. Il ne faut pas oublier que tout ceci ne fait pas l’unanimité non plus.

En conclusion, Avec l’écriture de cet article, je me rends bien compte que je me suis embarqué dans un sujet extrêmement nébuleux. Il semblerait que personne n’ait la même version des faits à propos de la marijuana. L’un en fait l’éloge, l’autre la descend. Cependant, après mes nombreuses lectures, j’ai plutôt tendance à croire ceux qui sont contre son usage. Le pot nuit. On ne peut le nier. Avec le temps, une consommation abusive est très néfaste. Il n’en reste pas moins que la marijuana a ses bons côtés dans divers milieu, comme la médecine par exemple. Je suis entièrement pour une utilisation pharmacologique.

 

2 réflexions sur « Les Cannabis et ses effets : analyse détailée »

  1. Etre le maître des ses consommations, non l’esclave…
    Pour ma part, j’ai expérimenté l’usage du cannabis il y a 11 ans de cela.
    Comme pour Jordanroots, cela m’a ouvert l’esprit comme il ne l’avait jamais été auparavant. J’ai pu commencé à déceler la pensée derrière la pensée : la pensée racine qui m’a permis le « don » de la perception et surtout une introspection très poussée. 3 ans plus tard, je passais un bilan de compétance. La dame qui s’occupait de mon dossier m’a dit qu’elle avait rarement vu de pareils résultats. Les tests m’ont noté 9,5/10 en introspection et -4 en tolérance… Ca m’a un peu choquée d’être à -4 car je confondai alors patience et tolérance. Mais le plus important, c’est que l’on m’a dit que j’était fait à 88 % pour être scientifique chargée d’étude de l’homme. J’ai donc repris mes études et suis rentrée à la fac sans le BAC car j’avais arrêté ma scolarité après un CAP-BEP. Ils m’ont validé les acquis du BAC sans même me faire passer un examen, ou ne serait-ce qu’un test. Ils se sont fiés à ma lettre tout simplement. Lettre que j’avais écrite après avoir fumé…
    Mais, parce qu’il y a un mais, j’ai également expérimenté l’abus du cannabis où je suis restée plusieurs jours à fumer du matin au soir. Aucune envie de sortir ou rencontrer des gens. Besoin de rester seule avec moi, tendance à l’aggressivité si on ne comprenait pas mon besoin de solitude. Disons que cela m’a rendu anti-sociale… Ce qui ne m’a pas empêché de développer quelques talents comme la peinture ou autre travail manuel.
    Puis je suis partie sur un coup de tête venu d’un rêve, sur le chemin de compostelle où j’ai marché approximativement 1000 km à pied.
    Le cannabis m’aura permis d’apprendre à me connaître, de savoir ce que je ne voulais plus et ce que je voulais. Cela m’a permis d’aller plus loin que mes peurs, de me dépasser.
    Par contre, ce que j’ai compris, c’est qu’il fallait en être le maître et non l’esclave… Quoi que l’on consomme, tout peut « devenir » drogue. Que ce soit l’alcool, la nourriture, le sexe, la compassion et même l’amour, l’abus n’est pas bon, que ce soit d’un sens ou de l’autre. Donc je répète, de mon point de vue, je pense qu’il faut être le maître de ses consommations et non l’esclave…
    Nathalie

  2. Je suis tout à fait d’accord avec toi Jordanroots, voila une étude bien détaillé sur les effets négatif/positif. On stigmatise trop souvent le côté négatif sur le sujet. Le cannabis m’a également permis à me connaître grâce à de multiples prises de conscience. Je n’en serait pas arrivé la sans lui. Et l’important est de ne pas être esclave de sa consommation comme le dit Nathalie. J’ai quand même fini par arrêter pour retrouver un meilleur état de santé et une bien meilleure forme mais je ne regrette pas.

Les commentaires sont fermés.