Voilà une question que bon nombres de chefs d’état aux quatre coins du monde se posent actuellement. Comment faire taire une révolution populaire? Voici par exemple, une liste exhaustive des « meilleures » solutions trouvées par les chefs d’état dictatoriaux au travers du globe pour y arriver.
Règle n°1 : Censurer la presse Locale et Internationale
Censurer la presse est un moyen sûr et efficace d’atténuer tout mouvement révolutionnaire. Un moyen permettant de ne pas laisser se propager des mouvements de grognes, susceptibles au travers de la presse de se gonfler, et prendre une ampleur trop importante. Le meilleur moyen par ailleurs restant de nationaliser bon nombre de médias importants tout en faisant « couler » les plus petits avec l’aide notamment de sabotages, d’intimidations en tous genres, ou encore d’attentats envers les locaux de récalcitrants, voir en piratant les médias concernés.
Dans toute guerre populaire, la gangrène redoutée par les chefs d’état, est la presse. Et d’autant plus la presse Internationale, qui relayant d’une façon ou d’une autre les informations sur les évènements d’un pays, crée une mauvaise image du dit pays et par la même occasion du gouvernement en place, avec en tout premier lieu, une (très?) mauvais image du leader politique nationale. En Irak, Corée du Nord, Egypte, etc.. cette méthode porte ses fruits et écarte à coup sûr des lieux des manifestations les journalistes imprudents qui voient là le risque de se retrouver arrêter pour des contrôles de visas et gentiment emmenés dans des postes de polices ou de contrôles loin des mouvements. Une méthode qui a fait ses preuves, certaines nations n’hésitant pas par ailleurs, à directement condamner les journalistes puis à les exécuter pour « troubles à l’ordre publique », ou encore « espionnage ».Les spécialistes du genre étant notamment la Corée du Nord et l’Iran.
Des préceptes mis en place notamment par feu le « Président » Ben Ali, ou encore le Général Kadhafi, voir même les présidents Bouteflika et Moubarak. Des valeurs sûrs donc qui n’ont pas hésité à mettre cette règle n°1 en application, mais attention il arrive parfois que certains médias changent de camp en cours de route, et là tout devient plus compliqué pour les gouvernements.
Règle N°2 : Couper les communications cellulaires
Contrôler les communications cellulaires, une idée intéressante, permettant de ne pas voir les informations allées trop vite d’une région à l’autre ou encore d’un pays à l’autre. Une méthode permettant de désunifier les mouvements qui peuvent poindre à divers endroits d’une même cité,tout en déséquilibrant la corrélation populaire liée à l’accession aux communications cellulaires.
Une méthode mis notamment en place par le Président Moubarak en Egypte sur les lieux des manifestations, permettant ainsi de mieux refouler par exemple les médias occidentaux qui étaient dans l’impossibilité de transmettre les « lives » à leur employeurs et à leur spectateurs.
Règle N°3 : Imposer un couvre feu
Quel meilleur moyen pour avoir un semblant de calme que d’imposer aux rues de se vider sous peine de représailles? Aucun. La meilleure façon pour cela de faire, et de décréter un couvre feu. En effet, grâce à cette mise en application du couvre feu, toutes les personnes présentent dans la rue passée l’horaire de mise en application, sont déclarées hors la loi. Dans ce cadre, il est donc « légal » d’arrêter ses personnes ou encore de les détruire, ces dernières ayant volontairement outrepassées les directives nationales en bravant l’autorité judiciaire. Une méthode souvent utilisée, mais qui présente beaucoup de limites, car si beaucoup se mettent d’accord au sein de la population pour braver la loi, alors il devient plus que difficile pour le gouvernement de faire taire les opposants. Cela ferait bien trop de monde à arrêter ou tuer sans que cela ne soit repris ensuite par les médias de tous horizons.
Une méthode à utiliser donc avec parcimonie car les limites sont importantes, et vraiment risquées pour l’équilibre et la quiétude nocturne des dictats.
Règle N°4 : Censurer la Toile et les Réseaux Sociaux
Internet est devenu un formidable outils de cohésion pour les peuples opprimés. Un outil permettant de se réunir, de discuter, de s’organiser, de se mobiliser, et de débattre sur les évènements de tel ou tel pays. Un moyen aussi de s’informer sur ce qu’il se passe au sein d’une nation sans que les médias tributaires de la règle n°2 n’en soient informés. La toile, ou la vie en 2D, est devenue plus qu’une arme de destruction massive de dictats à travers le monde, et beaucoup commencent vraiment à la craindre, celle ci ne pouvant réellement être contrôlé en toute discrétion par personne. Une méthode qui notamment à porté ses fruits en Libye, ou le Général Kadhafi est passé maître dans l’application de cette règle. Un poison pour les chefs d’états dictateurs qui est plus dangereux encore pour eux qu’une arme atomique.
Twitter, Facebook, etc…des noms qui font trembler les pires gouvernements du monde. Des noms encore inconnus il y a quelques années qui aujourd’hui ont réussi grâce à des jeunesses fougueuses à renverser les dictatures les plus installées. Ben Ali par exemple, le dictateur Tunisien avait sous estimé cette force de frappe populaire, et à fini par s’en fuir de Tunisie face à la pression populaire. En Egypte, le président Moubarak n’a pas fait la même erreur et à censurer directement, dès les prémices des mouvements populaires, ces moyens d’expression pour ne pas avoir lui aussi à migrer en direction de l’Arabie Saoudite. Les réseaux sociaux sont une réalité fictive ayant découlé sur une vérité réelle, une vie en 2D qui a fait des ravages en 3D.
Règle N°5 : Ne pas perdre la puissance militaire
La puissance militaire. Cette force de frappe armée et surentraînée, capable à elle seul de remporter tous les combats. Une force essentiel à la pérennité d’un gouvernement à la protection de ses acquis. Une force permettant à elle seule, de ne pas craindre de révoltes populaires et de gérer sans difficultés aucunes toutes les situations de crises à l’intérieur d’une nation. Perdre le soutien et l’appui de cette force est automatiquement signe de défaite pour un dictateur, comme le Président Ben Ali a pu le prouver en Tunisie. Or s’attacher et fidéliser les services d’une armée sous l’égide de son gouvernement permet de garantir la quiétude du chef en place. En Corée du Nord, Egypte, Algérie, Libye, etc, l’armée agit pour le compte du gouvernement en place et cela sans vergogne ce qui permet aux leaders de tout bords de ne pas craindre réellement de renversement politique. Pour faire une bonne dictature, bien solide, l’essentiel est donc d’avoir une armée puissante.
Vous l’aurez compris, pour faire un bon dictateur et annihiler toute menace populaire, l’essentiel est de« Censurer la Presse Locale et Internationale », « Couper les Communications Cellulaires », « Imposer un Couvre Feu », « Censurer la toile et les Réseaux Sociaux », et « Avoir la confiance de l’armée ». Grâce à ces 5 règles plus que simples, il est impossible de perdre une guerre civile, d’autant plus si toutes les règles sont appliquées en même temps, et que vous êtes à la tête d’un état réputé pour sa qualité d’exportation, le mieux étant d’être une nation productrice de pétrole, et/ou encore de représenter un vrai intérêt diplomatique pour les autres nations du Globe. Être dictateur ne s’improvise pas, et pour faire un bon dictateur il est certaine règles qu’il faut absolument connaître sans quoi votre pouvoir n’en sera que plus éphémère.
Voici donc la liste des 5 règles appliquées en Tunisie (en son temps), Algérie, Libye, Mauritanie, Egypte, Cisjordanie, Corée du Nord, Iran, etc…et qui ont fait la force des dirigeants politiques en place. Des règles qui appliquées à la lettre seront gages de succès pour nos dictateurs en devenir. Comme quoi, la dictature tient vraiment à peu de choses.
Pour ceux qui ne l’aurait pas compris, bien évidemment je ne suis adepte de la dictature, et je prône plutôt la liberté populaire. Ce texte est avant tout une satyre visant à démontrer l’autoritarisme qui gît actuellement sur plusieurs trop nombreuses régions du monde.
@supertitom,
très bon article,
qui va facilitez la vie d’un futur dictateur! 😀
J’attends la suite naturelle de cet article:
comment s’organiser pour contrer toutes ces atteintes aux libertés!
Excellent articl Tom, mais vous oubliez la Chine dans votre liste; elle est l’exemple meme de la repression efficace , rappelez vous Tien A men, malgré les differents boycotts depuis 20 ans. (et avec la bienveillante neutralité de tous les occidentaux)
[b]Raisin Fraise,
merci pour ton passage et ce commentaire vraiment gentil.
Pour la suite je vais y songer, et qui sait de quoi l’avenir est fait..sourires..nous verrons bien, ce n’était pas dans les tubes pour le moment mais pourquoi pas..;
Très Amicalement
Tom[/b]
[b]AgnesB,
merci d’être venu vous poser par ici, et rassurez vous je n’oublies pas Tien an men, loin de là..La répression gouvernementale m’horripile au plus haut point, et j’ai pensé citer la Chine, mais dans cet article cela aurait fait trop..Une prochaine fois peut être, car j’y songe en effet, mais pour d’autre raisons à la base…mystère..
Très Amicalement
Tom[/b]
Monsieur Supertitom , présentement j’ai trois ans , je suis chinois
Je n’ai plus de maman, mon père me bat tous les jours parfois avec un martinet, il me dit qu’est ce que c’est pour mon bien, il veut que je sois quelqu’un de bien plus tard.Je ne veux plus aller à l’école à cause des châtiments corporels
Monsieur Supertitom, il y a des dictateurs partout, à l’usine où travaille mon père également, pq ne parlez-vous pas de la Chine? Par pudeur ? -Monsieur Supertitom Avez vous peur du martinet ? c’est d’autant plus étrange qu’en France vous ne risquez pas grand chose sauf d’être privé de votre nouvelle console de jeu .
En France vous avez le cul dans le beurre
Je vous souhaite une bonne année du lapin
[b]J’ai trois ans,
Merci pour votre passage et votre commentaire si poignant. Je n’ai effectivement pas parlé délibérément de la Chine. Non pas que j’ai peur de cette dernière n’ayant aucune innovation technique à pirater contrairement à Renault, mais si j’ai évité de parler Chinois, c’est pour tout autre chose.
La Chine je la scrute pour des raisons économiques actuellement du fait notamment de ses rachats de dettes en Afrique ou en Europe. Je n’élude pas le sujet chinois, loin s’en faut, mais j’ai parfois l’impression et vous me direz si je me trompe, que la Chine cherche à s’implanter aux quatre coins du globe avec parcimonie et adresse aux yeux et aux barbes des soit disant pays riches…
La Chine fera l’objet d’un prochain article rassurez vous.. Je ne compte pas l’oublier, loin s’en faut..
Très Amicalement
Tom[/b]
[quote]nsieur Supertitom, il y a des dictateurs partout, à l’usine où travaille mon père également, pq ne parlez-vous pas de la Chine? Par pudeur ? -Monsieur Supertitom Avez vous peur du martinet ? c’est d’autant plus étrange [b]qu’en France vous ne risquez pas grand chose [/b[b]]sauf d’être privé de votre nouvelle console de jeu .[/b]
En France vous avez le cul dans le beurre[/quote]
j’ai trois ans,vous apprenez vite!Il est vrai que dans nos pays « la dictature » est un peu une légende…
Et je pense que les gens « gatés » (comme des enfants) ne savent plus la valeur des choses et « grognent » pour le plaisir de grogner!(« la grogne,ça marche!)
Je remercie mon pays de ne pas être en prison!J’ai quatre ans mais j’écris des poèmes contre la société actuelle qui ne passerait pas ailleurs.
Et ce n’est pas demain qu’on viendra détruire ma maison…
[quote]Pour ceux qui ne l’aurait pas compris, bien évidemment je ne suis adepte de la dicta[b]ture, et je prône plutôt la liberté populaire.[/b][/quote]
salut Tomy,
Comment vois tu « la liberté populaire »?
Comme sur le site C4N?
« Tout le monde il est beau,tout le monde il est gentil »?
J’en doute…
[b]Mozarine,
Merci pour ta visite ma petite poétesse.
La liberté Populaire? Une vraie énigme en soit, qu’il est bien difficile d’imaginer, car nul peuple ne peut vivre en utopie démocratique. Tout le monde rêve d’une liberté complète, mais celle ci aurait le prix de l’anarchie..A partir de là que faire? Trouver un compromis démocratique avec une équité politique, mais là encore rien n’est facile..
Merci de ta visite en tous cas
Très Amicalement
Gros bisous
TOm[/b]
[b]De l’expérience de la liberté…[/b] à l’universalisation du respect commun
– De sa propre libération (de soi-même), il nous appartient de déterminer et de nommer la communauté, le commun, le partage de la liberté, voire l’égalité incommensurable, ô respect de tout un chacun… de tous en chacun, que l’on se propose d’appeler fraternité.
« [i]La communauté partage la démesure de la liberté. Et parce que cette démesure ne consiste en rien d’autre que dans le fait ou dans le geste de se mesurer à rien, au rien, le partage (de la commune mesure) de la communauté est lui même la commune (dé)mesure de la liberté. Ainsi sa mesure est commune, mais non sur le mode d’une mesure donnée à quoi tous se réfèrent : elle l’est sur le mode de la démesure du partage de l’existence. C’est l’essence de l’égalité, et c’est l’essence du rapport (de l’autre en nous-mêmes) – de nous-mêmes en l’autre. C’est aussi la fraternité, s’il faut dire que la fraternité, en deçà de toute connotation sentimentale, (mais non en deçà des possibilités de passion qu’elle recèle, de la haine à la gloire en passant par l’honneur, par l’amour, par la compétition pour l’excellence etc.) , n’est pas le rapport de ceux qu’unit une même famille, mais de ceux dont le père, ou la substance commune, au travers de l’initiation, a disparu, les livrant à leur liberté et à l’égalité de cette liberté. »[/i]
si j’ne m’abuse (?) de: l’éloge de l’infini. Ph S ou traité de savoir–vivre à l’usage des jeunes générations. R V
[s]source :[/s] un brin dévoyée (de mémoire). que l’auteur de ces qqles mots accepte mes excuses pour mon inconséquence.
[b]La fraternité est l’égalité dans le partage de l’incommensurable – celle de l’expérience de la liberté.[/b]
Liberté, égalité, fraternité… ou comment ne pas diviser
Mais à vrai dire, si je suis… m’exprimer ainsi : reste à naitre de n’être rien (de plus).
Essentiellement, cette démesure de la liberté, en tant que mesure de l’existence, est commune. Car il est l’essence d’une mesure – et donc d’une démesure (sourire) – d’être commune.
Impermanence, atemporalité de toute chose, œuvres de la chair, pragmatismes – lit_terreau(x)…
Et ici et maintenant
Que cette nouvelle révolution (5771è de l’an hébreu, 5107è année indienne du Kali Yuga, 4708è de l’année chinoise, 2553è de l’année bouddhiste, 2137 pour les bouddhistes tibétains, 2011è de tradition chrétienne, 1431è musulmane, 1389è de l’an iranien, 218è du calendrier républicain, (…) de gaïa autour du soleil soit pour tous un joli tour de man_âge.
– il faut… bien vivre pour bien mourir.
Alors que tout contenant inclut son contenu, l’homme chercherait-il à inclure ce qui le contient ?
paul
bis repetitaplacem
Il me semble que ce n’est pas la raison qui fut l’outil privilégié par la conscience humaine, mais bien plutôt une spiritualité fonctionnelle et supra rationnelle: métaphysique religieuse ou philosophique – dans l’oubli (ou la négation du corps) – de ce « moi » illusoire toujours prêt à arrimer… nouer… lier… riveter… clouer… cheviller… enraciner… sceller… toutes ses peurs, ses angoisses, en l’espérance d’une finalité toujours prête à ordonner la finalité anthropologique de ces chairs.
∂e la chair à l’esprit de la chair,
∂e l’esprit de la chair à la peau easy de la vie
∂e la peau easy de la vie… ô lyrisme de l’instant partagé
le corps est l’énergie, le souffle, le mouvement qui nous propulse de notre vacuité originelle en l’élan vital de toute condition
sourire
paul
[quote]Tout le monde [b]rêve[/b] d’une liberté complète, mais celle ci aurait le prix de l’anarchie.[/quote]
ou le prix de la pleine conscience.
[b]Du rêve ailé…[/b] aux apaisements partagés, comment métamorphoser l’impuissance des rêves, (et/ou de toute croyance), qui émane de toute conscience face à la mort, quand l’instant du tragique se mêle insidieusement à l’ineffable réalité de l’impermanence de toute chose, et au non attachement ultime.
Peu de chance, il est vrai, d’aborder le sens de toute une vie à la porte de notre inéluctable fusion au retour élémentaire – poussière d’étoile nous sommes, poussière d’étoile nous demeurons.
Il reste, au demeurant, à l’accompagnant, de saisir quelques résonances qui puissent le révéler à lui-même, rapport à l’imprégnation d’éros en thanatos: élan vital, sens TANGiBLE – si je puis dire, pour mieux définir cette simple causalité instrumentalisant son immarcescible souffrance conditionnée par son propre attachement. Et, de sa distance face à lui-même, se rapprochant de sa propre libération : seule ligne de fuite, en présence – actant de son dessaisissement -, embrasser l’imminence de toute impermanence au sein même de sa pulsion de vie.
Appréhender l’ainsité de l’être, et dans l’insolence des chairs (qui se consument), s’exposer à l’immanence de l’esprit de la chair qui, sous la pression de ses flancs suant la vie qui sévit au-delà de toute contrainte, s’affranchit de l’effroi de tout abandon.
– Cavalier du vent se libérant de son souffle dans cette étreinte fugace. Conscience sans temps… instant de vertige vivant à l’heure des infini(e)s ressenti(e)s (je féminise), où les espaces se creusent… et les silences s’attardent… – sens de l’élan ultime : où, les espaces, qui s’enfermaient sur des rites immuables, s’ouvrent enfin sur les multitudes de plaines s’enchainant aux horizons sans fin.
De piétinements incessants en cavalcades insensées… ébrouement sûr ! – animal… Et de l’ailé réalisation de nos chairs à la fusion propice au retour élément terre, la conscience, plongeant en un dernier sourire dans l’oubli d’elle-même, demeure, par le vécu de son action, un éternel présent dans le cœur de ceux qui l’ont accompagnée. apaisement partagé.
. murmure…
De l’angoisse au questionnement… il ne nous reste finalement dans le galop de l’existence qu’à faire un avec sa cible et apprendre à mourir en vivant
Bien à toi
paul.
[quote]…
Mozarine,
Merci pour ta visite ma petite poétesse.
La liberté Populaire? Une vraie énigme en soit, qu’il est bien difficile d’imaginer, car nul peuple ne peut vivre en utopie démocratique. Tout le monde rêve d’une liberté complète, mais celle ci aurait le prix de l’anarchie..A partir de là que faire? Trouver un compromis démocratique avec une équité politique, mais là encore rien n’est facile..[/quote]
Que faire?
1ére solution:se tuer
2éme solution:prendre 6 aspirines par jour
3éme solution:rester dans son lit
4éme solution:accepter de se tuer,de prendre 6 aspirines par jour et de rester dans son lit!
Bonne nuit,P’titom!
[quote]e l’angoisse au questionnement… il ne nous reste finalement dans le galop de l’existence qu’à faire un avec sa cible et apprendre à mourir en vivant[/quote]
Il y a de l’idée dans cette phrase!
[quote]De piétinements incessants en cavalcades insensées… ébrouement sûr ! – animal… Et de l’ailé réalisation de nos chairs à la fusion propice au retour élément terre, la conscience, plongeant en un dernier sourire dans l’oubli d’elle-même, demeure, par le vécu de son action, un éternel présent dans le cœur de ceux qui l’ont accompagnée. apaisement partagé[/quote]
Vous avez les mots pour le dire mais je vous dirais que je ne vous suit pas tout à fait… 😀
[quote]Vous avez les mots pour le dire mais je vous dirais que je ne vous suit pas tout à fait…[/quote]
Quand[i] Moza[/i]r est là : [i]accordons nos violons et laissons parler l’archet[/i] – « [i]et le monde brillera…[/i] » R
Il reste que, s’il m’est loisible de m’exprimer en cet espace (si convivial), l’archer prendra sa plume et son arc afin de poursuivre, sur son cheval de labeur, nommé [i]peau easy[/i], sa course vers l’instant qui se >
le clair _ obscur inonde le monde chair mozarine , chair(e) soeur de l’ébauche, je vais encor un peu laisser raisonner vos mots, simples, concis et précis, je suis plutôt taxé ‘sous rire’ de crypto-nihilo-existentialo-hinayaniste, donc que nos pas: rôle efficient de toute conscience videlifiée et pleine d’élan, opèrent leur chemin sur ce forum qui n’attend que… saisissement pour certain, et dé-saisissement pour la plupart de ces pas qui se croisent, s’entrecroisent, se pénètrent , s’interpénètrent, et s’éludent chemin faisant dans leur réalité
reste bien
et…
ô plaisir de te lire ici chair aimable
NB:
nu mais pas dénudé de… sourire
paul_rêveur_attardé_qui_travaille_toujours_et_encor_à_mourir_en_vivant
[quote]Quand Mozar est là : accordons nos violons et laissons parler l’archet – « et le monde brillera… » R[/quote]
oui,mais les violons ne sont pas tous les même…ici,il faudra un peu accorder le vôtre…
😀 😀
[b]quand ma conscience…[/b] se noie en ma conscience, je m’élève sans maitre, si ce n’est mon [i]aigle[/i] et mon [i]naja[/i], m’observant dubitatifs et amusés jouer les funambules pour éviter de fouler les pas qui me précedent …
Souris, je fais des sauts de chat… perché au dessus de la foule de mes ombres rampantes, diables au teint angélique bariolant la nu_udité fait mine hymne , hein… pudique et …. pleine de >
je (vous) t’abandonne
sourire esquissé… comme une épure tactile:
il est temps – en cet instant_tanné d’éternité – de laisser s’exprimer vos chairs délictueuses, voire scieuses et à vide(s): des vies dansent
bien à toa
Votre conscience immatérielle, Ô chaire non immaculée, où est-elle !
déjà dans la gueule du volcan ?
veritas,vous avez enfin trouvé votre écho… 😀 😀
Oh-oH, chair !!!
« Et le verbe,s’est fait chair
et(veritas) a habité parmi nous »
by the way chair(e) lame zélée, à défault de connection (licite) sur C4M, cils en cieux en mon vide plein d’inter-dépendance – connecting people aminé et non aminé, mais animé (sous rire patenté) – et sans laisser une seule trace sur les plages abruptes – de neige ostentatoire enceinte d’imminence -, vierges et immaculées, culminant à plus de moult kalpa qu’il n’en faudrait pour décourager un âne… mais je m’égare : euh vie d’amant.
où en en est-il donc votre ptit citoyen rat_porteur d’insignifiance, si incisif dans la fournaise de l’exit stance à calmer son audacieuse bad karma, insistante à me convier de passer à table …
j’hume, ô rise: un brin de chinoiserie – il est tôt. (me dis-je)… et si tard (me répond t’on),
Hâtivement la nuit a rejoint sa pleine luminescence, et le clair-obscurcit mes neurones, lymphe attique,
– que dis-je: ataraxie balbutiante ou immersion en toute dévolution, non apprivoisée, mais bien vivante.
ô plaisir
Hâtivement la nuit a rejoint sa pleine luminescence,
et le clair-obscurcit mes neurones, lymphe attique…
mozarelli, mozarella ,eh bien dansons maintenant,
avant que le jour neuvienne .
ô délire!
Chouette, dés jantons, car tout se dé lite !
Ô nuit prend ton envol avec ton lin seul.
Veritas, poete, a succombé au charme de la poetesse! O , muses, quelle revolution, … spirituelle! 😉 😉
Humour, quand tu nous tiens!
Un petit pas pour la poesie, un grand pas pour l’humanité? 😉
[quote]Chouette, dés jantons, car tout se dé lite !
Ô nuit prend ton envol avec ton lin seul[/quote]
Veritas,bravo!Vous êtes dans le bon!La poésie moderne est sarcastique et humoristique!!
ô nuit,prend ton envol avec ton linge veule!(variante)
Excellent article, Tom.
Seulement, cette reccette est en passe d’être dépassée. Pourquoi ?
Parce que Contrôler internet face à des gens toujours plus avertis est de plus en plus difficile, voire impossible. Le pouvoir central en Chine perd le contrôle de ces trucs-là, l’information circule quand-même… Il suffit d’un petit malin dans une université qui contourne les dispositifs pour que toute une ville aie accès à l’information en un temps record.
Tout ce que le pouvoir central Chinois arrive à faire, c’est retarder la diffusion de l’information de quelques heures. Ce au prix de centaines de milliers de cyber-policiers et d’un budget collossal.
Il ne faut pas se leurer, pour maintenir une dictature, il n’y a qu’une solution :
Pas d’internet, donc pas de développement économique. Et encore ! Les riches ont quand-même internet, et les enfants qui vont à l’université diffusent l’information (souvent sans intention révolutionnaire, mais d’autres la rediffusent, cette fois avec intention de faire changer les choses…).
Fort heureusement, il existe une dictature d’un nouveau genre : la dictature des médias.
C’est encore mieux, car vous laissez les gens dire à peu près ce qu’ils veulent. Mais vous faîtes en sorte que personne ne prête attention à ce que vos opposants disent. Vous contrôlez la presse, donc vous êtes en mesure d’occuper le terrain avec des faits divers inintéressants d’un point de vue de l’information : la petite machinchose est morte noyée par un fou, c’est fort triste pour elle, mais que voulez-vous que j’en dise ? Pas de réflexion à mener sur un tel sujet… Mais pendant qu’on en parle (ce qu’on fait 10 fois par jour), on ne parle pas de la politique économique, et très peu des relations amicales entre les politiques Français et les Ben Ali…
Autrement dit, vous noyez l’information avec des choses futiles qui peuvent être de la publicité, du people, ou des faits divers (pas futiles, mais sans intérêt), empêchant ainsi que l’information susceptible de remettre en cause votre pouvoir ne soit diffusée au plus grand nombre.
Voilà à quoi ressemble une dictature des temps modernes.
Après, en s’assurant le soutient de l’armée et de la police (par exemple en cédant rapidement aux revendications des fonctionnaires), le plus souvent en donnant des cacahuètes aux petits soldats du régime (une prime de 150€ à noël peut suffire). Ainsi, une révolte d’un million d’opposants seulement peut être écrasée dans le sang.
Mais le soutient de l’armée ne suffit pas : si 15 millions d’Egyptiens se soulèvent et participent chacun à leur manière à l’insurection, l’armée ne parviendra pas à rétablir l’ordre. En revanche, si ils ne sont qu’un million et que les autres suivent le régime comme des moutons, les chars auront raison des manifestants.