L’inoubliable Jack Dawson du Titanic,  le comédien phare de Martin Scorcèse, l’enfant chéri d’ Hollywood s’apprête à incarner l’homme le plus détesté des Etats Unis : John Edgar Hoover.

Succès assuré puisqu’il sera réalisé par un autre « monstre » du cinéma américain : Clint Eastwood.

Mais ce n’est pas de cet homme là dont je voudrai vous parler en ce dimanche d’octobre.

Paris-Match de cette semaine lui consacre trois  pages.

Non  pas dans la rubrique « cinéma », mais  là où peut-être vous ne l’attendiez pas : l’écologie.

Eh oui, le beau Léo à la « fibre verte ».

C’est en 1998 qu’il crée sa fondation sur la défense de l’environnement, qui se traduira par un documentaire, écrit et produit par ses soins :

« La 11e heure, le dernier virage » : traite du réchauffement climatique.

Depuis le succès de « Shutter Island » et d’  « Inception », l’acteur a  posé sa « casquette » d’acteur pour enfiler celle de la protection de la nature et des espèces en voie de disparition.

Un an loin des sunlights, pour ne se consacrer qu’à la défense des océans, des oiseaux, des fleurs, du « massacre » de la jungle, et du sauvetage des deniers tigres d’Asie.

Grand fan d’ Al Gore, il déplore l’échec de Copenhague, mais croit encore à une réactivité des politiques.

Un exemple : le voici particulièrement ému quand il raconte ce qui se passe en ce moment à Détroit, la « capitale de l’automobile. »

« Les usines ont fermé, les gens sont au chômage, mais certains ont commencé à créer des « fermes urbaines », en cultivant des terrains privés.

Ils mangent mieux, et vendent leurs produits.

Ce type de système alternatif va se développer au fur et à mesure que le système traditionnel s’effondrera. »

Le beau Léo, applique-t-il au quotidien ce qu’il défend de haute lutte ?

C’est au volant d’une voiture hybride qu’il se déplace,  et nous confie qu’il a fait installer des panneaux solaires et un système de filtrage d’eau dans sa résidence californienne.

Pour joindre les actes à ses belles paroles, l’acteur, ambassadeur des montres suisses de luxe : Tag Heuer,  a demandé  que 10% des ventes du modèle présenté sur chacune des publicités qui le représentait soient reversés à des ONG environnementales.

A 35 ans, Léonardo Di Caprio : acteur studieux ou pro de l’activisme  écolo ?

Les deux mon général, pour notre plus grand plaisir…

Vidéo : Léonardo, l’écolo,  comme vous ne l’avez encore jamais vu :

Extraits de son film :

« 11 heures le dernier virage »

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