dans le vent de la discorde.
AFP. L’éolien n’a plus le vent en poupe. Les amendements sur l’encadrement de l’éolien pourraient brider le développement de la filière… (Photo prise le 5 octobre 2009, commune de Xambes)
Actuellement en discussion à l’Assemblée le 04 mai le projet sur le Grenelle 2 de l’environnement est un débat a hue et à dia entre les reculs spectaculaires de gouvernement, la mobilisation des anti-éoliens et des pro-éoliens que sont les industriels ainsi les Associations pro-environnementales qui voient dans l’émergence de ce secteur industriel une source de profits. Ce projet du gouvernemental de loi du Grenelle 2 sur les énergies renouvelables à voir ici, dans ses grandes lignes concerne les orientations dans six domaines bâtiment, transports, développement de l’agriculture bio et protection de la biodiversité, gestion des déchets et gouvernance de l’environnement. Les éoliennes seraient soumises en 2011 au régime des installations classées pour la protection de l’environnement ICPE, rendant leur implantation plus difficile. Il fait suite à la loi dite Grenelle 1 votée à la quasi unanimité en octobre 2008 consistant en une série d’engagements sur la politique environnementale du pays. Grenelle 2, c’est 1600 amendements déposés sur les 104 articles du texte de loi.
Ce projet prévoit un seuil de 15 MW et un minimum de 5 mâts par unité de production ainsi que l’établissement de schéma régionaux d’éoliens. Ce serait la fin de l’éolien individuel aux implantations isolées. Il est évident que vu ces grands mâts inesthétiques portant une machine à faire de l’électricité et du bruit fleurir nos cotes et nos collines mérite d’être regardé de près. Sacrifier la beauté panoramique de nos paysages pour l’aspect matériel de ces machines même s’il est porteur d’énergie renouvelable doit être fait avec discernement, d’autant que ce n’est pas bien souvent aussi rentable qu’on le prétend. Prendre par exemple les pays du nord de l’Europe pour justifier l’intérêt de cette énergie ne me paraît pas justifié étant donné que nos paysages n’ont rien à voir avec ces territoires plutôt désertique très au nord comme j’ai pu le constater dans mes voyages aux Pays-Bas. En outre, les éoliennes sont implantées le plus souvent en mer.
Éoliennes en pleine mer, près de Copenhague. Malgré la faible force du vent à cet endroit, elles produisent une énergie significative 97 % du temps
Éoliennes en pleine mer en Belgique
D’aucuns crient au scandale Nicolas Sarkozy aurait reculé par rapport à son acte fondateur d’une nouvelle politique, souhaitant un nouveau «deal écologique en France en Europe et dans le monde». Il devait étudier la création d’une taxe carbone ainsi que la réduction de 50 % des pesticides en octobre 2007. Déjà au Salon de l’agriculture le 06 mars, il déclare, «je voudrais dire un mot de toutes ces questions d’environnement, par ce que là aussi ça commence à bien faire». Pour la taxe carbone, on sait ce qu’il en est advenu quand aux pesticides, dont la dangerosité est connue, un plan devait être présenté pour réduire de 50 % leur usage dans dix ans ?
Pour cette histoire de vent d’énergie renouvelable transformée en électricité par ces machines que sont les éoliennes, écologistes, parlementaires de l’opposition et promoteurs de la filière dénoncent un «coup d’arrêt» si le texte est adopté en l’état. D’autres s’alarment au contraire des atteintes au paysage promises par la multiplication des machines. Les controverses et le flou réglementaire risquent de compromettre l’engagement de la France de réaliser 23 % de la production d’électricité d’origine renouvelable d’ici à 2020. En fait, il semble que ce soit les reculs précédents sur la taxe carbone mais aussi l’échec du sommet de Copenhagen qui soient la cause de cette défiance. Selon un sondage Obea-InfraForces pour 20 Minutes.fr et France Info, 84,3% des Français se disent concernés par les problèmes liés à l’écologie. Mais cette préoccupation ne serait pas suffisamment prise en compte par le gouvernement. La grande majorité des personnes interrogées (68%) estime en effet qu’«on n’en fait pas assez pour l’environnement».
Or, l’énergie éolienne fait l’objet de grands programmes d’équipement au Royaume-Uni, en Chine, ou aux États-Unis, mais en France, deuxième potentiel de vents en Europe, elle voit se dresser selon certains des obstacles. Obligations administratives et contentieux se multiplient, non sans raison probablement. Il faut comprendre que ces machines en fonction de la direction du vent perturbent la tranquillité des zones ou elles sont implantées, le bruit incessant de leurs pales et des tourbillons d’air autour du mât peuvent être une cause de traumatisme même si elles seraient implantées à 500 m des habitations. Il ne faudrait pas être contraint de construire des murs antibruit comme ceux aux bords des autoroutes pour préserver les habitants. La peur des pro-éoliens est l’accumulation des containtes admistratives, permis de construire, ICPE, mais aussi la faute d’élaborer, par une région dans son schéma avant fin 2011, aucune nouvelle zone de développement de l’éolien (ZDE), permettant un achat à prix subventionné de l’électricité produite, ne pourra être créée.
En outre il faut reconnaître que la gène est importante pour la réception de la télévision et le battement des pales seraient aussi la cause de la mort des volatiles. De plus, les éoliennes sont très affectées par les courants de vent, dans un même parc toutes ne donnent pas le même rendement suivant leur exposition. La puissance d’une éolienne augmente avec le cube de la vitesse du vent, d’autre part la turbulence du vent est une perte de rendement, c’est la raison pour laquelle des études des zones de vent sont nécessaires pour s’assurer de la constance de sa vitesse et de sa direction. Une éolienne est aussi un mât dangereux au vent, l’ensemble peut entrer en résonance, se briser et provoquer des dégâts importants. Il faut également tenir compte des cyclones et autres phénomènes atmosphériques générateurs de catastrophes.
Tout n’est donc pas simple et il me paraît utile de règlementer ces implantations ainsi que d’exiger des constructeurs les compétences requises en mécanique vibratoire et en mécanique des fluides afin d’éviter que des margoulins provoquent des catastrophes.
Bonjour,
Oui le sujet est d’actualité, mais comme d’habitude en France et plus particulièrement avec le p’tit Nicolas, ce sujet d’énergie est traité en « gadget », une fois il trouve cela novateur, révolutionnaire, il en fait une priorité et puis « boum patatras », cela ne l’intéresse plus, n’oublions pas que c’est un grand enfant avocat, qui a pour jouet la France, alors bien sur cela ne m’étonne plus. Non la solution la plus réaliste, les belges et hollandais l’ont compris avant nous, ainsi que les américains, puis ils placent leurs éoliennes dans le désert, pour nous il faut les placer en mer, cela ne dérangera personne, et cela produira de l’énergie renouvelable et saine, voilà le problème est résolu.
Mais bien sur il faudra un jour un vrai ministre à motivation vraiment forte pour imposer cela, et non un comique de premiere comme Boisdel’eau, non Borloo, sorry, qui lui ne pense qu’a parler, faire des centaines de dossiers, mais au final rien au bout, c ‘est d’ailleurs pour cela que le p’ttit Nicolas le conserve, il est totalement innofensif.
A bientôt.
c’est surement pas aussi moche qu’une centrale atomique
[b]direct44[/b] bonsoir,
Borloo est un pantin comme les autres ministres,Sarkozy fait tout décide de tout et personne ne peut le contrer.
Maintenant c’est bien sur en mer qu’il faut placer les éoliennes, elles ne dérangent personne et le paysage est préservé.
De plus, pas besoin de contraintes administratives draconiennes et de permis de construire l’État seul peut déclarer les zones à implanter.
Bien à vous,
Anido
[b]lucien57[/b] bonsoir,
Ce n’est pas une raison d’en rajouter.
Bien à vous,
Anido
Moi? je n’en rajoute pas ?sauf que tu tout est fait pour les grand lobbys le fric quoi pour quelques uns c’est tout
Bonsoir Anido,
Une fois de plus il y eut des engagements pris à la va vite sans aucun discernement et maintenant on fait marche arrière. L
Les implantations des éoliennes actuelles se sont faites sur je ne sais quelle base. Ce qui est certain, c’est que ces bases différaient d »une région à une autre provoquant chez les habitants qui avaient de tels engins à proximité de leurs maisons une grosse colère car ils étaient ennuyés avec les nuisances de ces engins.
En réalité, les maires de ces communes clamaient haut et fort que face à la désertification rurale, cela leur mettait un peu de beurre dans les épinards et pouvaient ainsi sauver leur budget communal.
Sur le plan des éoliennes mêmes, je ne suis pas persuadé du rôle écologique qu’on veut bien leur prêter. Quel est leur bilan carbone par exemple?
Vous dites fort justement que leurs rendements peut être discutable. Mais il y a aussi le capital pollution pour les fabriquer (matériaux, batteries, câblerie etc…) puis on oublie trop souvent que ces engins ont une vie qui se terminera bien un jour. Que fera t-on ce jour là de ces éoliennes? des batteries? Devra t-on les traiter pour les recycler? Dès lors que devient le capital écologie d’une telle aventure?
Enfin je ne suis pas non plus persuadé que l’éolienne est la solution miracle. Elle a produit en 2009, 4492 MW chiffres -Windpower-(1.6% de la production totale)…à peine de quoi couvrir le taux de croissance annuel de la demande d’électricité.
Amitiés
Ludo
Par Thomas Friedman, New York Times, 9 janvier 2010
C. H. Tung, le premier gouverneur chinois de Hong Kong après la rétrocession en 1997, m’a résumé en trois phrases l’histoire économique moderne de la Chine : « La Chine était endormie pendant la révolution industrielle. Elle a commencé à se réveiller pendant la révolution des technologies de l’information. [u]Elle a l’intention de participer pleinement à la révolution verte[/u]. »
J’aurais dit la même chose. Voyageant en Chine en ce moment même, je suis plus convaincu que jamais que lorsque les historiens se pencheront sur la fin de la première décennie du 21ème siècle,[u] ils affirmeront que l’évènement clé n’était pas la grande récession, mais le grand bond en avant écologique chinois.[/u] Les dirigeants du pays ont clairement compris que la révolution des Technologies de l’Energie (T.E) est à la fois une nécessité et une opportunité, et ils n’ont pas l’intention de la manquer.
En revanche, nous nous apprêtons à reconstruire l’Afghanistan. Bonne chance…..
J’ai été stupéfait en apprenant le nombre de projets qui ont germé en Chine dans l’éolien, le solaire, les transports en commun, le nucléaire et les centrales à charbon encore plus efficaces, au cours de la seule année 2009.
Voici un e-mail de Bill Gross, président d’eSolar, une prometteuse start-up californienne dans le domaine du solaire thermique : samedi, à Pékin, Gross a annoncé « le plus gros contrat dans le solaire thermique jamais signé. C’est un contrat de 5 milliards de dollars pour construire en Chine des centrales de 2 gigawatts avec notre technologie californienne. La Chine agit bien plus résolument que les Etats-Unis. Nous avions postulé pour un prêt [du département américain de l’énergie] pour un projet de 92 mégawatts dans le Nouveau-Mexique, et en moins de temps qu’il en fallait pour accomplir la première étape de cette demande, la Chine a signé, approuvé et était prête à commencer la construction cette année [u]d’un projet 20 fois plus gros[/u] ! »
Chirac puis Sarko le libéral n’ont pas voulu fâcher la puissante EDF et les lobbies nucléaires et ont donc sciemment organisé la mauvaise implantation, anarchique, des éoliennes afin de les déconsidérer. Facile et efficace !
Du plus Sarko est furieux du résultat des régionales et se venge en piétinant l’écologie de ses rageuses talonnettes.
La Chine avance, l’Occident est figé dans sa ….graisse.Et ce n’est pas la faute de Sarko…..qui est un des seuls à essayer de faire bouger les choses….
Quant aux socialistes…..
[b]Ludo [/b]bonjour,
C’est avec un peu de retard que je vous réponds.
Les éoliennes ne sont pas la panacée c’est bien vrai, et elles sont dans le vent du markéting donc on en parle, cela fait avancer le smilblic.
Tout ce que vous écrivez est exact beaucoup déçu par les nuisances qu’elles provoquent.
Mais, il ne faut pas tout jeter, elles apportent un plus si on les utilisent avec raison et règlementation.
Les écologistes bons teint ont tendance à foncer tête baissée dans cette technologie sans trop bien regarder les problèmes c’est ce que je ressens.
La meilleure implantation reste la mer qui donne un bon rendement toute l’année, mais on ne peut pas équiper toutes nos cotes, ce ne peut être qu’un appoint.
Quand à leur pollution par les composants qui sont présents dans cette technologie je pense que c’est mineur si l’on l’à compare à la pollution pour la même énergie qui serait développée par l’utilisation du pétrole.
Bien à vous,
Anido
libertinus bonjour,
Nous ne sommes pas les Chinois, nous sommes compliqués les plus râleurs de la planète.
Nous n’avons pas la même liberté d’action que les Chinois qui ont un gouvernement non démocratique. Il décide et il applique sans se soucier si cela plaira ou pas à sa population, elle acceptera, nous pas.
Nous avons des lois, des règlements, des principes que les Chinois n’ont pas.
Nous ne pouvons construire partout, donc nous ne pouvons faire comme les Chinois et c’est un bien. La Chine à un problème majeur, celui de l’eau que fait-elle dans ce domaine ?
Pour moi l’exemple de la Chine est un mauvais exemple, il nous faut comparer ce qui est comparable sur le plan de le civilisation, des mœurs et de l’importance du pays.
En Chine, il y a de grandes zones désertiques ou l’on peut implanter des éoliennes, en France c’est loin d’être pareil.
Je ne prétends pas ce que font les Chinois n’est pas bien, c’est un grand pays que je respecte et admire mais nous sommes différents.
De toutes façons nous ne faisons pas la course avec les Chinois, nous faisons ce que nous pouvons avec nos contraintes.
Bien à vous,
Anido
[b]libertinus[/b],
C’est certain, la Chine va très vite, c’est toujours pareil quand un pays démarre de bas il se développe rapidement.
La Chine n’a pas fini de nous surprendre, à la fois communiste et capitaliste, elle utilise les deux idéologies suivant les circonstances.
Attention, le solaire en masse modifie l’équilibre atmosphérique et l’on ne peut s’engager à des grandes étendues de capteurs sans regarder les effets sur cet équilibre pour notre planète.
Il n’y a rien de dépendant tout est interdépendant. Le renvoi par réflexion du rayonnement solaire en trop grande quantité modifie le climat et la circulation des nuages qui se trouvent chauffés par ce rayonnement, il en résulte des gradients de température qui provoquent des courants violents, eu égard aux masses mises en mouvement.
Vous connaissez cela mieux que moi.
Bien à vous,
Anido
[b]Mathilde[/b] bonjour,
Je ne vois pas le problème comme vous, je pense qu’il ne faut pas aller trop vite, et une règlementation adaptée dans des régions bien définies et étudiées est au moins un gage de réussite contre le développement anarchique des éoliennes.
Bien à vous,
Anido
[b]libertinus[/b],
Non l’Occident n’est pas en retard c’est la Chine qui l’est.
Avant que tous les Chinois aient les mêmes conditions de vie que celles de l’Occident je serais mort. Il n’y a pas que l’énergie renouvelable il y a tout le reste.
Actuellement les Chinois profitent de notre savoir faire, nous n’en sommes pas encore à profiter du leur.
Bien à vous,
Anido
Bonjour Anido,
Puisqu’on parle d’installer ces éoliennes en mer, pourquoi pas continuer aussi à exploiter et à perfectionner les usines marémotrice?
Les marées contrairement au vent sont des éléments naturels prévisibles que l’on intègre bien dans notre quotidien. Les résultats de production d’électricité sont d’autant plus fiables et on peut réellement compter sur eux.
Amitiés
Ludo
Il y a aussi les [u]hydroliennes[/u] qui sont beaucoup plus efficaces que les éoliennes….
A propos de nucléaire
…La Chine maintient en effet une totale opacité sur son arsenal nucléaire, qu’elle ne cesse d’accroître. [u]Elle brouille les lignes entre activités civiles et militaires[/u], et déploie depuis des années de grands efforts pour se procurer des technologies sophistiquées auprès de pays étrangers. La montée en puissance militaire de la Chine est une source d’inquiétudes pour les Etats-Unis et leurs alliés dans la région Asie-Pacifique…..
extrait du journal Le Monde
[b]Ludo[/b],
J’ai eu à m’occuper de l’Usine marémotrice de la Rance en son temps, c’est un équipement très couteux non sans problème. La hauteur de chute n’est pas assez importante et l’on joue sur l’effet de masse, cela pose des problèmes.
Bien à vous,
Anido
[b]libertinus[/b],
Les hydroliennes plus efficaces que le éoliennes ?
Je n’en suis pas persuadé immergées elles subissent la pollution marine l’attaque des algues des mollusques et autres poissons et crustacés.
En outre, les courants marins sont peu puissants viscosité de l’eau oblige.
Bien à vous,
Anido
[b]libertinus,
[/b]
La Chine comme le Japon prend sur l’occident sa technologie, ensuite elle l’adapte et elle vend ses produits sur les marchés mondiaux et ainsi elle noie notre économie payant sa man d’œuvre avec une poignée de riz.
Il faut se méfier de la Chine si elle prend des visées expansionnistes.
Bien à vous,
Anido
Merci Anido,
On en apprend tous les jours!
[b]Ludo[/b],
Il n’y a pas de miracle s’il existait d’autres sources d’énergie que le pétrole et le nucléaire ainsi que l’eau nous le saurions depuis longtemps
Tout ce que nous pouvons faire ce sont des compléments intéressants mais limités.
Nos pourrions tirer notre énergie de l’hydrogène, en faisant des piles à hydrogène mais c’est un corps difficile à maîtriser.
L’hydrogène ne pollue pas, il est dans l’air il faut seulement le capter par une réaction chimique et ensuite le bruler pour faire tourner des turbines à partir d’un échangeur à eau. Ce serait une technologie moderne mais compliquée quand à sa rentabilité ?
Bien à vous,
Anido
Anido,
Il y a un autre axe de recherche via l’air comprimé.
2 entreprises au monde se sont penché sur le moteur à air comprimé afin de l’améliorer.
Ce sont le coréen Energine et le français MDI qui s’est rapproché du groupe indien Tata.
[img]http://www.moteurnature.com/zvisu/2003/air/paris.jpg[/img]
Ce n’est pas encore gagné mais on se souvient des premiers cabriolets Ford Mustang, qui, en 1964, avaient un moteur à air pour plier et déplier leur capote.
Il y eut aussi les tramways à air comprimé du XIX° siècle, qui furent un temps le fleuron de Nantes, mais remplacé par des propulsions électriques qui avaient un meilleur rendement.
Aujourd’hui, il ne subsisterait qu’un seul de ses trams qui serait entreposer à Colombes dans un hangar.
Aujourd’hui on en est encore à résoudre cette équation, comment augmenter le rendement, car la quantité d’énergie primaire utiliser pour comprimer l’air est bien plus importante que celle restituée.
Tout le temps que l’air ne sera pas une énergie, je crois qu’on pourra toujours plancher sur ce problème…et ce n’est pas pour demain!
Amitiés
Ludo
[b]Ludo[/b] bonjour,
L’air comprimé est en effet un fluide qui comprimé peut faire un travail, mais dans ce cas le travail de compression absorbe de l’énergie qui est supérieure au travail de détente donc le rendement du système est mauvais. Son entropie ne fait que croître, en d’autres termes, nous dépenserions plus que ce que nous récolerions.
Bien à vous,
Anido