Pour paraphraser de Gaulle je dirais "Bien entendu, on peut sauter sur sa chaise comme un cabri en disant l’emploi! l’emploi! l’emploi! mais cela n’aboutit à rien et cela ne signifie rien" *

 

 

 

 Le gouvernement d’obédience irresponsable qui vient de prendre le pouvoir ne peut pas "génétiquement" produire de richesses sonnantes et trébuchantes, son leitmotiv consiste surtout à savoir (soi-disant) partager le gâteau à l’instar de la peau de l’ours sans aucune idée de la façon dont il peut être ni préparé, ni à partir de quels ingrédients.

Il s’agit d’abord et avant tout d’avoir des produits et des clients, l’emploi vient après et seulement après. L’amorçage de la nouvelle entreprise, d’une diversification ou encore de produits nouveaux, de la redéfinition des existants, de l’assurance de nouvelles commandes permet d’envisager alors sérieusement des embauches.

Avant cela on se moque du monde et à part le fait du prince "Hollande" qui sans besoins (au contraire) de l’administration peut employer qui bon lui semble en quantité en gaspillant une énergie considérable…

Il se trouve que dans les secteurs concurrentiels manufacturiers potentiellement exportateurs qui produisent de la "vraie" richesse (en dehors de ceux qui se contentent d’acheter et vendre sans transformation ou administrer qui de l’argent qui ne leur appartient pas ou la vie des citoyens qui ne leur ont rien demandé [fonctionnaires] ne fabricant rien du tout ou de fausses richesses à coup de marges honteuses sur le dos des "productifs) il y a le vivier dans lequel l’état récupère le maximum d’impôts et taxes, y compris indirectement.

Le fait d’importer une boite de conserve ou des viandes provenant de l’autre coté de la planète n’est pas non plus du plus haut intérêt pour notre économie nationale, mais nous savons tous que la règle du jeu ici bas devient de plus en plus après moi le déluge …**

 

*Bien entendu, on peut sauter sur sa chaise comme un cabri en disant l’Europe ! l’Europe ! l’Europe ! mais cela n’aboutit à rien et cela ne signifie rien. »

(Entretien télévisé, 14 décembre 1965, de Gaulle)

 

**Louis XV se rendait bien compte que ses successeurs ne valaient pas grand chose en prononçant cette phrase ambigüe :  "après moi le déluge"

 

Nota : j’exclus l’éducation nationale (même si les improductifs sont légion), la santé publique (idem) et les forces de l’ordre (mal nécessaire)