Durant les dernières années, de plus en plus de personnes se révoltent du sort que leurs proches mourants subissent. En effet, la plupart ne supportent pas de voir ces personnes chères souffrir autant.
C’est pourquoi les débats sur l’euthanasie sont repartis de plus belle ces derniers temps. Ce sujet controversé est clos pour plusieurs, mais une meute populaire réussit de plus en plus à faire entendre ses revendications sur les bienfaits de l’euthanasie comparément à ceux qui sont totalement contre.
Le docteur Serge Daneault, spécialiste en médecine communautaire, pratique la médecine palliative depuis plus de 15 ans dans la ville de Montréal. Il raconte, dans un article de la Presse du 28 novembre 2009, avoir recû lors de sa dernière visite dans un grand hôpital plus de demandes d’euthanasie que durant toute sa carrière. Qu’on le veuille ou non, ces situations bouleversent autant les médecins que les patients, et ces expériences devraient nous porter à réfléchir collectivement.
Premièrement, avec l’avancement de la médecine actuelle, les remèdes étant de pluis en plus efficaces réduisent en grande partie la douleur des malades. Mais si ces mêmes malades, avec tous ces traitements reçus, demandent la piqûre fatale, on se doit d’évaluer le niveau de souffrance de ces personnes et d’agir en conséquence de leur bien-être, autant pour eux que pour leur famille, qui les voit souffrir constamment. « Si le gouvernement avait le moindrement d’éthique pour le respect de la vie, il y aurait longtemps qu’il aurait mis sur pied des soins palliatifs de première qualité pour procurer aux malades une fin de vie honorable.» ( Selon un article sur le site de campagne Québec-vie )
Un autre élément important du fait de légalise l’euthanasie est de donner un trop grand pouvoir aux gens, l’illusion qu’ils peuvent contrôler leur vie. Les gens de nos jours ne supportent pas l’idée de ne pas pouvoir contrôler leur fin. Leur mentalité les amène à croire que l’apaisement de la souffrance passe par la mort. Cette croyance populaire mérite-t-elle d’être appliquée ? C’est cette question que se posent beaucoup de professionnels à savoir jusqu’où notre société peut aller lorsqu’il est question de souffrance et de mort.
En conclusion, je suis réticente à l’idée de légaliser l’euthanasie. Connaissant notre société, je suis presque certaine que cette nouvelle loi créerais des abus. La gestion de celle-ci deviendrait un fardeau pour le gouvernement autant que pour le peuple. Mais, en prenant considération les centaines de personnes qui souffrent, je crois que les cas devraient être évalués un à un. Rendre l’euthanasie légale n’implique pas nécessairement l’obligation d’exécuter quiconque le souhaite. Si la légalisation est adoptée, les professionnels ainsi que le gouvernement se verront bombardés que gens mécontents autant qu’avant, mais pour des raisons différentes. C’est pourquoi la question mérite d’être longuement approfondie pour en tirer les meilleurs résultats possibles.
Je n’ai jamais compris pourquoi l’euthanasie est un problème.
Si les gens veulent mourir eh bien qu’ils meurent. Il n’y a rien de grave dans la mort; c’est juste une banalité de la vie qui arrive à tout le monde.
Pourquoi empêcher les gens d’aller mieux lorsque la mort est le seul remède?
oui sauf qu’il est necessaire de réglementer ce genre de « remède » car il y a des abus dans tout et ils faut pas que ce soit solution hative dans la décesion de mourir!! et il est important aussi de préserver le malade et la famille!
bonjour
oui je suis revolté parmis tant de familles
ne plus souffrir lorsque aucune issue de guerrison n’est presente ..les medecins ne font que se couvrir au niveau de la loi sur l’heuthanasie je les comprend car la loi est mal faite sous pretexte qu’il risque d’y avoir des abus !!! ce n’est qu’une foutaise ..avec tout le respect que je vous dois
les medecins ne passe dans la chambre du patient concerné 15 mn environ puis ils preferent prescrire le traitement dans une autre piece car la vue d’un patient douloureux gemissant leur fait mal aux tripes
on se demande pouquoi les familles sont révoltés .. tout simplement parcequ’ils sont présents
il faut regarder le membre de notre famille souffrir 24h sur 24 des jours et des jours
si ce n’est plus supportable il faut partir (se voiler la face)tout en sachant …
on est au 21 em siecle est-il necessaire de vivre le calvaire avant de partir au paradis ? de perdre toutes dignité ?
les morphiniques ne sont utilisés que modérement car risque est detresse respiratoire ..tout en dormant
en fin de vie la personne qui souffre ne demande que ca ..
NE PLUS SOUFFRIR
j’invite les tetes pensantes au sujets de cette loi a venir sur le terrain pas 15 mn non trop facile
seulement 24 h
cordialement