En période d’élections, le terme de taux de chômage est constamment employé par nos politiques, pour les uns dans le but de démontrer que la politique en vigueur n’est pas, mais vraiment pas du tout satisfaisante et pour les autres que bien au contraire les effets de leur politique et les efforts furent spectaculaires! Le taux de chômage est un indice reflétant le nombre de demandeurs d’emploi connu et recensé a un instant T. c’est pour autant dire une donnée totalement aléatoire, incertaine et donc pas toujours représentative de la réalité socio-économique; on peut tout faire dire a des chiffres.Le taux de chômage de la France est d’environ 11%, et ce depuis bien des années…..il varie certes de temps en temps mais la moyenne effective reste tout de même cette fameuse barre des 11%. Si nous nous tournons vers nos voisins européens, le taux de chômage d’un pays comme le Portugal est seulement de 7%! C’est peu, très peu! Pouvons nous en déduire que le système économique portugais est bien supérieur au système tricolore? Et bien pas du tout et bien au contraire. Nos voisins lusophones sont loin d’utiliser les mêmes techniques de comptabilisation de leur chômeurs, de plus l’inscription auprès des centros de emprego ( équivalent de nos ANPE) est loin, très loin d’être systématique. la résiliation des chômeurs et également favorable a l’obtention de ce joli 7%! En effet, il suffit de ne pas répondre une seule fois à une lettre quelconque des centros de empregos pour être considéré comme exclu de la catégorie demandeurs d’emplois. Les portugais sont donc heureux car leur taux de chômage fait pâlir la France mais il n’est aucunement le reflet de la réalité. ce pays abrite une quantité impressionnante de demandeurs d’emploi, le reflexe ANPE, n’existe pas, on cherche son emploi soi même, on connait des amis qui connaissent des amis, on a des pistons……La durée moyenne réelle de retour a l’emploi au Portugal est plus courte que la durée française, mais les sans emplois de longue durée y sont aussi plus nombreux. Que pouvons penser réellement des données concernant le chômage et bien par grand chose. Ou plutôt oui, ces données comme toutes données chiffrées doivent être vue et considérée dans leur globalité. C’est-à-dire que les taux de chômage doit être étudier avec les données qui ont permis ca collecte, exactement comme s’il agissait d’une étude de marcher et rien d’autre. les données chiffrées du chômage sont utiles mais elle ne sont pas le reflet de politique économiques, sociales ni même le résultat de la fameuse crise. N’accordons pas aux politiques plus de crédit qu’ils n’en n’ont considérons les données comme seulement des données et non pas comme des résultats ou des reflets de bonnes ou mauvaises orientations politiques.
Sympathique réflexion!
Et oui, les chiffres, les chiffres…
Je suis bien d’accord avec vous, les méthodes employées pour les statistiques sont bien trop floues, en France ou au Portugal.
En France on aussi on peut être radié si on ne répond pas a une lettre de rendez-vous. Moi ce qui me révolte le plus, c’est la redistribution des assedics.
Par exemple, un smicard a 1300 euro /mois, ne touchera qu’entre 900 et 1000 euro d’assedics.
Quant un cadre supérieur touche plus de 5000 euro d’assédics, ca me révolte. Ok le salaire était plus élevé, mais vous imaginez l’écart…
Pour qui les chances de s’en sortir sont-elles les meilleures? Toujours les mêmes, alors que quand on travaille, on travaille, directeur ou ouvrier. Au final chacun a ses propres responsabilités, et je ne sais pourquoi ce stupide critère de niveau des salaires est venu jugé lequel de ces deux hommes devaient gagner 1300 ou 5000 euro voir plus plus plus!
Ce monde me dégoute parfois. Le monde des humains…
p.s : je vous conseille juste de soigner votre mise en page, ca fait un peu mal aux yeux de lire tout d’un bloc!
Vu le niveau d’analphabétisme du rédacteur de cet article sans intérêt, je ne serais pas surpris qu’il soit au chômage.
Le chômage est conservé à des niveaux élevés par les gouvernants pour une raison : il permet d’avantager le patronat dans la négociation salariale, et de réduire la marge de manœuvre des aspirants au travail. Ainsi on limite les augmentations de salaire et l’inflation.
Plusieurs moyens sont utilisés : désindustrialisation, délocalisation, mise en concurrence avec des pays où la main d’oeuvre est moins chère (par l’élargissement de l’Union Européenne aux pays de l’Est, voire à la Turquie), utilisation de l’immigration…
[quote]Vu le niveau d’analphabétisme du rédacteur de cet article sans intérêt, je ne serais pas surpris qu’il soit au chômage. [/quote]
Excusez-moi Berton, mais je ne vois pas ce que cela vient faire dans votre commentaire!
C’est du jugement gratuit!
Et quand bien même cela serait vrai, qu’est-ce que cela changerait?