Le tabac, fléau des ados:

Depuis peu de temps, si on s’intéresse aux siècles qui s’écoulent, on note une forte augmentation de la consommation du tabac en France, en Europe – d’où, bien sûr, une hausse des prix du tabac – mais le plus flagrant c’est que ce sont les adolescents, en moyenne les 15-20 ans qui en consomment le plus. Pourquoi? Ce phénomène peut s’expliquer par les effets de mode, les tentations diverses auxquelles sont soumis les jeunes, influençables et avides de nouveautés.


En effet, c’est durant l’adolescence que l’on est susceptible d’être influencé par les addictions, ici on traitera du tabagisme. Mais les adolescents sont cependant fragiles car enfermés dans une dépendance que, nous, adultes fumeurs, comprenons parfaitement, car on ne sait comment s’en débarrasser.


La cigarette est donc un des premiers éléments révélateurs d’un effet social menant à un effet de mode, auxquels les jeunes sont confrontés. En effet, la cigarette est au départ un moyen d’être vu par les autres, « c’est pour frimer », mais au fur et a mesure on devient accro, et la frime laisse place à la dépendance, chose non louable, en conclusion.

La dépendance est autant physique que psychologique, elle entraine une consommation d’abord « timide » puis régulière, et cela mènera aux conséquences d’une dépendance incontrôlée, on ne sait plus s’arrêter, on n’est plus maitre de soi.

Pourtant, on note tout de même un fort pourcentage de jeunes décidant d’arrêter, ce qui renforce l’idée de créer des programmes de sensibilisation dans les lieux à forte population jeune, comme les collèges et lycées.

Diverses aides sont proposées aux jeunes pour qu’ils arrêtent de fumer, comme pour les adultes, telles des patchs, chewing-gums, mais on note que peu de jeunes utilisent ces méthodes, car peut-être (et heureusement), ils arrivent à se prendre en charge seuls afin de lutter contre le tabac, à l’origine de leur dépendance.

On a mis en place un test de dépendance, le test de Fargesrtröm, comme celui de Difranza, pour évaluer cette dépendance chez le jeune. On se base sur les sentiments, la psychologie du jeune en relation avec sa dépendance, on peu ainsi tirer des statistiques.

Mais, le tabac, avant d’être une drogue, est un fléau, un fléau qui tue des milliers de personnes chaque année en Europe. Donc nous, parents, fumeurs ou non, apprenons à enseigner a nos enfants les dangers avant les avantages que le tabac confère, car on sous-estime souvent l’influence que le monde des ados provoque sur chacun d’entre eux.