Je me demande si les français en général ont bien compris ce qui se passait avec les robots et si même le nom d’Asimov leur parle.

 Aujourd’hui sur la planète les fabrications de robots (y compris drônes pour remplacer les soldats) sont monnaie courante et quand je constate le balbutiement de l’industrie en France à ce propos, je crois là aussi que le retard accumulé va se payer très cher.

 Sachez très cher lecteur qu’un robot peut travailler, pour l’instant 100 voire 1000 fois plus vite que vous, pendant des centaines voire des milliers d’heures sans défaillir (sauf que les produits manufacturés par cet automate, eux peuvent tomber en panne judicieusement de par la programmation spécifique dont ils peuvent être dotés) La France, avec ses bérets et ses baguettes, socialiste qu’elle n’en peut mais, croit niaisement que le travail manuel va la sauver, camarades ! Alors là, je me demande si mes compatriotes lisent la presse étrangère? probablement pas! DSK, le rugby et le bébé de l’Élysée c’est tellement plus important , tellement essentiel même, que rien ne peut exister qui dissipe l’attention du citoyen lambda de ces événements majeurs! Que dans 15 à 20 ans nos ressources intellectuelles non renouvelées soient en voies de tarissement, que le nombre de chômeurs ait dépassé l’entendement et que les seuls fonctionnaires publiques, territoriaux et assimilés Pôle Emploi, Sécurité sociale et autres caisses retraites soient garantis d’avoir leurs salaires à la fin du mois (sauf qu’à ne rien produire, ça ne risque pas de durer longtemps …) Les enseignants et les hospitaliers resteront par, j’oserais dire, dévouement, les autres continueront à croire comme aujourd’hui qu’ils sont nécessaire pour administrer le néant. Les effectifs des entreprises semi-étatiques genre EDF, GDF, RATP, SNCF, France télévision, France Télécom, et ceux qui leur ressemblent, vont fondre comme neige au soleil à cause de la concurrence des pays qui auront su s’équiper de ces machines à remplacer les hommes qui sont pensées et fabriquées par des hommes et encore des hommes (bizarre ce plein emploi, n’est-ce pas?) Car pour inventer des activités à l’infini, je fais confiance à l’homme, le vrai, qui n’a pas besoin de Marx et de ses avatars dégénérés pour penser par lui même.