Force est de constater, que l’homme de tout temps, se référant le plus souvent à d’hypothétiques raisons religieuses, ou encore traditions ancestrales, s’est adonné à des actes des plus barbares.

Qui n’a jamais vu des films, mettant en scène des combats de gladiateurs lors  des jeux du cirque, des membres de l’inquisition commettant des actes barbares sous couvert de la religion, etc etc et le public s’en délecter…

Bref en des temps reculés, la torture était répandue sur tout le globe et touchait souvent, la majorité des couches sociales.

Par contre, une "coutume" barbare, qui se limitait jusqu’alors au Cameroun, semble faire des émules dans d’autres pays.

Je veux parler du "repassage ou massage des seins".

Cette pratique scandaleuse, consiste à presser sur la poitrine de jeunes filles au moment de la puberté, des pierres chauffées ou des coquilles de noix de coco, dans le but de limiter le développement de leurs seins.

L’argument avancé est des plus farfelus, car les adeptes du "repassage", qui ne sont autres que les mères des petites victimes, assurent qu’une poitrine par trop développée chez une adolescente, attire la convoitise des hommes et encourage ceux-ci à les violer dès le plus jeune âge.

En outre, les mères sont persuadées, qu’elles protégeront ainsi leur progéniture contre une sexualité trop précoce.

 

Eh bien, il faut croire que la barbarie n’a pas de frontière, puisque selon la CAMEYWomen’s and Girl’s Development Organisation, le "repassage" serait aussi pratiqué dans le royaume d’Angleterre ! Par contre, les accessoires se sont modernisés, puisque les charmantes mamans britanniques utilisent un ustensile plus "civilisé" : le fer à repasser !

Bien entendu, nul n’ose en parler ouvertement.

 

Assez paradoxal tout de même, que sur le continent européen, on puisse s’adonner à de tels actes de barbarie, alors que dans le même temps des organisations camerounaises ainsi que des élus s’évertuent à les éradiquer.

Il faut savoir que le "repassage" entraîne en plus d’épouvantables et permanentes traces de brûlures, de graves séquelles, comme la formation de kystes, des abcès, ainsi qu’une incapacité ensuite d’allaiter des enfants.

Je ne parle pas de la douleur subie par les victimes.

 

La source semble des plus officielles, mais on espère que cette effroyable pratique ne se généralisera pas et que les mères qui s’y adonnent seront sévèrement condamnées et punies.