On entend souvent parler du soi-disant quatrième pouvoir de la presse qui est censée contrebalancer les « influences » institutionnelles et autres. Il faut bien l’avouer, la plupart des médias ne bénéficient pas d’une liberté d’expression à toute épreuve. Avant de pouvoir diffuser leurs messages à l’opinion publique, les journalistes « à la solde » doivent passer par différents filtres ou contrôles, qu’ils soient internes (comités de rédaction…) ou externes (lobbies ou groupes de pression privés, institutionnels…).
Allons droit au but : qui contrôle la presse planétaire, actuellement ? C’est une espèce de gouvernement obscur mondial illégitime aux ramifications multiples qui s’immiscent partout. Les agissements de ce groupe tentaculaire et irresponsable vont de plus en plus être rendus publics.
Internet est devenu un « enfer » pour ce gouvernement ténébreux : les informations qui y circulent sans tabous les déconcertent au plus haut point. Cette toile — aux réseaux puissants et volatiles — est si difficile à contrôler.
D’ailleurs, de plus en plus de journalistes conventionnels, entre autres, sous le couvert de pseudonymes, créent leurs propres sites Internet afin de diffuser leurs messages non filtrés par le biais de blogs, tribunes libres, etc. La planète est en pleine mutation, les humains aussi (qu’ils en aient conscience ou pas) ; ceux-ci n’éprouvent plus le besoin de « jouer » aux esclaves.
Les gouvernements doivent cesser de nous mentir, vampiriser nos énergies (physiques, psychiques, monétaires…) et de nous contrôler comme du vulgaire bétail.
Les gouvernements intègres sont là pour nous SERVIR et non pour nous asservir.
Journalistes citoyens de Gaia : « À vos plumes ! »
N’hésitez pas à rendre compte de vos connaissances diverses ; il n’y a pas que des ignares sur cette planète, les sujets tabous n’effrayent que les êtres inhumains, les individus aux cerveaux (bridés et formatés comme des robots) et les intégristes de tout poil.
@ Phila
Phila, dans la mesure où, chez tout journaliste, sommeille un citoyen, je me demande si le terme « journalisme citoyen » est bien approprié (?)…
En effet, la toile… pardon : Internet… est entrain de prendre la même ampleur que les radios libres des Années « Mitterrand »…
En effet, lorsque j’ai fait de la radio libre (qu’on appelle maintenant : radio locale privée), j’ai fait partie d’une Equipe de la Rédaction, qui travaillait avec les moyens du bord… Nous étions très démunis, obligés à faire du bénévolat (tout en donnant de notre temps et de notre sueur), puisque les publicités étaient, de par la Loi, interdites d’antenne…
A l’époque, les médias officiels, ne nous appelaient pas « JOURNALISTES CITOYENS » : ils nous prenaient pour des rigolos, des doux rêveurs, des amateurs, même si, parmi nous, il y en a qui ont fait une belle carrière par la suite !
Actuellement, Internet prend une ampleur beaucoup plus grande que la radio, puisque chaque personne qui écrit, peut être lue dans le Monde entier, ce, sans aucune entrave, alors qu’une radio peut être « muselée » grâce à la destruction de son émetteur !
Je pense qu’un nouveau type de journaliste apparaît ! MAIS, ENTENDONS-NOUS BIEN : il s’agit d’une nouvelle manière de diffuser l’information, une nouvelle manière de faire son travail, mais, en aucun cas une nouvelle manière d’écrire l’information, de rédiger des dossiers ou de faire des interviewes, de faire des photos ou de filmer un évènement !…
En effet, qu’il soit pratiqué au sein d’une radio, au sein d’une chaîne de télévision, au sein d’un journal (ou magazine), au sein d’une agence de presse, le journalisme doit se pratiquer de la même manière et avec la même rigueur éthique et déontologique !
Comparons notre liberté avec celle des Iraniens ou des Chinois….
Dimanche soir, les Iraniens ont vu leur accès au moteur de recherche Google, à la messagerie en ligne Gmail et à d’autres sites nationaux et étrangers bloqués. Ce midi, ils étaient de nouveau accessibles. Un responsable de l’entreprise publique des communications a déclaré à l’agence Fars : « A cause d’une erreur, le site Google a été bloqué samedi soir, mais l’erreur a été réparée et à l’heure actuelle le site Google et ses différents services, notamment Gmail, peuvent être utilisés. » Le blocage de ces sites a été confirmé par Hamid Shahriari, le secrétaire du Conseil National de l’Information. Sans aucune autre explication.
Erreur technique ou blocage volontaire ? Il est donc difficile d’en dire plus. On peut juste rappeler que l’Iran est connu pour son action de censure du web, notamment contre les sites pornographiques et politiques. Des sites iraniens ou étrangers filtrés par les fournisseurs d’accès via des mots-clé. Selon Reporters Sans Frontières, qui le classe parmi les Trous noirs du web (voir ci-dessus), le « filtrage du s’est intensifié et l’Iran se targue aujourd’hui de filtrer 10 millions de sites « immoraux » ». L’association souligne par ailleurs que « les autorités ont récemment décidé d’interdire les connexions à haut débit. Une mesure qui peut s’expliquer par un souci de ne pas surcharger le réseau iranien, qui est de très mauvaise qualité, mais qui peut aussi s’interpréter comme une volonté de bloquer les produits culturels occidentaux téléchargés sur le Net. »
Internet: le Chinois mort devant son ordinateur: PROPAGANDE
Selon certaines souces, il se pourrait que le mort mentionné n’existe pas.Il s’agirait de propagande pour montrer la dangerosité d’internet!
Un jeune Chinois se serait effondré, mort, dans un cybercafé, après avoir enchaîné trois jours de jeux en ligne consécutifs, rapportent aujourd’hui les agences Reuters et AFP, citant le quotidien étatique Beijing News. Concerné par les problèmes d’addiction à Internet, le gouvernement chinois pourrait profiter de cette triste nouvelle pour mettre en place de nouvelles mesures visant à réduire le temps que les joueurs passent en ligne.
Agé de trente ans, ce jeune homme se serait soudainement écroulé face à son ordinateur, situé dans un cybercafé de la province de Guangdong, après trois jours passés en ligne. Le type ou nom du jeu auquel il s’adonnait n’a pas été mentionné. Rapidement alertés, les secours ne seraient pas parvenus à le réanimer. « D’après les premières conclusions, le temps que cet homme aurait passé en ligne aurait provoqué des problèmes de coeur », aurait indiqué un urgentiste de la ville de Zhongshan.
Soucieux de la montée de phénomènes comme la pornographie et la dissidence contre le régime en place, le gouvernement chinois a pris en mars dernier la décision d’interdire toute ouverture de cybercafé dans le pays. A cette époque, la Chine comptait environ 113.000 cybercafés pour une population de quelque 137 millions d’internautes. Il légitimait cette mesure par la volonté de protéger les jeunes Chinois de l’accoutumance à Internet.
@ libertus
libertus, certes, vous avez parfaitement raison… Les Iraniens font tout pour « museler » l’outil internet, les Chinois, tout en interdisant la création de nouveaux cybercafés, essaient coûte que coûte de freiner l’expansion de l’outil internet en inventant des prétextes aussi farfelus les uns que les autres…
Mais, il y a la WI FI : là, je vous fais le pari qu’il y aura des personnes spécialisées dans les télécommunications internationales, qui vont résoudre ces problèmes, car, il y a toujours un moyen de détourner des lois, surtout quand elles sont ubuesques et attentatoires aux libertés individuelles !
Propagande chinoise : l’homme décédé devant son écran
Entendu ce matin sur Europe1 ce matin, il s’agirait de propagande pour faire peur aux internautes chinois.On ne connait pas le nom de la personne décédée
PEKIN (AFP) – Un homme d’une trentaine d’années est décédé samedi dans un café internet de Canton (sud de la Chine) après avoir joué en ligne sans interruption durant trois jours, rapporte lundi le quotidien Les Nouvelles de Pékin.
« Selon les premières constatations, le fait qu’il soit resté longtemps à surfer sur internet est sûrement la cause de la mort, ce qui a provoqué une défaillance cardiaque », a déclaré un secouriste, cité par le quotidien.
Les secours n’ont rien pu faire lorsqu’ils sont arrivés.
L’homme, d’allure robuste et « qui n’avait aucune blessure apparente », selon un témoin, se serait subitement évanoui devant son écran samedi après-midi.
Le soir même, le café a rouvert ses portes après le mouvement de panique qui avait fait fuir les centaines d’internautes présents sur les lieux dans l’après-midi.