Où va-t-il ? A qui incombe la responsabilité ?Le monde moderne, où tant de mal et de peine y sont omniprésents, continue à parler de lui, sans pour autant ne dire mot, en tout silence.

Le constat est plus que amère, ni les situations géopolitiques, socio-économiques ni purement politique ne laissent à ravir. Le chant de marasme s’entend de loin, plus rien n’est ce qu’il devait être, du moins, faire semblant.  En somme, pour dire en un mot que le monde est « Unfaithful », soit une infidélité par rapport aux principes et fondements comme prévu dans son « Plan de route », si l’on ose le définir de la sorte.

En effet, ce ne sont ni les présidents, ministres, partis politiques de droite ou d’extrême gauche, ni les soit disants représentants du peuple qui semblent partie-pris pour un quelconque changement. Outre les organisations dites humanitaires, dont tous ne pouvons que s’indigner. Ainsi pour ne pas dire se désoler, faute de leur soumission  aux Nations Unies, principalement les cinq (5) Etats ayant le droit de Véto. Cela pour dire que les ONG, manquent de pertinence et se retrouvent handicapés suite à des amendements et autres lois auxquelles elles sont soumises. Entre autres, sous l’égide de la CIA, le MOSAD, la DST Française ou autres services de sécurité.

Et dans toute cette histoire, le peuple, dans toutes les nations, en est l’unique « Victime ». Victime d’un acharnement coûteux, dont l’influence n’est que ardue, aux peuples du monde, mais plus que bénéfique pour ceux pour qui leurs positions profitent.

Est-ce alors, prendre partie que de dire que ces derniers sont des « Parasites » qui se prolifèrent, se développent et se glissent sous la peau d’organisations mondialement connues pour semer la gangrène au sein de la souveraineté de tous les pays dits : « Pays de la rive sud, du tiers monde» ?

Les mots s’étourdissent, se terrent de crainte de s’exposer à un débat où les vérités se feront écouter de loin, au risque d’être radiés de Larousse. Idem pour les combattants des droits universels, en l’occurrence les soldats de l’ombre, autrement dit : « Activistes du et pour le peuple »

Cependant, nulle initiative ne semblera utile pour y remédier, néanmoins, l’histoire notera pour sa part les divergences et l’irrationalité et responsabilité de ces dirigeants ainsi que de chacun quand à la situation actuelle dont laquelle est plongé le monde.

Y a-t-il un quelconque risque de craindre pour l’avenir du monde ? La réponse ne peut qu’être « Oui » sur toute la ligne.

 

D’après : Massinissa BENLAKEHALJournaliste/ Algérie