Le MLF: 40 ans de lutte!

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Le Mouvement Libérateur des femmes fête ses 40 ans, pourtant, des inégalités sont encore bien présentes entre homme et femme!

 

C’est en 1970 que le MLF est né, indispensable à une époque où seulement 20 % des femmes travaillaient, et juste après les événements de mai 68. Une des initiatrices du MLF s’appelle Antoinette Fouque, psychanalyste et femme politique. Le premier coup médiatique du MLF fut le 26 août 1970, où le mouvement déposa une gerbe sur la tombe du Soldat inconnu en scandant: « il y a plus inconnu que le soldat inconnu: sa femme! ».

 

Depuis des années les femmes se battent pour avoir leur place dans la société: droit de vote, droit d’ouvrir un compte sans l’autorisation du mari, droit de travailler, de choisir le moment de sa grossesse, d’avoir accès à l’IVG, même si le MLF a pour image des femmes extrémistes et haïssant le mâle, il faut dire qu’elles ont quand même fait avancer les choses. Aujourd’hui, c’est 80% des femmes qui travaillent, mais les inégalités salariales demeurent, et une femme peut gagner jusqu’à 30% de moins qu’un homme sur un même poste. Et bien sûr, n’oublions pas que 400 femmes par an meurent sous les coups de leur mari , et qu’il y a encore de nombreuses femmes qui sont harcelées, violées, frappées par leur compagnon, il y a donc encore du pain sur la planche…

 

Pour fêter cet anniversaire, le MLF a décidé de demander à ce que l’esplanade des droits de l’homme soit rebaptisée « l’esplanade des droits des femmes et des hommes », histoire que tout le monde soit sur au même niveau. Girl Power !!!

 

 

24 réflexions sur « Le MLF: 40 ans de lutte! »

  1. Tout ça pour ne pas faire la vaisselle !
    Ah, qu’est-ce qu’il ne faut pas entendre…

  2. Bonne question, Gosseyn , à part le Droit à la contraception et à l’IVG (merci Simone!) je ne vois pas non plus!!!
    [quote]le MLF a pour image des femmes extrémistes et haïssant le mâle, il faut dire qu’elles ont quand même fait avancer les choses[/quote] Voilà des propos bien discutables: pour tenter de faire avancer la cause des femmes (quel boulot!) il a bien fallu se battre, pas forcément CONTRE les hommes mais contre le pouvoir en place, bien macho!
    Comme l’a si bien rappelé Sophy dans un article récent sur les injures politiques, Simone Veil s’est fait copieusement insulter!!!

  3. Et oui : l’IVG.
    La seule chose que Simone Veil a fait de bien dans sa vie…
    Mais je ne mets pas vraiment ce combat dans la catégorie des luttes pour les droits des femmes. C’est davantage une lutte contre la secte catholique qui a longtemps empêché ce genre d’avancée grâce au pouvoir qu’elle détenait.
    Je ne suis pas convaincu que le MLF ait été nécessaire à la loi Veil. C’était plus une question d’époque.

  4. A part le droit à l’IVG et la contraception ca n’a pas avancé depuis …. Où sont les femmes ?

  5. Au boulot, aux tâches ménagères, aux soins et à l’education des enfants, comme toujours, hélàs, V14 !!! >:( >:( >:(

  6. Gosseyn, vous n’y êtes pas !

    Salaire ? Cà veut dire travailler ! Trop dur ! Trop long !
    Elles ont trouvé plus simple… et depuis longtemps !
    Elles se marient… elles demandent le divorce (c’est presque toujours elles qui demandent le divorce), et elles partent avec la moitié de la caisse ! 🙂

  7. Et les papas accusés injustement d’attouchements sexuels et privés de leurs enfants, lors des divorces, par exemple, c’est aussi une plaisanterie, vous croyez ?
    Je vous mettrai les liens…
    Je voulais écrire un article là-dessus, par rapport au MLF, mais je n’ai pas trop le temps.

    J’aimerais bien, Gosseyn, que ce ne fut qu’une plaisanterie. J’aimerais bien…
    Mais :
    1. J’ai travaillé un temps dans un milieu typiquement féminin (et je les ai beaucoup entendu parler), et ensuite dans un milieu typiquement masculin. Croyez-moi, y’a pas photo ! Je préfère travailler avec des hommes.
    2. A un moment, j’étais en contact avec une présidente d’association qui s’occupait justement de ces cas-là.
    3. Je connais personnellement quelques cas…

  8. Tintin01, je veux bien vous croire, car cela existe réellement.

    Par contre, dans mon entourage, je connais beaucoup de femmes qui bossent et doivent faire face, en plus de l’éducation des enfants, aux « délires » de leur adolescent de mari, qui pensent que l’argent qu’elle gagne est juste bon à passer dans leurs lubies, hobbies, et leur permettent, à eux, ces messieurs, de prendre quelques périodes de chomages, sous prétextes de « non épanouissement dans ce boulot »!!!
    ensuite, arrive le moment, où la brave dame n’a plus la côte! et Monsieur part ailleurs! et oui, car une femme épuisée ce n’est pas intéressant! même si la cause est l’irresponsabilité de Monsieur!
    alors…. qui part avec la caisse!!! ce n’est pas toujours celle qu’on croit!

  9. comprendre en ce qui concerne les « hobbies  » et lubies, celles de Monsieur !
    (voir ce qui est engouffré dans les sports mécaniques ou autres….)

  10. Je confirme, Tintin, j’ai dans mon entourage proche et plus éloigné d’avantage de femmes seules à se débrouiller avec les enfants, en couple avec des ados attardés ou des hommes en recherche de substituts maternels que de femmes ayant profité de leur mari. Les cas dont vous parlez existent malheureusement et sont particulièrement odieux, puis qu’ils utilisent les enfants, mais franchement, c’est anecdotique quand on étudie les conséquences des divorces et séparations!!!

  11. Quant aux milieux masculins et féminins, c’est un mythe tenace!!! ((colporté par les hommes?)
    Les hommes sont aussi tordus et langues de P…e, mais entre …EUX!!!
    Si vous avez de (vrais) amis masculins, demandez-leur ce qu’ils en pensent…

  12. et puis….
    réfléchissez à cette citation:
    « Aimer une personne pour son apparence, c’est comme aimer un livre pour sa reliure. » (Laure Conan)

    et ne vous étonnez point ensuite que les pages soit vides !

    😉 😀 ;D

  13. L’HOMME CHANTE, LA FEMME CRACHE

    Parce que la femme commence à sérieusement puer la charogne dès les premiers signes de la vieillesse et que l’homme au contraire exhale un exquis parfum floral à l’âge où ses tempes s’argentent, ce dernier prouve une fois de plus sa supériorité naturelle sur l’enfant de Vénus.

    Le principe femelle est complexe, vénéneux, insaisissable, pernicieux, horrifique : au départ la femme est belle, bonne, sage, douce, vertueuse, timide.

    Puis, progressivement, se liquéfie.

  14. Agée, elle devient laide, stupide, sale, corrompue, méchante. A l’orée de la tombe, elle porte même la ride comme une grimace sur sa face sans gloire, une cicatrice affreuse sur son front dégoûtant, quand l’homme la cultive fièrement, voyant là le signe de sa noblesse…

    Viscosités malodorantes, tel est le sort maudit de la femme.

    toujours la liquéfaction- alors que le phallus de son maître est façonné à l’image d’un doigt désignant le ciel.

    Ce qui entre dans le vase naturel de la femme est toujours beau puisqu’il s’agit de l’offrande du mâle, mais ce qui en sort en dehors de cette communion des genres est nécessairement ignoble.

    Lorsqu’elle met bas la femme vomit l’eau trouble issue de ses viscères en fin de gestation : de son cloaque se déverse une onde impure, signature immonde et définitif de son statut inférieur sur l’échiquier de la création.

    Quant aux odieuses menstruations de ses jeunes années, ne faut-il pas y voir le prélude ironique de sa future déchéance ? Même jeune et belle, la femme pue une fois par mois !

    Le vieillard est un diamant, il brille, brûle, éclate de lumière. La femme au départ est une belle poire qui malheureusement tombe bien avant la soixantaine pour pourrir aux pieds de son roi qui, quant à lui, s’illumine de plus en plus jusqu’au dernier jour de sa vie où, même dans les bras de la Camarde il reste digne, noble et beau.

    Raphaël Zacharie de IZARRA

  15. Qui est Raphaël Zacharie de IZARRA
    Oisif mélancolique, oiseau unique, ange joliment plumé, ainsi se présente l’auteur de ces lignes (une sorte de Peter Pan cruel et joyeux, mais parfois aussi un rat taciturne). Au-delà de cette façade mondaine, loin de certaines noirceurs facétieuses j’ai gardé en moi une part de très grande pureté. Dans mon coeur, un diamant indestructible d’un éclat indescriptible. Cet éclat transcendant, vous en aurez un aperçu à travers mes modestes oeuvres. Est-ce une grâce de me lire, pensez-vous? Osons le croire.

  16. [b]LES HOMMES N’EXISTENT PLUS[/b]

    Les hommes n’existent plus.

    Les grands, les forts, les vrais.

    A la place, des larves, des mauviettes, des frileux, des castrés.

    Moi je dis que l’homme, le mâle, est un seigneur de naissance. Aux antipodes de la pitoyable vision contemporaine le réduisant à un clone de la femme. Pour les châtrés-dégénérés s’épilant les jambes et se couvrant la peau de crèmes protectrices, l’homme est une limace bien lisse qui bave en se trainant aux pieds de poulettes dégradées pour pleurer leurs faveurs.
    Dans ce siècle aseptisé le mâle ne conquiert plus, il quémande.

    Conscient de l’inaliénable supériorité que me confère ce glaive hérité de Mars, je me comporte sans complexe en astre dominateur, puissant et radieux, viril et impérial jusque dans mes pensées les plus élevées, indifférent à l’anti-machisme ambiant. Ce qui a pour effet de déplaire aux femmes dénaturées, aux bécasses hystériques, aux féministes invétérées et même à la masse des eunuques, je veux parler de ces caniches formant la majorité du genre masculin de notre société. Ces toutous habitués à subir la loi des femelles ont perdu toute dignité phallique.

    La femme en rébellion contre l’homme déchoit de son demi-trône naturel consistant à laver les pieds de son maître. Devenue insignifiante, ridicule et sans valeur en voulant singer son dieu, elle caquète, glougloute, agite dans le vide ses ailes de volaille trop lourde, hurle stérilement à s’en égosiller pendant que le lion, nonchalant mais sûr de lui, couvre sa voix aiguë de petite créature pleureuse d’un paisible, rauque, souverain rugissement.

    Lui n’a pas besoin de se déchirer les cordes vocales pour manifester sa divine autorité et faire sentir à la femme que sa crinière est une couronne, ses testicules des bijoux royaux, son membre un sceptre de pharaon.

    La descendante de Vénus a un tempérament docile. Molle, tiède, inconstante, indécise, elle est faite pour obéir à son étoile et la suivre fidèlement. C’est dans sa nature.

    Tandis que l’homme, ce reflet du soleil, est fait pour régner sur ses terres conquises.

    Voilà pourquoi je dis que les hommes n’existent plus : parce que, éteints de l’intérieur par l’eau glaciale de l’hérésie féministe, ils ont fini par croire que le soleil était l’égal de la lune.

    [i][b]Raphaël Zacharie de IZARRA[/b][/i]

  17. [b]TINTIN : LES DENTS DE LA MER-ique[/b]

    Le rouleau compresseur hollywoodien a allègrement franchi nos frontières culturelles afin de niveler encore un peu plus les cervelles françaises avec une version 3D commerciale de “Tintin”.

    Revu, léché, lissé, hight-techisé et surtout boosté à la dynamite made in US, bref consciencieusement américanisé par Spielberg (professionnel de la récupération mercantile des mythes contribuant à l’abrutissement mondial), ce TINTIN-là, comme tout ce qui sort de l’industrie cinématographique yankee, n’échappe pas à sa mission hégémonique : transformer le monde (idolâtre d’images merveilleuses) en vassal de l’Amérique allaitée au coca-cola.

    Les gogos par millions vont encore se laisser berner par ces spielbergueries qu’on leur présente comme le banquet de mariage -supposé heureux- de la lourde, indigeste, vulgaire Hollywood avec la fine, élégante, spirituelle Belgique.

    Les esprits faibles ferrés depuis leur naissance par le système cinématographique américain se ruent en troupeaux dans les salles de cinéma pour ne pas rater l’évènement, comme si c’était une perte de ne pas partager ces références entre bovins…

    Reprendre nos traditions, s’inspirer de notre imaginaire collectif, s’emparer de nos vieux rêves européens, faire revivre nos figures locales en les remodelant à leur sauce ketchup et enfin nous les refourguer avec la caution du “terroir culturel”, voilà le génie criminel du cinéma d’outre-Atlantique !

    Cette mouture 3D de TINTIN génératrice de produits dérivés en tous genres n’est ni plus ni moins qu’une pierre supplémentaire dédiée à l’édification de l’idéologie américaine (basée sur la consommation primaire, outrancière alliée à la suprématie militaire la plus brutale).

    Retailler nos statues, les uniformiser selon les critères au rabais du marché international, telle est la spécialité des faiseurs d’images de Hollywood.

    Pour ça ils sont forts les amerloques !

    Avec Spielberg la jolie histoire belge vient de tourner à l’horreur du cinéma mondialiste : TINTIN a vendu sa fameuse mèche au diable.

    [i][b]Raphaël Zacharie de IZARRA [/b][/i]

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