William MODOLO était un jeune homme de 21 ans, d’une famille honnête et modeste de PEYPIN (village près de Marseiile et Aubagne), que nous pourrions décrire comme un “bon gros nounours” toujours serviable, (trop) gentil, cherchant à aimer et à se faire aimer, d’autant qu’il présentait une surcharge pondérale et qu’il ne correspondait pas aux critères actuels de “beauté physique”. Il était cependant beaucoup apprécié pour sa gentillesse par son entourage.
Il a eu un jour le malheur de rencontrer des individus qu’il a cru être ses “amis”: une fille (“A”) issu d’une famiile bourgeoise et sans problèmes de la région (aurait-il eu “le béguin” pour elle?), mais qui était en fait la petite amie d’un gars toxicomane vivant dans une caravane au bord de l’Arc à côté d’Aix En Provence, “JP”; un fils d’avocat (sic!), “A”, habitant dans la région, dont la copine, Barbara, était assistante maternelle sur Gardanne; et deux autres hommes: “F”, etLucien B, plus âgé et décrit comme alcoolique.
Cette “petite bande” (doit-on les appeler “le nouveau gang des barbares”?) se voyait à la caravane du bord de l’Arc, et faisait “la fête”, avec de l’alccol et des drogues illégales…
Du fait de la gentillesse de William et son besoin de se faire accepter par un groupe, il n’a pas du se rendre compte qu’il devenait petit à petit leur souffre-douleur, qu’ils commençaient à se moquer de lui, qu’ils s’amusaient à l’humilier, à le “bizuter”…présumant que la petite amie du chef, “A”, n’a pas du être la dernière pour lui “faire ducharme”, comme certaines filles savent faire (“appâts “ du gang des barbares par exemple).
Puis, unjour, leurs pulsions sadiques desinhibées par l’alcool et les drogues, prétextant des punitions parce qu’il n’avait pas fait assez pour eux, ils l’ont menotté, et commencé à le frapper de plus en plus violemment, puis à le violer, puis à le torturer en s’excitant
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tous les uns les autres, dans un acharnement barbare et sadique de plus en plus inhumain et monstrueux, les deux filles n’étant pas de reste…jusqu’à aller lui arracher à vif 15 dents, une des filles (“A”?)recueillant dans un cendrier les dents comme un trophée…(voulait-elles’en faire un collier?)
Toutes ces tortures ignobles auraient duré 4 jours, sachant que l’autre fille, Barbara avait une voiture, et qu’il fallait bien aller faire les courses de temps en temps… ce serait-elle qui, par la suite, bien après la mort de William, se serait présentée à la gendarmerie d’Aubagnepour dire “qu”elle était témoin d’un meurtre”…(serait-ce une stratégie de défense très rusée, sachant que la police enquêtait à ce moment là, pour simuler “des regrets” bien tardifs???)
Puis, étant donné “que les dents ne repoussent pas” et éviter que William ne les dénonce ensuite, TOUS LES SIX AURAIENT VOTÉ SA MORT À L’UNANIMITÉ. William les aurait imploré: “JE NE VEUX PAS MOURIR” et la fille prénommée “A”, copine du “chef”, lui aurait répondu: “TU VAS CREVER, ON VA T’ENTERRER…”
Ensuite, la nuit tombée, 3 d’entre eux: “JP” le “chef”; “A”, la copine du “chef”; et Barbara qui conduisait sa voiture (elle aurait eu la “délicatesse” de mettre un linge pour que le sang de William ne salisse pas sa voiture…), ont emmené William à Saint-Cannat dans la colline pour l’achever. À la lumière des portables des 2 filles, le “chef” aurait écrasé la tête de William (sa copine, “A”, vraisemblablement toute excitée de ce “beau” spectacle, lui aurait crié “tue-le, tue-le”…), puis l’aurait enfin “achevé” à coups de couteau sur tout lecorps et les yeux…
Voilà cette horrible histoire, indigne d’un pays qui se dit “civilisé” comme le notre!
Sachez que le fils d’avocat sera défendu par des “ténors” du barreau français!
Sachez que la justice française a une tendance “paternaliste” et risque encore de trouver des excuses à ces deux filles, devant leurs “pleurs” et leurs “regrets”, ou leurs accusations sur les autes inculpés ( il y aura encore une fois de plus des excuses “psychologiques” à ces actes impardonnables): LA JUSTICE FRANÇAISE DOIT ENFIN RESPONSABILISER LES CRIMINELS, PAS LES EXCUSER!
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LE PROCÈS DES SIX TORTIONNAIRES PRÉSUMÉS DE WILLIAM MODOLO AURA LIEU À AIX-EN-PROVENCE À PARTIR DU 30 AOÛT 2010.
MOBILISONS NOUS POUR QUE JUSTICE SOIT FAITE, QUE LA MÉMOIRE DES VRAIES VICTIMES SOIENT RESPECTÉE EN FRANCE, ET QUE CETTE BARBARIE NE SE REPRODUISE PLUS JAMAIS! ORGANISONS DES ACTIONS CITOYENNES!
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