La conspiration de réduction de la population humaine des riches de ce monde est honnêtement plutôt loufoque. Premièrement, advenant que la majorité des humains les plus pauvres meurent, les plus riches deviendraient alors la classe moyenne, une classe moyenne incapable de travailler très probablement. Deuxièmement, le vaccin étant produit par plusieurs personnes dans plusieurs endroits dans le monde, il serait certainement nécessaire que des centaines ou même des milliers de médecins soient dans le coup. Cela fait beaucoup de gens prêts à commettre un quasi génocide. Finalement, puisque le vaccin ne tue pas instantanément, il faudrait qu’il contienne un produit n’agissant qu’après plusieurs mois. Pour que personne n’ait détecté ce produit, il faudrait qu’il soit plutôt unique et donc qu’il soit créé en laboratoire par un groupe de médecins eux aussi dans le coup et prêts à commettre un quasi génocide. Je doute fort qu’une si grande quantité de gens soit prêts à commettre cet acte.
La question de la toxicité du vaccin est plus complexe, particulièrement parce que le vaccin a déjà causé quelques morts. En date du 19 novembre 2009, l’Organisation mondiale de la santé avait répertorié une complication par 10 000 vaccinations. Cinq pour cent de ces complications étaient sérieuses. Ces statistiques confirment que le vaccin contre la grippe porcine est aussi sécuritaire que le vaccin contre la grippe saisonnière. Déjà 6 250 personnes étaient décédées de la grippe AH1N1 le 19 novembre. Les morts causées par le vaccin sont donc insignifiantes comparées à celles causées par le virus. Sur le sujet de l’adjuvant contenant du mercure, celui-ci contient environ 25 microgrammes de mercure. Cela est légèrement moins qu’un sandwich au thon. La dose létale de ce type de mercure pour un adulte est entre 1 et 4 grammes.
Enfin, il reste le cas de l’utilité d’un tel vaccin plutôt coûteux pour les gouvernements. Il est vrai que celui-ci cause peu de morts. Toutefois, le virus étant très contagieux et forçant tous ceux affectés à rester à la maison cinq jours au minimum, rendre disponible ce vaccin à la population mondiale est certain d’augmenter la qualité de vie de plusieurs individus qui auront évité une semaine de convalescence. Tout cela dépendra du taux de vaccination et de la quantité de désinformation sur le vaccin présente sur internet et dans les médias.
Article fort bien fait au ¾ car empreint de bon sens et notamment concernant les folies conspirationnistes !
En revanche, j’ai sursauté en lisant ceci : « rendre disponible ce vaccin à la population mondiale est certain d’augmenter la qualité de vie de plusieurs individus qui auront évité une semaine de convalescence. »
Voilà malheureusement l’expression d’un PUR dogme scientifique : la prétendue utilité ou efficacité de la vaccination (et pas seulement contre la grippe). Jugez-en :
Le Sénat français avait déjà acté en 2007, en commission de la santé :
« Le député qui présidait une table ronde sur la vaccination en France, le 6 juin dernier [2007] au Sénat, estime « QU’IL N’EXISTE PAS DE PREUVE SCIENTIFIQUE SUR L’UTILITÉ DES VACCINS ». ». Ce seul constat aurait dû alors faire adopter par la France une attitude plus cohérente, mais on est loin du compte !
(Cf. http://www.senat.fr/bulletin/20070604/sante.html ; lire cette pertinente analyse faite par AGORAVOX qui en reprend l’info : http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=31102 )
Le député en question n’est autre que le Dr Jean-Michel Dubernard, chirurgien réputé et membre du collège de la « Haute Autorité de Santé » (depuis 2008) (plus de détails sur lui : http://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Michel_Dubernard ).
Dans un riche dossier de la revue Nexus (septembre-octobre 2009), reprenant sous le titre « Pas de preuve scientifique » cette constatation, on ajoute : « mais personne ne semble l’avoir entendu. »
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Suite et fin :
Ce qui est conforme à ce que la (très sérieuse) revue de médecine, The Lancet révélait déjà le 10 août 1974 : « les résultats jusqu’à présent obtenus démontrent que l’offre annuelle d’une injection du vaccin dans la vaste industrie n’a pas entraîné une réduction significative de la maladie ».
Si quelqu’un en doutait encore sachez que depuis 1974, des centaines d’études ont confirmé l’inefficacité de ce vaccin contre la grippe. La plupart ont été publiées dans de prestigieuses revues médicales comme The Lancet déjà cité, le Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH), le Panorama du médecin, sans avoir quelque vertu de pouvoir changer l’attitude figée des pouvoirs publics.
Au Japon, où la vaccination de masse contre la grippe pour les enfants des écoles a été rendue obligatoire en 1976, au travers d’un programme unique au monde qui avait la prétention de supprimer toute épidémie de grippe, le pourcentage des personnes atteintes par la grippe est passé de 5 pour 100.000 à 60 pour 100.000. Ces chiffres montrent non seulement une absence totale d’effet protecteur de la vaccination, mais même un effet manifestement aggravant. (Source : http://actionsantelibertes.blogspirit.com/archive/2008/11/01/la-grippe-oui-ou-non.html ).
The Lancet (10-8-74) contient les détails d’une étude impliquant 50000 employés des postes et les vaccinations contre la grippe : « les résultats jusqu’à présent obtenus démontrent sue l’offre annuelle d’une injection du vaccin dans une vaste industrie n’a pas entraîné une réduction significative de la maladie. »
Plus de détails : « vous disposez déjà du « vaccin » vraiment efficace » ( http://www.retrouversonnord.be/grippe.htm#vaccin )
Effet secondaires, toxicité du vaccin :scientifiquement, il n’y a un lien de cause à effet que lorsque telle action a produit à 100 % tel effet et trop souvent les études scientifiques ont fait l’amalgame entre « facteur de risque » et « cause ». C’est analogique aussi concernant les risques liés au virus A H1N1 : il n’y a pas de lien de cause à effet entre présence de ce virus et grippe. Être porteur de ce virus ne déclenche pas ipso facto une grippe.
Dans le cadre des vaccinations, jusqu’à présent on n’a pas rencontré un tel ratio par rapport aux effets secondaires et qui pouvaient être aussi la mort.
Dans le cas de la vaccination, il est donc impossible de considérer les ingrédients vaccinaux comme des sortes de toxiques qui seraient alors rendus responsables à coup sûr des effets observés ici et là !
J’opterais plutôt pour l’idée que de tels ingrédients (virus prétendument désactivés aussi) comme agissant déjà alors sur un terrain déjà fragilisé (entendez par « terrain » le physique ET le psychisme). Ils se comporteraient alors comme la goutte d’eau qui fait déborder le vase entraînant une problématique de santé qualifié alors d’effet secondaire du vaccin.
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Suite :
Personnellement, persuadé pour l’avoir observé aussi bien chez moi que chez les autres, je considère les ingrédients du vaccin comme, de toutes façons, incompatibles avec le « vivant » ; il a été en effet montré scientifiquement que le « vivant ne reconnaît que le vivant » (tapez cette phrase entre guillemets sur le Net pour plus de détails).
Je ne me ferai donc pas intoxiquer par de tels ingrédients même si certains, justifiant la fin par les moyens et adeptes du « mal par le mal », avanceraient qu’une thérapie de ce type (ce qui reste à prouver scientifiquement) serait à préconiser ; ce serait pour moi tomber dans « l’enfer qui est pavé de bonnes intentions ».
Je n’ai en effet pas envie d’abîmer mon propre terrain et je préfère faire confiance à la nature des choses et du pouvoir hautement auto-guérisseur que chacun nous détenons :
« Si nous prenons la nature pour guide, nous ne nous égarerons jamais », disait déjà le grand Cicéron.
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Suite et fin :
Aussi face à cet acte antiscientifique que constitue la vaccination, je lancerais comme l’a fait Sir Bernard Shaw il y a plus d’un demi siècle déjà : « Les gens intelligents s’adaptent à la nature, les imb… cherchent à adapter la nature…C’est pourquoi ce que l’on appelle le progrès est l’œuvre des imb… »
Je rejoins le Pr René Dubos, célèbre microbiologiste et inventeur du premier antibiotique qui faisait très justement observer :
« C’est la raison pour laquelle les méthodes orthodoxes basées sur les doctrines classiques de l’épidémiologie, l’immunologie, la chimiothérapie ne suffisent pas pour traiter les maladies endogènes. Il est besoin de développer des procédés pour rétablir un équilibre entre l’hôte et le parasite »
Le Pr René Dubos a été dès lors amené à conclure : « Les virus et les bactéries ne sont pas les causes des maladies, il s’agit d’autre chose. » (Dans son livre « Mirage of Health », traduit aussi en français « Mirage de la santé »).
[quote]scientifiquement, il n’y a un lien de cause à effet que lorsque telle action a produit à 100 % tel effet[/quote]
En fait ce n’est pas le cas en médecine. Les études dans ce domaine obtiennent rarement des résultats plus clairs que 40-60. Plus une science traite d’un sujet complexe plus des résultats ambigus sont tout de même considérés car il est presque impossible d’y trouver une vérité absolue.
[quote]virus prétendument désactivés[/quote]
Je ferai remarquer ici que si vous n’êtes pas convaincu qu’un virus est dénaturé et donc ‘mort’ (un virus n’est pas vivant au départ mais la chaleur dénature les protéines de celui-ci et il lui est ensuite impossible de se reproduire) vous pourriez aussi bien croire qu’il ne contient pas de virus du tout ou qu’il contient quelques grammes de mercure. Il faut avoir confiance en les bases de la médecine pour en parler. Autrement attaquez la médecine elle-même.
[quote]vivant ne reconnaît que le vivant[/quote]
Le vivant reconnaît le vivant, les minéraux, les ondes électromagnétiques, les photons etc. La source principale d’énergie des plantes provient de la lumière et les photons ce n’est pas vivant. De même le sel de table n’est pas vivant, mais il a un effet significatif sur le corps humain qui est reconnu par celui-ci. Toucher à une pierre et en reconnaître sa texture n’est-ce pas le vivant qui reconnaît le non-vivant?
[quote]cet acte antiscientifique que constitue la vaccination[/quote]
[quote]Les virus et les bactéries ne sont pas les causes des maladies, il s’agit d’autre chose[/quote]
Je vois qu’en effet vous vous attaquez à la médecine elle-même… Je dois vous dire alors qu’il n’est pas très utile de parler de vaccin si vous croyez que l’épidémiologie, l’immunologie et je ne sais quoi d’autre sont des sciences fausses. Il me semble que c’est les immunologistes qui sont les plus scientifiques, pas les adeptes de la biologie totale.
Je sais que les microbes existent, j’en ai vu. Pour le reste, j’ai vu des bactériophages en action au microscope électronique et des bactéries en englobant d’autres au microscope photonique. Je suis donc convaincu que les bactéries et les virus détruisent des cellules, nous détruisent donc. Je ne vois donc pas la logique de dire que celles-ci ne causent pas les maladies. Avez-vous des preuves scientifiques de cela?
@ Bredian qui dit : « [i]En fait ce n’est pas le cas en médecine. Les études dans ce domaine obtiennent rarement des résultats plus clairs que 40-60. Plus une science traite d’un sujet complexe plus des résultats ambigus sont tout de même considérés car il est presque impossible d’y trouver une vérité absolue.[/i] »
Le problème c’est alors de faire prendre « des vessies pour des lanternes » : faire croire au public que 40-60 % c’est un lien de cause à effet alors qu’il vaudrait mieux se rendre compte que si on atteint seulement un tel score, c’est qu’il y a MANIFESTEMENT des « variables contaminantes » comme on le dit en expérimentation (rigoureusement) scientifique (Variables qui ne font pas partie du plan de recherche mais qui peut exercer une forte influence sur les variables étudiées.)
Une bonne recherche doit autant que possible neutraliser l’effet nuisible de ces variables en utilisant des mesures ou des procédures de contrôle.
Dans le cas inverse, ce seront alors d’authentiques variables incontrôlées qui invalideront ipso facto les résultats des recherches qui en auront été entachés.
La recherche scientifique à laquelle vous vous référez ne tient dogmatiquement aucunement compte des immanquables incidences du psychisme et qui comptent parmi de telles variables contaminantes et superbement écartées par la recherche scientifique (dans sa partie matérialiste et rationaliste) : ce sont pourtant des facteurs INCONTOURNABLES :
« [i] [b]C’est la médecine tout entière qui doit s’ouvrir à la psychologie et devenir psychosomatique. Ou pour mieux dire, avec WEISS et ENGLISH : » Toute maladie relève à la fois de l’esprit et du corps et toute thérapeutique est, de ce fait, de la médecine psychosomatique. Lorsqu’on en sera dûment persuadé, le terme psychosomatique pourra disparaître, les données qu’il traduit étant désormais impliquées dans le terme médecine ». Mais pour cela il faut que tous les médecins et psychiatres soient authentiquement formés à la psychologie et aient renoncé au préjugé organiciste. [/b][/i]».
Marc-Alain Descamps (1992). Corps et psyché, p16.
Plus de détails sur : http://www.psychobiologie.eu
[quote]Le problème c’est alors de faire prendre « des vessies pour des lanternes » : faire croire au public que 40-60 % c’est un lien de cause à effet alors qu’il vaudrait mieux se rendre compte que si on atteint seulement un tel score, c’est qu’il y a MANIFESTEMENT des « variables contaminantes » comme on le dit en expérimentation[/quote]
pas manifestement non. Sur des milliers de cas ou plus 40-60 c’est très éloquent. De toute façon la médecine ayant obtenu de bons résultats depuis quelques siècles et opérant d’une façon très logique et rigoureusement scientifique la charge de la preuve est de votre côté. Il ne suffit pas de trouver quelques points faibles ou incertains de la médecine et crier au scandale. Ça revient à la même chose que les adeptes du créationnisme qui déclarent qu’il est impossible pour un oeil d’évoluer car il est trop complexe alors que les livres de biologie de base proposent un chemin possible pour l’atteindre agrémenté d’exemples dans la nature. En court la médecine au complet est renfermée et documentée, elle fonctionne. Vous devez donc prouver que votre méthode, votre vision des choses, permet de guérir des maladies. Accuser à qui mieux mieux la médecine de ne pas considérer le psyché est plutôt inutile. Plutôt prouvez que le psyché crée les maladies et l’accusation se fera d’elle-même.
@ Bredian avance : « [i]Je ferai remarquer ici que si vous n’êtes pas convaincu qu’un virus est dénaturé et donc ‘mort’ (un virus n’est pas vivant au départ mais la chaleur dénature les protéines de celui-ci et il lui est ensuite impossible de se reproduire) vous pourriez aussi bien croire qu’il ne contient pas de virus du tout ou qu’il contient quelques grammes de mercure. Il faut avoir confiance en les bases de la médecine pour en parler. Autrement attaquez la médecine elle-même.[/i]
S’il est vraiment « dénaturé », expliquez-moi alors que c’est parmi ceux qui sont vaccinés avec de tels « virus dénaturés », qu’on trouve le plus de grippés ensuite ! Je dispose de nombreux témoignages sur le terrain qui le prouve (exemple, deux infirmières travaillant dans des homes et qui m’ont fait savoir que c’est parmi les personnes âges vaccinées qu’on trouve ensuite le plus de grippés, certes d’autres grippes que celles dont ils auraient été initialement « protégés » par un vaccin – Cherchez donc l’erreur !
« [i][b]LE RISQUE DE MUTATION INDUITE, CAUSEE PAR LA VACCINATION [/b] [/i]»
« [i] Cela semble d’ailleurs corroboré par les récentes déclarations du médecin suédois, le Dr Annika Dahlgvist, qui estime comme plusieurs autres scientifiques qu’ « [b]il serait bien possible que les dégâts (causés par la vaccination) soient pire que la maladie elle-même[/b]»
Ce risque de mutation qui est en somme un effet secondaire grave de plus de cette vaccination tant à l’échelle individuelle que collective devrait également être signifié à tous les patients ET à tous les soignants.
Car, à l’heure actuelle, des campagnes basées sur ce principe discutable d’ « altruisme » en la matière continuent d’être menées au détriment d’une juste information équitable pour tous ! » [/i]
< http://www.initiativecitoyenne.be/article-la-vaccination-peut-causer-une-mutation-du-virus-et-le-rendre-ainsi-plus-mechant-pour-nous-tous–38541097.html >
@ Bredian qui dit : « [i]Le vivant reconnaît le vivant, les minéraux, les ondes électromagnétiques, les photons etc. La source principale d’énergie des plantes provient de la lumière et les photons ce n’est pas vivant. De même le sel de table n’est pas vivant, mais il a un effet significatif sur le corps humain qui est reconnu par celui-ci. Toucher à une pierre et en reconnaître sa texture n’est-ce pas le vivant qui reconnaît le non-vivant ? [/i] »
J’applaudis votre …. Futile tentative de « noyer le poisson » et pour faire admettre que le vivant c’est donc tout ce qui nous entoure et ce y compris, par exemple les produits chimiques (artificiellement produits).!
[quote]Je dispose de nombreux témoignages sur le terrain qui le prouve[/quote]
Anecdotes ne font pas preuves. J’ajouterai même que je crois que certains voient ce qu’ils veulent bien voir. De plus, le vaccin prend un certain temps à agir.
[quote]LE RISQUE DE MUTATION INDUITE, CAUSEE PAR LA VACCINATION[/quote]
Cela n’a jamais été prouvé. C’est juste une théorie lancée en l’air. De toute façon ne disiez vous pas que les microbes et les virus ne causent pas les maladies? Ce n’est pas clair là…
[quote]noyer le poisson[/quote]
Votre vocabulaire coloré me rends perplexe. Je ne suis pas Français vous savez…
[quote]J’applaudis votre …. Futile tentative de « noyer le poisson » et pour faire admettre que le vivant c’est donc tout ce qui nous entoure et ce y compris, par exemple les produits chimiques (artificiellement produits).! [/quote]
Ah! alors si tout est vivant évidemment on ne reconnaît que le vivant, c’est logique. Définition plutôt inutile du vivant alors si l’univers en entier l’est.
@ Bredian qui écrit : « [i]Je vois qu’en effet vous vous attaquez à la médecine elle-même… Je dois vous dire alors qu’il n’est pas très utile de parler de vaccin si vous croyez que l’épidémiologie, l’immunologie et je ne sais quoi d’autre sont des sciences fausses. Il me semble que c’est les immunologistes qui sont les plus scientifiques, pas les adeptes de la biologie totale. [/i]
1° par rapport à la « croyance » dont vous faite état et qu’il faudrait donc prendre comme « parole d’Evangile », soumise à votre réflexion (on peut rêver), ce que disait pertinemment feu le Pr Paul Feyerabend (Philosophie des Sciences, Berkeley) :
« [i][b]La Science [/i][/b][dans sa partie matérialiste et rationaliste][i][b]est la pire des institutions religieuses[/i][/b] » :
< http://www.retrouversonnord.be/Chimiotherapie.htm >
« [i]En général, les dogmes matérialistes n’ont pas été édifiés par des gens qui aimaient les dogmes, mais par des gens qui pensaient que rien de moins net ne leur permettrait de combattre les dogmes qu’ils n’aimaient pas. Ils étaient dans la situation de gens qui lèvent des armées pour défendre la paix. [/i] »
Bertrand Russell (« The Basic Writings of Bertrand Russell », p. 241 – Routledge, Londres, 1992).
«[i]Il faut comprendre que le rationalisme, en sa prétention scientifique, est particulièrement inapte à saisir, voire même à appréhender l’aspect touffu, imagé, symbolique de l’expérience vécue. [/i] »
Michel Maffesoli (« Eloge de la raison sensible ». Ed. La Table Ronde).
« [i]Ils [/i] [la majorité des scientifiques] [i]ont été formés à l’école du matérialisme. C’est un moule extrêmement rigide composé d’un ensemble de dogmes qui ne sont pas forcément expliqués scientifiquement !
Par exemple, affirmer que notre existence n’est qu’un assemblage biologique sans essayer de comprendre tout ce qui n’entre pas dans ce cadre – sous prétexte que ce n’est pas « scientifique » – est un dogme, pis, une superstition ! La science est pleine de superstitions, de croyances de toutes sortes… Le plus navrant, c’est que le public est persuadé que la science a réponse à tout. [/i] »
John ECCLES, Prix Nobel de Médecine pour la découverte des processus chimiques responsables de la propagation de l’influx nerveux (1963).
2° voilà la tarte à la crème manichéenne : le contrepoids (à dessein répulsif) de la référence à la Biologie-Totale (à laquelle je m’oppose d’ailleurs cf. < http://www.retrouversonnord.be/BTOuimais.htm >
[b]La grippe H1N1 endommage l’ensemble des voies respiratoires, de la trachée aux alvéoles pulmonaires, tout comme les virus qui ont causé les pandémies de grippe meurtrières de 1918 et 1957, selon une étude américaine publiée mardi.[/b]
Des scientifiques de l’Institut national de la santé (National Institutes of Health) et des responsables de la santé de la ville de New York ont étudié au microscope des tissus provenant de 34 personnes décédées des suites de la grippe H1N1.
Ils ont découvert « un éventail de lésions, aussi bien dans les voies respiratoires supérieures que dans les voies inférieures », a indiqué Jeffery Teubenberger, l’un des auteurs de l’étude parue dans l’édition en ligne de Archives of Pathology and laboratory Medicine.
« Ce type de pathologie des tissus respiratoires est similaire à ce qui avait été observé sur les victimes des pandémies de grippe de 1918 et de 1957 », a déclaré Jeffery Taubenberger, virologue à l’Institut national américain des allergies et des maladies infectieuses (NIAID).
Dans 9 cas sur 10, les victimes souffraient de problèmes de santé préalables, comme des maladies cardiaques et respiratoires ou une déficience du système immunitaire, ou bien étaient des femmes enceintes, ce qui avait déjà été observé lors de précédentes pandémies.
Mais l’étude met en évidence une nouvelle caractéristique affectant les trois-quarts des victimes: l’obésité. « L’obésité n’avait pas été identifiée lors des précédentes pandémies, et la nature du lien entre l’obésité et la grippe n’est pas claire », souligne M. Taubenberger. (belga/ca)
09/12/09 11h52
@ Bredian qui écrit : « [i]Je sais que les microbes existent, j’en ai vu. Pour le reste, j’ai vu des bactériophages en action au microscope électronique et des bactéries en englobant d’autres au microscope photonique. Je suis donc convaincu que les bactéries et les virus détruisent des cellules, nous détruisent donc. Je ne vois donc pas la logique de dire que celles-ci ne causent pas les maladies. Avez-vous des preuves scientifiques de cela ? [/i]»
Le problème est que votre conviction, c’est de la pure interprétation comme l’a fait Pasteur qui reconnaissait (enfin) : «[i]BECHAMP AVAIT RAISON, LE MICROBE N’EST RIEN, LE TERRAIN EST TOUT [/i]».
a-t-il durant les derniers jours de sa vie à son ami le Dr Renon.
Il aurait même ajouté : «[i]C’est Claude qui a raison[/i]», en parlant de Claude Bernard.
« [i]Malgré les travaux de Béchamp, la grande majorité des microbiologistes du début du 21ème siècle furent influencés par les travaux de Pasteur, et la doctrine du monomorphisme microbien est celle qui domine encore actuellement la pensée scientifique de la bactériologie moderne. [/i] »
Béchamp découvrit l’élément primordial de la cellule vivante, le « microzyma » (redécouvert actuellement sous le nom de NANOBE ou NANOBACTERIE) : celui-ci pouvait devenir bactérie ou virus d’où le polymorphisme bactérien.
(plus de détails sur < http://www.retrouversonnord.be/Revue_mai_2007_Institut_Paracelse.pdf >
Il dénonça l’erreur du monomorphisme de Pasteur qui entraînait la médecine vers la phobie du microbe et la négligence du terrain.
Considérez que le microbe n’est qu’une semence qui ne développera qu’au pro rata de ce que le terrain le lui permet !
« [i][b]Le microbe n’est pas plus responsable de la maladie « infectieuse » que la mouche du cadavre. [/b][/i] » (Dr Vétérinaire Eric Ancelet auteur de « Pour en finir avec Pasteur « )
Voir, pour mieux en comprendre les subtilités, le « match Pasteur / Béchamp. »
(voir < http://www.retrouversonnord.be/BacteriesDangereuses.htm#Match >)
@ Bredian qui me rétorque : « [i]Anecdotes ne font pas preuves. J’ajouterai même que je crois que certains voient ce qu’ils veulent bien voir. [/i] »
Ce ne sont pas des « anecdotes » comme vous vous le dénigrez.
L’observation empirique est scientifique, ne vous en déplaise ! :
Dr THOMAS-LAMOTTE (auteur de «Et si la maladie n’était pas un hasard») :
« [i]La recherche médicale conventionnelle ne considère que la matérialité du corps (un assemblage de molécules en perpétuel remaniement) qu’elle observe et qu’elle quantifie grâce à des techniques particulières. Mais [b]il est impossible d’étudier et de quantifier une cohorte de malades ou une série de cas – témoins quand il faut inclure le psychisme humain [/b]. La méthodologie est complètement différente. Au cas par cas, il faut écouter le malade pour qu’il confie « ce qu’il n’a jamais dit à personne.
[b]Cette étude empirique n’en n’est pas moins rigoureusement scientifique [/b]. Elle vérifie que la logique (le fondement de la science) est bien respectée : « Si A est vrai, B est faux ». « S’il y a un effet, il y a toujours sa cause, et s’il y a une cause, il y a toujours son effet ». Or actuellement, notre monde a perdu la raison. Nous achetons du gratuit, ce qui par définition ne se s’achète pas. Les scientifiques en sont venus à amalgamer facteur de risque de la maladie et cause de la maladie. Leur recherche échoue puisqu’ils n’ont plus une démarche scientifique. C’est bien ce constat d’échec que faisait Yves Agid. [/i] »
http://www.pansemiotique.com/e107_plugins/content/content.php?content.168
@ Bredian qui me rétorque : « [i]J’ajouterai même que je crois que certains voient ce qu’ils veulent bien voir. [/i] »
Vous ne croyez pas aussi bien dire concernant la science conventionnelle (matérialiste et rationaliste) qui est sujette à une telle distorsion ; c’est d’ailleurs une des raison qui expliqué pourquoi des études sur le même sujet donnent des résultats aussi dissemblables :
« [i]L’effet expérimentateur a été mis en évidence par Rosenthal dans le domaine de la psychologie. Il consiste en un biais affectant les résultats d’une expérimentation, ceux-ci validant les hypothèses internes, conscientes ou non, de l’expérimentateur.
(…)
Cet effet a pu être mis en évidence dans plusieurs disciplines scientifiques : en psychologie, en éducation, en [b]médecine[/b] et dans des expériences de pointe en sciences de la matière ([b]les grands chercheurs obtenant des effets importants que leurs successeurs peinent à reproduire[/b]). Méthodologiquement, une parade utilisée consiste dans ce qu’on appelle l’expérimentation en double ou même triple aveugle.[i] »
(Source Encyclopédie Wikipedia < http://fr.wikipedia.org/wiki/Effet_expérimentateur >)
@ Bredian, loin de votre dénigrement par rapport à ce qu’il faut considérer comme le « vivant, voici la réflexion du le Pr Jacqueline BOUSQUET (Docteur ès Science, Biologie, Biophysique, chercheur honoraire au C.N.R.S., chargée d’enseignement à la Faculté Privée des sciences Humaines de Paris Conférencière, Ecrivain) que je vous soumets, (en ne me faisant certes aucune illusion) :
« [i][b]LE VIVANT NE RECONNAIT QUE LE VIVANT[/i][/b] »
Par
« [i][Le vivant se nourrit de formes en les déformant (mastication des aliments), pour récupérer l’information qu’elles contiennent. Quelles informations y a-t-il : dans les farines issues de l’équarrissage ? dans les produits de synthèse utilisés à outrance dans les sols et l’alimentation animale et humaine ?
Ces derniers, à cause de leur stéréochimie, ne sont pas reconnus par le vivant. Les substances agissant à doses infimes — comme les vitamines ou les oligo-éléments — doivent être surdosées pour avoir un effet biologique. Mais à ces doses, ils sont toxiques !
C’est ainsi que l’analyse chimique d’un fruit provenant de l’agriculture intensive peut indiquer la présence d’une quantité de vitamine C à peu près équivalente à celle trouvée dans une pomme cultivée selon le cahier des charges de l’agriculture biologique. Mais elle ne tient pas compte de son activité biologique infime en intensif ni de la pollution de l’organisme et des sols par tous les traitements chimiques utilisés !
L’agriculture biologique est respectueuse de la physiologie de la terre et des animaux. Les végétaux, comme les animaux et les humains, récupèrent les informations provenant du catabolisme — qui précède l’anabolisme — les deux étant les termes opposés rendant compte du métabolisme. L’agriculture intensive et l’élevage industriel — qui n’utilisent que la chimie dont on sait qu’elle n’apporte aucune information compatible avec la vie — sont aussi responsables de l’affaiblissement du règne végétal, animal et humain (étant en bout de chaîne alimentaire) ! [/i] »
>>>
Suite et fin :
« [i][Les plantes — qui nourrissent le sol lors de leur décomposition dans la terre (humus, compost) — permettent aux suivantes de profiter de leur “ adaptation à l’environnement ”. Les hybrides (stériles) et autres produits issus de manipulations dues aux matérialistes ne permettent plus aux plantes de s’adapter. [b]On constate alors leur affaiblissement général et leur incapacité à résister aux prédateurs, aux maladies, aux émissions solaires) etc. La fuite en avant consiste à palier cette défaillance provoquées par l’homme par toujours plus de chimie, des OGM., etc. [/b]! [/i][«
« [i]Si nous prenons la nature pour guide, nous ne nous égarerons jamais. [/i]»
Cicéron
@ Bredian qui a les arguments qu’ils peut (et certes bien en phase avec la pensée dominante et lobbyisée >>> Big Pharma ) et qui me lance :
« [i]De toute façon ne disiez vous pas que les microbes et les virus ne causent pas les maladies? Ce n’est pas clair là… [/i]»
Je constate que vous n’avez pas bien lu ce que j’ai écrit plus haut et cela c’est, en revanche, très CLAIR !!! :
l’apport de virus par injection (acte antinaturel) constitue pour l’organisme une agression et s’en suit donc un phénomène de réaction ; lors de la résolution d’une situation conflictuelle dont la symbolique sera l’appareil respiratoire (cf. < http://www.retrouversonnord.be/grippe.htm >), les virus a disposition seront de ce fait articciellement plus nombreux ; l’organisme risque alors de s’épuiser et d’affaiblir dangereusement le sujet puisqu’il devra gérer davantage d’ « ouvriers saisonniers » qu’il n’a l’habitude de faire.
Comme je l’ai dit plus haut en d’autres termes, je ne vois aucun avantage d’encombrer mon propre « terrain » de constituants exogènes !
Voici comment le stigmatisait très pertinemment Sir Bernard Shaw le, il y a plus d’un demi-siècle et que j’adapte concernant l’acte antiscientifique que constitue la vaccination pour laquelle (faut-il le redire ?!) il n’y a aucune preuve scientifique de l’utilité :
«[i] [b]Les gens intelligents s’adaptent à la nature, les imb… cherchent à adapter la nature…C’est pourquoi ce que l’on appelle le progrès est l’œuvre des imb… [/i] [/b]»
@ Bredian qui me rétorque : « Sur des milliers de cas ou plus 40-60 c’est très éloquent. De toute façon la médecine ayant obtenu de bons résultats depuis quelques siècles et opérant d’une façon très logique et rigoureusement scientifique la charge de la preuve est de votre côté. Il ne suffit pas de trouver quelques points faibles ou incertains de la médecine et crier au scandale. »
« 40-60 » c’est ce que vous osez qualifier de « façon très logique et rigoureusement scientifique » dans le chef de la médecine !
Quant aux « bons résultats » de cette médecine-là (dogmatiquement rationaliste et matérialiste) et que vous avancez, sachez donc que :
« [i][b]La médecine conventionnelle ignore la cause de toute « maladie »[/i][/b] ».
«[i]Le 17 février 2001, au cours de l’émission Savoir plus santé, le Pr Yves Agid, chef de service de neurologie à la Pitié-Salpêtrière de Paris a reconnu qu’ « on ne connaît les causes d’aucune maladie » et le Pr Olivier Lyon-Caen, chef de service de neurologie dans le même hôpital, n’a pas hésité à dire, à propos de la sclérose en plaques : « Les symptômes sont la cause de la maladie » !
On ne saurait avouer plus clairement que la médecine conventionnelle prend les effets pour la cause et nous fait prendre des vessies pour des lanternes. [i]» Richard Sünder
( < http://www.pansemiotique.com/e107_plugins/content/content.php?content.132 >)
@ Bredian qui me rétorque « Vous devez donc prouver que votre méthode, votre vision des choses, permet de guérir des maladies. Accuser à qui mieux mieux la médecine de ne pas considérer le psyché est plutôt inutile. Plutôt prouvez que le psyché crée les maladies et l’accusation se fera d’elle-même. »
Le problème c’est que conformément au dogmatisme scientifique, vous n’accepterez que quelque chose soit prouvé qu’au travers d’un tel (déformant) prisme !
Rappel, cette citation du Dr Thomas-Lamotte :
«[i]La recherche médicale conventionnelle ne considère que la matérialité du corps (un assemblage de molécules en perpétuel remaniement) qu’elle observe et qu’elle quantifie grâce à des techniques particulières. Mais[b] il est impossible d’étudier et de quantifier une cohorte de malades ou une série de cas – témoins quand il faut inclure le psychisme humain[/b]. La méthodologie est complètement différente. Au cas par cas, il faut écouter le malade pour qu’il confie « ce qu’il n’a jamais dit à personne.
Cette étude empirique n’en n’est pas moins rigoureusement scientifique. Elle vérifie que la logique (le fondement de la science) est bien respectée : « Si A est vrai, B est faux ». « S’il y a un effet, il y a toujours sa cause, et s’il y a une cause, il y a toujours son effet ». Or actuellement, notre monde a perdu la raison. (…) Les scientifiques en sont venus à amalgamer facteur de risque de la maladie et cause de la maladie. Leur recherche échoue puisqu’ils n’ont plus une démarche scientifique. C’est bien ce constat d’échec que faisait Yves Agid. »
http://www.passeportsante.net/fr/Communaute/QuestionProteus/Fiche.aspx?doc=223
et conforme à ce qu’il dit ici aussi :
http://www.pansemiotique.com/e107_plugins/content/content.php?content.167
« [i]Il faut comprendre que le rationalisme, en sa prétention scientifique, est particulièrement inapte à saisir, voire même à appréhender l’aspect touffu, imagé, symbolique de l’expérience vécue.[i] »
Michel Maffesoli (« Eloge de la raison sensible » aux Ed. La Table Ronde)
@ Libertinus qui reproduit sans commentaire ( !!!) un texte de l’Agence Belga dont le titre est déjà une hérésie faite d’amalgame qui veut faire illusion :
«[i]La grippe H1N1 endommage l’ensemble des voies respiratoires, de la trachée aux alvéoles pulmonaires, tout comme les virus qui ont causé les pandémies de grippe meurtrières de 1918 et 1957, selon une étude américaine publiée mardi.[/i] »
Rendez-vous compte, Libertinus que vous vous faites le relais d’une information qui en somme veut faire croire que l’actuelle « pandémie » de grippe H1N1 est semblable à celles de 1918 et 1957 ?
Ne fut-ce que pour ce qui concerne le nombre de grippés et de morts, c’est grotesque !
Baudoin Labrique, sachez que je suis sur la même ligne qu’Eredian, j’ai lu plusieurs de vos commentaires et articles et je dois dire que je suis assez scandalisé par vos propos, ce n’est pas en tronquant les infos que je transmets que cette impression va changer….
Malheureusement je vais devoir quitter cette conversation. Vos arguments sont contre logique et c’est malheureux que vous ne vous en rendiez pas compte. Au travers des citations déclamant qu’être rationnel ne permet pas de trouver la vérité vous n’amenez pas de preuve pour votre vision de la vie (par la vie je veux dire le fonctionnement du vivant) donc cette conversation est inutile. De plus vous êtes plutôt désagréable dans la façon que vous avez d’attaquer constamment vos interlocuteurs et clamer qu’ils suivent entièrement dogmes et lobbys. De plus, vous n’écrivez pas correctement mon nom. Je crois que vous me trouvez désagréable aussi mais plus pour mes idées qu’autre chose. Enfin c’est à vous de voir. Je vais encore suivre le sujet mais je ne répondrai plus à vos commentaires. Je vais également lire sur cette médecine alternative, peut-être allez-vous lire sur la biologie en contrepartie. Évidemment je ne sais pas si vous avez une formation scientifique.
Eredian a dit : « [i]Malheureusement je vais devoir quitter cette conversation. Vos arguments sont contre logique et c’est malheureux que vous ne vous en rendiez pas compte. [/i] »
Affirmer n’est pas prouver : je constate que vous déclarez forfait et sans l’ombre d’une vraie argumentation sur le fond, attitude qui vous dédouane, selon votre point de vue, d’opposer des arguments consistants par rapport à ce que j’ai écrit. Le lecteur jugera !
Pire, ce qui est le propre de ceux qui n’ont pas d’arguments, vous en venez maintenant à des attaques personnelles (le fait que je serais désagréable, des procès d’intention, la question de la formation scientifique…). C’est certes courant en pareilles circonstances, je constate que faute de pouvoir argumenter sur le [b]FOND[/b], le stratagème utilisé est de ne s’en tenir qu’à la [b]FORME[/b] ! …
Pour votre info j’ai une formation scientifique universitaire mais d’avancer un tel « argument » comme pour le reste, c’est fallacieux : en logique, vous vous qui vous en réclamez pourtant, c’est un argument sophistique parce que « ad hominem ».
P.S. La mauvaise orthographe de votre nom n’est pas volontaire (il s’agit de l’effet erratique de la correction automatique : j’écris d’abord en Word pour parfaire l’orthographe – détail à présent corrigé).
Personnellement, je NE me ferais PAS vacciner contre cette grippe, et SURTOUT PAS au Pandemrix adjuvanté au squalène : cf. [url=http://www.revoltes.net/spip.php?article1711]rapports de pharmacovigilance du 3/12/2009 de l’Afsapps et de l’EMEA, comparés aux essais préliminaires[/url].
Pourquoi les tests de laboratoires d’analyses ne sont pas accessibles, en vente libre ? Ou au moins sur prescription médicale ? Après tout, on devrait avoir le droit de vérifier si on a déjà une immunité contre cette grippe avant de prendre un risque vaccinal ! Et ce, même si le risque est faible ! D’autant plus qu’[b]il n’est pas avéré que le risque de la grippe soit supérieur au risque vaccinal, cette année[/b], loin s’en faut !
ce virus N1N1 est de la souche de la grippe « espagnole »
qui a été produite en 1918 en chine par le docteur baxter,
dont le nom est bien connu dans le monde viral !
« La pandémie virale de 1918 a été la résultante directe de la vaccination contre la
typhoïde injectée à des millions de soldats au cours de la 1ère guerre mondiale.
Ce sont les laboratoires Rockfeller et des usines de Chine qui ont produit ces vaccins contre la typhoïde (= typhus abdominal) en 1916 après avoir récolté le pus de personnes infectées. Ces éléments infectieux ont été injectés à des porcs puis ont été mélangés à de l’albumine d’oeufs de poule en vue d’être finalement injectés sous forme de vaccins à des êtres humains. Rockfeller qui a toujours été un homme d’affaires astucieux a fourni aux deux camps (les allemands et les armées alliées) son cocktail vaccinal toxique et mortel. Immédiatement après les vaccinations, de très nombreux soldats tombèrent malades. Ils souffraient d’une maladie baptisée à l’époque : infection para-typhoïdique. Ils souffraient de nausées, de vomissements, de diarrhée et de pneumonies mortelles. La maladie s’est ensuite répandue dans le monde entier tuant pratiquement 50 millions d’innocents. (Source : The horrors of vaccinations – Higgins, 1921.) Ce n’est que plus tard que l’establishment médical a faussement baptisé « grippe espagnole » le virus recombinant mortel répandu par accident par le vaccin de Rockfeller de la grippe aviaire de 1918. »
ce virus a été actif jusqu’en 1957 !
donc une partie des personnes ayant vecu avant cette date sont immunisées.
Ila été réintroduit volontairement en 1978 à partir d’un corps d’esquimau
inoui resté dans la glace et mort de la grippe espagnole .
Il peut donc rester une trace d’immunisation chez certaine personnes agées.
« Dr Jeffery Taubenberger : ce médecin américain qui dirige l’Institut de pathologie des forces armées, à Washington, décrit dans deux articles publiés l’un par Science (daté du 7 octobre 2003), l’autre par Nature (daté du 6 octobre 2003), de quelle manière lui et ses deux équipes de biologistes moléculaires et de virologistes, sont parvenus à recréer en laboratoire le virus responsable de la pandémie de grippe dite « espagnole » et pourquoi ce virus hautement pathogène pour l’homme était vraisemblablement d’origine aviaire.Le Pentagone ressuscite le virus de la grippe espagnole : « Une équipe de l’Institut de pathologie de l’armée
américaine, dirigée par Jeffrey Taubenberger, est parvenue à recréer le virus de la grippe espagnole. L’équipe de Taubenberger cherchait depuis plus de 12 ans à reproduire ce virus, à partir de fragments d’ARN. Très virulent, il est responsable d’au moins 20 millions de morts en Europe entre 1918 et 1919. La publication de la
recette permettant de ramener à la vie le virus de la grippe espagnole dans les fameux Proceedings of the national academy of science (PNAS) a fait réagir de nombreux virologues. L’utilité de cette recherche et les dangers qu’elle représente sont durement critiqués. » http://www.transfert.net/Le-Pentagone-ressuscite-le-virus
http://educate-yourself.org/cn/ottswinefluweapoized1918spanishflu02jun09.shtml »