Elle a reçu une dose contenant des adjuvants, mais le lien de causalité n’a pas été établi…
Une femme enceinte a perdu son bébé deux jours après s’être fait vacciner contre la grippe A (H1N1), a indiqué ce jeudi l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps), chargée d’étudier la question.
Professionnelle de santé, la femme concernée était enceinte de 38 semaines, soit huit mois et demi. Elle a reçu une dose de vaccin avec adjuvant Pandemrix du laboratoire GlaxoSmithKline. L’effet de ces composants n’étant pas connus chez les femmes enceintes et les enfants, il est pourtant recommandé d’utiliser les vaccins n’en contenant pas.
«Le principe de précaution fonctionne à deux vitesses. Pourquoi cette femme a-t-elle été vacciné alors que les textes recommandent que l’on n’utilise pas de vaccin adjuvanté sur les femmes enceintes, s’interroge Patrick Pelloux (Amuf), joint par 20 Minutes. Le directeur de la Santé (Didier Houssin, ndlr) doit s’expliquer là dessus. Il est évident qu’il y a des pressions dans les hôpitaux pour inciter les personnels de santé à se faire vacciner.»
«De fortes contractions»
Du côté de l’Afssaps, on rappelle que «rien n’empêche une femme enceinte de se faire vacciner avec un vaccin adjuvanté. C’est d’ailleurs le cas par exemple en Suède, note Fabienne Bartoli, adjointe au directeur général de l’Affsaps. On applique un principe de précaution mais le médecin pouvait décider si, au vu des risques, il était préférable de vacciner sans attendre qu’un vaccin sans adjuvant soit disponible.»
Dans un premier temps, la patiente a présenté «des symptômes post-vaccinaux classiques», explique de son côté Jean Marimbert, directeur général de l’Afssaps. «Deux jours après la vaccination, elle a eu de fortes contractions» et les médecins se sont aperçu que le coeur du foetus ne battait plus, détaille-t-il.
Jean Marimbert a indiqué qu’il y avait chaque année plus de 3.000 morts in utero avec de nombreuses causes possibles comme hypertension artérielle, infection ou diabète et que 30 % des cas restaient inexpliqués. Mais, si aucune «donnée ne permet à l’heure actuelle de relier la vaccination à l’avortement», des examens complémentaires sont en cours.
Professionnelle de santé, la femme concernée était enceinte de 38 semaines, soit huit mois et demi. Elle a reçu une dose de vaccin avec adjuvant Pandemrix du laboratoire GlaxoSmithKline. L’effet de ces composants n’étant pas connus chez les femmes enceintes et les enfants, il est pourtant recommandé d’utiliser les vaccins n’en contenant pas.
«Le principe de précaution fonctionne à deux vitesses. Pourquoi cette femme a-t-elle été vacciné alors que les textes recommandent que l’on n’utilise pas de vaccin adjuvanté sur les femmes enceintes, s’interroge Patrick Pelloux (Amuf), joint par 20 Minutes. Le directeur de la Santé (Didier Houssin, ndlr) doit s’expliquer là dessus. Il est évident qu’il y a des pressions dans les hôpitaux pour inciter les personnels de santé à se faire vacciner.»
«De fortes contractions»
Du côté de l’Afssaps, on rappelle que «rien n’empêche une femme enceinte de se faire vacciner avec un vaccin adjuvanté. C’est d’ailleurs le cas par exemple en Suède, note Fabienne Bartoli, adjointe au directeur général de l’Affsaps. On applique un principe de précaution mais le médecin pouvait décider si, au vu des risques, il était préférable de vacciner sans attendre qu’un vaccin sans adjuvant soit disponible.»
Dans un premier temps, la patiente a présenté «des symptômes post-vaccinaux classiques», explique de son côté Jean Marimbert, directeur général de l’Afssaps. «Deux jours après la vaccination, elle a eu de fortes contractions» et les médecins se sont aperçu que le coeur du foetus ne battait plus, détaille-t-il.
Jean Marimbert a indiqué qu’il y avait chaque année plus de 3.000 morts in utero avec de nombreuses causes possibles comme hypertension artérielle, infection ou diabète et que 30 % des cas restaient inexpliqués. Mais, si aucune «donnée ne permet à l’heure actuelle de relier la vaccination à l’avortement», des examens complémentaires sont en cours.
Ce qu’on oublie de dire c’est qu’une grande partie de tout ce cirque médiatique autour de la vaccination est avant tout politico-économique. 94 millions de vaccins pour un peu plus de 63 millions de personnes sur le territoire français,est-ce logique? Plus d’un milliard d’euros pour un vaccin, alors que les hôpitaux souffrent d’un manque de personnel et de matériel. La « chère » grippe saisonnière, aussi meutrière que la grippe H1N1, n’a pas mérité autant d’énérgie, alors qu’elle a la même ou presque mortalité et morbidité, que l’absentéisme chaque année cause de grandes pertes économiques; pourtant le vaccin n’est pas (sauf excepetion) pris en charge par la sécu. Au départ réservé aux personnes à risque, ensuir gratuité pour les personnes à risque, et maintenant gratuité pour tout le monde, mais tout même après séléction des sujets prioritaires (alors qu’on ne cesse de dire que ce virus aime bien les jeunes sains).
A écouter la minisitre dans sa dernière intervention télévisée sur la pandémie, à voir ses traits alarmés, on se croirait à deux minutes de l’apocalypse.
Les français ne sont pas dupes, et il est scandaleux de prendre tout le monde pour de vrais C. (idiots).