Tout le monde pensait que le conte avait bel et bien disparu. Seulement voilà, il revient au galop dans les théâtres, les festivals, les salles des fêtes et sur les étagères des libraires.

Les conteurs sont de plus en plus nombreux à faire le tour de France pour raconter de belles histoires. Et, force est de constater que le public est au rendez-vous…

 

Il existe même une Maison du Conte et un village du Conte.

Bruno de la Salle, lui, est un grand collectionneur de contes populaires. Il a réinventé les veillées antiques en ajoutant une mise en scène et une musique pour décorer les textes.

Mais, plus surprenant encore avec le jeune vendéen Yannick Jaulin de Pougue-Gérisson. Il a réussit son pari : moderniser le conte en le mélangeant avec de la musique rock et des intermèdes chantées.

Sans oublier, bien-sûr, Jean-Pierre Chabrol qu’on aimerait bien revoir à la télévision…

 

Côté librairie, les livres de contes se bousculent dans les rayons. Anciens ou modernes, ils continuent de faire rêver des milliers d’enfants… Et d’adultes !

 

Citons, par exemple, les contes de Perrault, de Grimm et les belles histoires. Des incontournables dans la littérature contée.

De "Cendrillon" à "Peau d’âne" en passant par "Le petit Chaperon rouge" et "Le petit poucet", les contes traditionnels traversent le temps pour le plus grand plaisir des petits lecteurs et lectrices. Des enfants toujours assoiffés d’histoires merveilleuses et de légendes…

 

Laissez-vous bercer avec :

 "Les plus belles histoires du soir", un collectif paru en 2009 chez Fleurus. 

 "Le conte chaud et doux des chaudoudoux" de Claude Steiner.

 "Adèle la sauterelle" de Antoon Krings.

 

Mais les contes plus récents ne sont pas en reste au vue des dernières statistiques. Concernant les nouveautés, je vous recommande personnellement :

 "Les Contes du griot" de Kama Kamanda. 2005. Editions Magnard.

Et, si vous le souhaitez, mon livre :

 "Le pacte des sauterelles" de Philippe Rouply. 2012. Editions Delizon.

 

Les fêtes de fin d’année approche à grands pas. Et si vous déposiez un conte sous le sapin ?

Bonne lecture.