Cet été fut sans conteste celui du chapeau: canotier, Panama, mais surtout le trilby, star du showbizsness et des gens de la rue, incontournable pour être « fashion ».
Si jusque dans les années 1950 le chapeau était indispensable pour les gens bien élevés, car révélant leur appartenance à un véritable rang social, pour les hommes comme les femmes, il a été au fil des années abandonné au profit des cheveux longs, des foulards, du bonnet ou de la casquette.
Mais depuis une saison ou deux, voici que le chapeau revient sur le devant de la scène, d’abord dans le milieu des stars, chanteurs ou acteurs, avec en tête de liste le chanteur Charlie Winston et son trilby, et cet été les chapeaux en paille type Panama, stetson ou canotier sont revenus en force, faisant le bonheur des chapeliers, ou des boutiques de mode avec des petits prix. La star indémodable reste le trilby, en paille ou en tissu et même en cuir, avec un petit bord qui fait tout son charme, et son succès sera certainement reconduit cet hiver.
Le chapeau permet de terminer une tenue avec classe, il se porte aussi bien avec un costume qu’avec un jean ou une mini-jupe, et son petit prix permet d’accorder différents coloris pour en changer tous les jours, de quoi détrôner la casquette et le bonnet même chez les plus jeunes. Cette mode concerne tous les âges, et les quadras en sont ravis, car commençaient à ne plus avoir l’âge de porter la casquette! Les premiers prix se trouvent sur les marchés ou dans les enseignes de grandes chaines de vêtements, type Zara ou H&M, parfait pour les ados ou les adultes, un accessoire aussi indispensable que les lunettes de soleil, le sac à main ou la besace. Tous à nos chapeaux!