« Si tu reviens, j'annule tout », 6 petits mots qui ont fait le tour de la planète et qui ont provoqué le débat en France. Ce pseudo SMS envoyé par Nicolas Sarkozy a t-il existé ? A t-on le droit de fouiner dans l'intimité du Président pour exhiber ce genre de messages intimes, quand bien même ils seraient vrais ? La France s'est coupée en deux, d'un côté ceux qui utilisaient ce SMS contre le Président, de l'autre les "scandalisés" par les méthodes qu'utilisent Airy Routier du Nouvel Observateur. En trois peut-être, n'oublions pas ceux qui n'en avaient strictement rien à faire…

Après que l'ex Cécilia Sarkozy ait démenti l'existence de ce fameux SMS, le pauvre Airy Routier s'est retrouvé bien ennuyé et a sous-entendu qu'il était toujours sûr de son information mais n'irait pas plus loin pour ne pas s'attirer d'ennuis. Sage décision, pour sûr !

Le Monde affirme que Maitre Thierry Herzog a fait parvenir au Parquet de Paris un courrier indiquant : "Nicolas Sarkozy me charge de vous indiquer qu'il n'entend plus maintenir sa plainte". Un retrait qui fait suite à une lettre d'excuses reçue par Carla Bruni, l'épouse de Nicolas Sarkozy. "Désormais, l'affaire du SMS est close, mon mari vient de retirer sa plainte contre le Nouvel Observateur après la lettre d'excuse qu'Airy Routier m'a adressée", déclarait déjà la chanteuse dans le Monde.

Un choix qui devrait également mettre un terme et clore définitivement cet épisode politico-personnel, d'autant qu'il est fort peu probable que le Parquet demande l'expertise du téléphone personnel de Cécilia. Le rideau se baisse donc, jusqu'au prochain scandale…