Dans la satire des mœurs de l’humanité ou plus précisément dans la construction de son idéal, la femme passe par vocation pour le genre le plus vulnérable. Il va donc sans dire qu’il faut la protéger et surtout la préserver. La nature en premier s’est chargée pour combler le mal de la menaupose et donc de l’arrêt de la procréation par un effectif de femmes plus important que celui des hommes sur la terre. La nature avant tout est Dieu, et Dieu est artiste. Il maîtrise tout et surpasse tout. Cette discrimination divine qui lèse ainsi l’homme ne saurait alors souffrir de critique puisqu’elle vient de Dieu. Mais lorsque les humain s’y mettent, dans la protection de la femme, la catastrophe est telle que les violations de toutes sortent s’en trouvent permises. Cependant, je vais m’attarder sur les violences faites aux hommes car pour les femmes, on en a trop parlé ; ce qui du reste est une violence faite aux hommes mâles. Toutes les lois universelles tendent à protéger les femmes au détriment parfois des hommes.

Par exemple, quand dans un couple en difficulté, une personne doit partir de la maison, c’est monsieur qui est sommé de plier bagage. Pourquoi ? Et s’il n’a nul part où aller ? Ça on s’en fou du moment que c’est un homme. Une femme crie- t-elle au viol qu’on l’a croit sur parole sans même chercher à vérifier. Un homme en fait autant, on le regarde avec méfiance. Et même si c’est vrai, on fini par dire que dans tous les cas, il a pris son pied. Un mariage est-il forcé ou arrangé ; c’est la femme qui la victime. Ça ne peut être autrement. Et pourtant, le jeune et frêle garçon offert par ses parents a tout aussi ses droits bafoués que sa nouvelle femme. Au Congo récemment, les femmes ont marché pour avoir la parité homme- femme dans le travail. C’est bien, mais ce qu’on oublie c’est que sur la même proportion d’individus pris chez les deux sexes, il y a au moins deux fois plus d’hommes instruits que de femmes. A qui la faute ? A l’homme certainement. C’est une violence qui lui est faite. Et chaque jour, le pauvre en subi des tonnes au grand mépris de la société qui fonctionne sur le principe de la préservation du sexe le plus vulnérable.