C’est un fait, le viol continue d’exister de nos jours. Il est à se demander si les mesures et les pénitences contre ce crime sont efficaces. La réponse n’a pas besoin d’être exprimée, car elle se dévoile instinctivement. Le fait même de parler de ce sujet nous prouve que ce crime est encore trop populaire. Selon un monde parfait, on devrait déjà en parler au passé, en fait il ne devrait plus être présent. Beaucoup trop de gens encore subissent des agressions sexuelles et restent dans le silence face à cette peur qui les envahit.

De plus, un fait surprenant révèle que le viol, aux États-Unis, est l’un des crimes les moins punis. Une femme sur six est agressée sexuellement et la moitié d’entre elles sont âgées de moins de 18 ans. Le plus inadmissible c’est que 5 % des violeurs sont reconnus coupables et seulement 3 % vont en prison, ce qui représente que « quinze violeurs sur seize restent libres » (propos de l’association Rape) Ces données désastreuses n’aident aucunement à la divulgation de ce qu’elles ont subi. La crainte de voir courir leur agresseur est trop grande. Il faut changer cette iniquité.  La justice est où?

Finalement, il est déplorable de voir que la violence sexuelle peut être aussi active. C’est voler l’identité et la puberté de la femme. Certaines personnes se permettront même de catégoriser les victimes, ce qui est inacceptable. On devrait leur offrir un meilleur soutien, car elles ont été la proie d’un individu plus fort et, peu importe qui nous sommes, nous aurions pu être sa victime. La solution pour régler cet injuste est difficilement trouvable,  mais je tends à croire que le seul le fait d’exprimer son opinion aura pour effet de soulever le questionnement de la sécurité qu’a à offrir la société.

Que pouvons- nous faire en tant que citoyen face à ce crime qui résiste?

Inspiré de l’article « Le viol, l’un des crimes les moins punis aux États-Unis » publié dans cyberpresse.