Le soleil, de douces températures, les arbres en fleurs et les oiseaux qui chantent. L’image classique marquant le retour du Printemps ? Oui mais pas tout à fait.

Le Printemps, cette saison des amours, cette étiquette qui lui colle à la peau.

Le Printemps, l’occasion des sorties, des marches, agréablement enveloppé d’une douce chaleur. La fin du froid.

Le Printemps du cinéma, actuellement, bientôt la période des festivals, la photothérapie qui touche à son terme.

 

Le soleil a des bienfaits sur la santé et le moral. Bien sûr, il ne faut pas en abuser. Se faire bronzer sur la plage contribue à la production d’endorphine b, ce qui procure une sensation de bien-être.

L’endorphine agit sur les neurones sensoriels et crée un sentiment d’euphorie pouvant être proche de celui de la drogue, si ce n’est que les endorphines sont bonnes pour la santé. Il en résulte une sensation de calme, de sérénité, une réduction du stress, une action antalgique, et des sentiments amoureux.

 

Le soleil permet à notre corps de synthétiser de la vitamine D grâce aux ultra-violets.

En effet, une carence en vitamine D a été décelée chez les habitants de pays peu ensoleillés.

La vitamine donne des os plus solides et diminue le risque de fractures (notamment des hanches et des vertèbres chez la personne âgée). Elle atténue la faiblesse physique, les douleurs musculaires, et la fatigue.

La vitamine D diminuerait les risques cardiovasculaires, l’hypertension artérielle, le diabète et l’obésité. De plus, chez les personnes de peau blanche, les risques de sclérose en plaques seraient amoindris avec une dose adéquate de vitamine D.

 

Le soleil permet l’augmentation de la température du corps et accélère, de façon provisoire, les mouvements respiratoires. Il favorise l’assimilation du calcium et du phosphore par notre organisme. Il augmente le nombre de globules rouges et blancs, et excite le système nerveux.

L’exposition au soleil favorise la cicatrisation des plaies, notamment dites traînantes.

Pour finir, le soleil est aussi conseillé dans les cas d’ulcères variqueux, de furoncles, d’anthrax, de fractures, d’ostéomyélite, ou dans le cadre d’une convalescence des maladies infectieuses.