Le "nerf de la pudeur" a manifestement sauté chez Valérie Trierweiler comme en témoigne son acte de vengeance ironiquement intitulé " Merci pour ce moment ! Une "oeuvre littéraire" au titre trompeur pour enfin engranger ce capital sympathie qui lui aurait tant manqué au cours de son séjour à l’Elysée, tout en assénant au passage l’ultime coup de massue au président. 

Faisant l’impasse sur les secrets d’Etat, Valérie T ne s’interdit toutefois rien laissant s’ouvrir  la boîte de Pandore, de manière éhontée. Dans l’un des extraits qui défraient la chronique, elle nous fait la faveur de lever enfin le mystère sur ses faits et gestes consécutifs à la révélation choc de Closer autour de l’amour clandestin du chef de l’Etat : il y aurait eu entre eux une longue et essouflante course poursuite  de la salle de bain à la chambre ; sans pour autant avoir démérité, le président n’a pas du tout réussi au terme de ce fastidieux clash d’empêcher  le geste désespéré de Valérie T , laquelle a défailli après avoir avalé quelques pilules. 

La tweeteuse éconduite nous livre ailleurs son peu ragoûtant panier de crabes où c’est le cas de le dire "les merdes volent en escadrille"’ ! : "ça te prend beaucoup de temps pour te faire belle? On te demande rien d’autre" ! Le charme des blagounettes de celui que, transie d’admiration, elle qualifiait jadis "d’agréable, de facile à vivre", n’opère manifeste plus à ses yeux. Pire, elle trouve le moyen de transformer son arme de séduction en arme de destruction massive dans l’unique but de le livrer en pâture à tous les Français, avec ou sans dents, à l’heure où sa cote de popularité est comateuse. Sans épargner quelques proches dont Julie Gayet en racontant que "l’inconséquent"  lui aurait joué un autre " si tu reviens, j’annule tout" aux relents peu romantiques ! 

Valérie T qui ne se gêne pas de faire aux autres ce qui l’incommode à elle au plus haut point s’imagine faire pleurnicher dans les chaumières via des déboires sentimentaux déclinés sous sa propre version. Il ne faut savoir lire dans la boule de cristal comme Madame Irma pour deviner que l’ex  Première dame n’a pas fait le bon choix pour se redorer le blason en nous la jouant à la Lady Die, du temps de ses vingt et quelques années. 

Elle a fait là preuve d’une pitoyable forme de cynisme, soi-disant par amour de la vérité et par détestation du mensonge,  pilier de la politique ! Décidément, le moins qu’on puisse dire c’est qu’il ne doit pas être "jojo" le livre de Valérie Massoneau, celle qui ne voulait être femme potiche, tant la retenue, l’élégance morale semblent  y être bafoués. L’homme n’est ni ange ni bête et le malheur veut que qui veut faire l’ange fait la bête…