L’égalité entre tous est un objectif pas toujours facile à atteindre. Souvent en raison de race différente, de religion différente, d’âge différent ou de niveau social différent, certains se croient supérieurs à d’autres. Mais, une différence qui ne devrait pas être l’objet d’inégalité est le sexe d’une personne. Les hommes et les femmes sont des personnes identiques sauf exception de leur sexe. Ils peuvent avoir les mêmes désirs, aspirations, compétences, intelligence, habileté sans pourtant être considérés égaux. En effet, plusieurs personnes pensent que les hommes sont supérieurs aux femmes même encore au 21e siècle. Dans ce texte, nous allons voir la situation des femmes en Arabie Saoudite, au Pakistan, en Inde et ici au Québec et mon opinion sur le sujet.

Premièrement, l’un des pires endroits où vivre lorsqu’on est une femme est sans aucun doute l’Arabie Saoudite. Ce pays est l’un des pires en ce qui attrait aux droits des femmes. Dans ce pays, il existe une patrouille spéciale pour vérifier si les femmes sont biens habillés selon des règles strictes et ils peuvent même faire des vérifications de sa virginité. Certaines peuvent même être condamnées pour des crimes qu’elles n’ont pas commis, mais elles ne peuvent se défendre dans un pays où la discrimination des femmes est encouragée. Les femmes saoudiennes sont supposées avoir les mêmes droits que les hommes, mais il en est tout autrement. Une femme ne peut pas sortir du pays ou se faire soigner sans l’autorisation de son mari ou d’un autre homme dans sa famille. C’est ce qu’on appelle être prisonnière des décisions de son époux. Un exemple du moment est cette jeune femme canadienne, Nathalie Morin, qui a rencontré un saoudien à Montréal en 2002. Elle est tombée en amour et à quelques mois plus tard, elle portait son enfant. Mais, ce dernier devait rentrer dans son pays, l’Arabie Saoudite, en raison de problème avec l’immigration. Nathalie lui a rendu visite à quelques reprises entre 2002 et 2005 jusqu’à son dernier voyage, où son mari lui a dit qu’elle ne quitterait plus le pays. Cette dernière ne peut rien faire contre l’autorité de son partenaire en Arabie Saoudite. Donc, elle est enfermée dans cet endroit. Sa mère veut que le gouvernement du Canada agisse, mais il ne se passe rien. Dans ce pays, elle n’a plus de droit et elle est soumise à leurs règles. Ceci est un exemple véridique de la piètre qualité de vie et du manque de liberté que peuvent avoir les femmes en Arabie Saoudite. Donc, dans ce pays, on est loin de l’égalité des sexes.

Deuxièmement, un autre endroit où c’est difficile d’être une fille est le Pakistan. Dans cette place, la femme n’existe même pas en tant que personne. Dès que la puberté arrive, elles doivent se cacher derrière un voile et elles ne peuvent sortir de chez elles sans raison valable. Dans ce pays, les hommes de la famille peuvent tuer leur fille si elle désobéit simplement pour sauver l’honneur de la famille. Le gouvernement ne punit pas ce genre de meurtre qui coûte la vie à plusieurs femmes. Là-bas, l’honneur est plus important que la vie d’une femme. Dans des cas extrême qui arrivent dans ce pays, une femme peut être obligée de garder le silence de sa naissance à sa mort. Elles ne peuvent pas être quelqu’un ou juste faire preuve de raisonnement. Les hommes ne leur permettent pas de penser. Donc, à cet endroit, les femmes ne sont rien et meurent pour un rien.

Troisièmement, en Inde, donner naissance à une fille est une malédiction. Dès la naissance, on ne veut pas de cette fille et c’est pour cette raison que les foeticides et les infanticides sont choses courantes dans ce pays. On préfère avoir des garçons, car ils coûtent moins chère. Dès l’âge de six ans, des filles sont envoyées faire les trottoirs pour ramasser de l’argent. Dès 10 ans, la famille recherche activement un mari pour marier la jeune fille et là elle subira certainement des mauvais traitements comme le viol par son mari, qui ne sera jamais punit. Il arrive souvent que le mari et sa famille assassine la femme quand la dot commence à être vide. Donc, il pourra se trouver une autre femme. Sinon, à la mort du mari, la femme devenue veuve subira la lapidation jusqu’à la mort ou elle sera tuée d’une autre manière. Le gouvernement ne fait rie pour que tout continue à se passer dans la tradition. Donc, les femmes paient le prix.

Quatrièmement, ici, au Québec, la situation est beaucoup moins catastrophique que dans les places vues précédemment. Les femmes ont le droit d’être une personne à part entière, de penser, d’agir et tout cela sans se cacher. Les femmes ont tous les droits que les hommes possèdent. Même si il reste des hommes qui pensent que l’homme est supérieur à la femme, ce genre de réflexion est de plus en plus rare et personne ne fait attention à ce genre de propos. Les femmes peuvent exercer n’importe quel métier et peu dire ce qu’elles pensent sans se faire tuer. Malgré cela, il reste des failles. Les cas de violences conjugales sont encore nombreux. Les hommes exercent la violence tant physique que verbale sur leur femme encore en 2009. Mais, les femmes peuvent se protéger contre ce type de situation car le système juridique est fait pour que tous les gens soient protégés, qu’on soit un homme ou une femme. Notre gouvernement n’est pas non plus contre l’égalité des sexes. Vous ne verrez jamais notre premier ministre discriminer une femme en raison de son sexe et faire des propos sexiste. Les femmes sont maintenant devenues égales aux hommes ici au Québec. Malgré la violence conjugale, notre pays est un leader en matière d’égalité des sexes.

Finalement, je pense que les gouvernements de tous les pays occidentaux où les droits des femmes sont respectés convenablement devraient agir pour que l’égalité entre tous soit chose commune pour tous les habitants de la terre. Qu’on soit au Canada ou en Arabie Saoudite, les femmes sont identiques et elles méritent d’être traitées comme les hommes. Je pense que c’est possible, mais que se sera long avant d’atteindre cet objectif, mais il faut faire avancer ces droits pour que la violence contre les femmes ne soit plus tolérée. Il est maintenant tant d’agir avant qu’il ne soit trop tard et qu’encore des milliers de femmes meurent pour en raison de leurs sexes.

En conclusion, il faut se compter chanceux de ne pas vivre dans des pays où être une femme est un fléau et où la violence contre les femmes est choses trop souvent présentes. Ici, nous, les femmes, avons le droit de faire ce que l’on veut et il faut se lever pour que toutes les femmes de ce monde puissent avoir les mêmes libertés. C’est à nous d’agir pour que la situation ne devienne pas pire que ce qu’elle est maintenant. Mais, la question est de savoir quels gestes pouvons nous faire pour que l’égalité des sexes soit présente partout sans pour autant causer malheur aux femmes qui n’ont pas la chance de pouvoir penser et d’agir seule. Pour plus de renseignement concernant la situtaion des femmes à travers le monde, vistez le www.fraternet.com/femmes/