La république populaire de Chine de Mao Zedong, suite 3,

la révolution culturelle bouleverse la Chine.

 

La grande révolution culturelle Chinoise est une période qui commence en 1966 et s’achève à la mort de Mao Zedong. Comme suite aux conséquences désastreuses du Grand Bond en Avant, deux clans s’affrontent au sein de comité central du parti. D’un coté les partisans d’une rigueur doctrinale autour de Mao Zedong, du maréchal Lin Biao et de Chen Boda, et de l’autre autour du président de la république Liu Shaoqi le maire de Pékin, Pen Zhen, et les partisans d’une ligne plus modéré et moins dogmatique. En 1958 Mao Zedong avait été remplacé au poste de président de la république à la suite de la décision du Comité national populaire qui élu Liu Shaoqi comme successeur de Mao Zedong, mais qui est resté à la tête du parti communiste Chinois. Mao fut peu à peu éloigné de la gestion des affaires économiques du pays qui fut confiée à une élite plus modérée, essentiellement dirigée par Liu Shaoqi, Deng Xiaoping et quelques autres.

En 1966, Mao décida de lancer la révolution culturelle qui lui permit de revenir au pouvoir en s’appuyant sur la jeunesse du pays. Le dirigeant souhaitait purger le PCC de ses éléments «révisionnistes» et limiter les pouvoirs de la bureaucratie. Les fameux «gardes rouges», groupes de jeunes Chinois inspirés par les principes du «Petit Livre rouge» devinrent le bras actif de cette révolution culturelle. Ils remirent en cause toute hiérarchie, notamment la hiérarchie du PCC alors en poste. Les intellectuels furent, de même que les cadres du Parti, publiquement humiliés, les mandarins et les élites bafouées, les valeurs culturelles chinoises traditionnelles et certaines valeurs occidentales dénoncées au nom de la lutte contre les «quatre vieilleries». Le volet culturel de cette révolution a tenu en particulier à éradiquer les valeurs traditionnelles. C’est ainsi que des milliers de sculptures et de temples, bouddhistes pour la plupart furent détruits.

 

Le Petit Livre Rouge version Française.

 

250px-maobadge1.1259173356.jpgLe badge à l’effigie de Mao Zedong.

C’est le livre des citations de Mao Zedong que l’on appelle en Français le Petit Livre Rouge, est publié en 1964 dont la distribution est organisée par Lin Biao, le ministre de la défense et le chef de l’Armée Populaire de Libération (APL). C’est un recueil de citations extraites d’anciens discours et écrits de Mao Zedong. L’appellation Le Petit Livre Rouge découle de son édition en format de poche, mais ce nom n’est jamais utilisé en Chine.

Le nombre d’exemplaires imprimés est très élevé, du temps de Mao, tout citoyen chinois devait en effet le posséder, le lire et l’avoir constamment sur lui. Le Petit Livre Rouge est le livre le plus vendu au monde après la Bible, avec des ventes estimées à 900 millions d’exemplaires. Pendant la Révolution culturelle dont il devient l’un des symboles, l’étude du livre est obligatoire dans les écoles de l’enseignement primaire au supérieur, et sur le lieu de travail.

Toutes les organisations, industrielles, commerciales, agricoles, administratives, militaires organisaient des sessions de formation en groupes de tout le personnel pour étudier le livre pendant les heures de travail. Les citations de Mao étaient imprimées en gras et en rouge, et presque toutes les publications écrites, y compris les ouvrages scientifiques, devaient citer Mao. La compréhension et l’assimilation de la «pensée Mao Zedong» étaient censées améliorer de façon irréversible l’entrain au travail, et ainsi compenser largement au niveau de la production le temps passé à cette étude.

Pendant les années 1960, le Petit Livre Rouge est le symbole graphique le plus visible en Chine, plus omniprésent encore que les portraits de Mao lui-même. Sur les images, les affiches, les panneaux réalisés par les artistes chargés de la propagande, presque chaque personnage, à l’exception de Mao, apparait souriant, animé d’une détermination sans faille, et tenant à la main le Petit Livre Rouge. Les citations de Mao sont classées en trente-trois chapitres. Les thèmes sont abordés sous un angle idéologique marqué par le communisme mais pour la vertu. Dans l’une des nombreuses métaphores du livre, Mao compare les pensées incorrectes aux maladies, et le parti communiste à un chirurgien. Le membre de la secte «fautif» est donc un pervers déviationniste qui doit être rééduqué.

 

C’est le livre du culte de la personnalité de Mao Zedong.

À l’automne 1965 débute une campagne de presse visant à critiquer les milieux littéraires, intellectuels et universitaires. Le 10 novembre 1965 paraît un article de Yao Wenyuan dans le Wenhuibao de Shanghai qui dénonce la pièce de théâtre «La Destitution de Hai Rui», écrite par Wu Han, le vice-maire de Pékin. La circulaire du 16 mai 1966 dénonce tous les «révisionnistes» présents dans la culture, la politique et l’armée du pays.

Le 29 mai 1966, la première organisation de gardes rouges vit le jour au sein de l’Université Tsinghua. Les garde rouges étaient des jeunes, pour la plupart des collégiens, et étudiants organisés en factions et dont le but était d’appliquer la révolution culturelle, si besoin par la contrainte. Celle-ci avait pour objectif l’élimination des intellectuels et des ennemis politiques de Mao. Cependant, les gardes rouges se divisèrent rapidement selon leur degré de radicalité et s’opposèrent même de façon violente. Les gardes rouges furent rejoints par les exclus du Parti, les ouvriers précaires et quelques cadres opportunistes.

Le 8 août 1966, le comité central du Parti Communiste Chinois émit un projet de loi concernant les «décisions sur la grande révolution culturelle prolétarienne». Celui-ci, appelé aussi «Décision en seize points», déclarait que le gouvernement Chinois était désormais en faveur d’une purge au sein du parti communiste et parmi les intellectuels. La révolution culturelle visait les traditions et le passé Chinois.

«La grande révolution culturelle prolétarienne vise à liquider l’idéologie bourgeoise, à implanter l’idéologie prolétarienne, à transformer l’homme dans ce qu’il a de plus profond, à réaliser sa révolution idéologique, à extirper les racines du révisionnisme, à consolider et à développer le système socialiste. Nous devons abattre les responsables du Parti engagés dans la voie capitaliste. Nous devons abattre les sommités académiques réactionnaires de la bourgeoisie et tous les «monarchistes» bourgeois. Nous devons nous opposer à tous les actes de répression contre la révolution. Nous devons liquider tous les génies malfaisants. Nous devons extirper énergiquement la pensée, la culture, les mœurs et coutumes anciennes de toutes les classes exploiteuses. Nous devons réformer toutes les parties de la superstructure qui ne correspondent pas à la base économique du socialisme. Nous devons purger la terre de toute la vermine et balayer tous les obstacles !»

Le 16 août, des millions de gardes rouges venant des quatre coins du pays se rassemblèrent à Pékin. Du haut de Tian’anmen, Mao et Lin Biao firent de fréquentes apparitions pour se faire acclamer par environ 11 millions de gardes rouges. Le 18 août Mao attise la rébellion par ses discours, «on a toujours raison de se révolter» et «nous ne voulons pas la gentillesse, nous voulons la guerre». Un autre grand rassemblement eut lieu sur la place Tian’anmen le 25 novembre 1966.

 

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 Manifestation d’étudiants sur la place Tian’anmen lors de la révolution culturelle en 1966.

 

Pendant trois ans, jusqu’en 1969, les gardes rouges étendirent leur influence et accélérèrent leurs efforts en vue de «la reconstruction socialiste». Ils débutèrent leur action en distribuant des prospectus qui expliquaient leur objectif de développement et de renforcement du socialisme et en affichant publiquement des noms de prétendus contre-révolutionnaires. Les gardes rouges instaurèrent progressivement un climat de terreur, perquisitionnant au hasard les maisons pour trouver des preuves compromettantes de «déviance». Les foyers étaient alors vandalisés, 150 000 logements furent confisqués rien qu’à Shanghai. Ils organisaient des grandes réunions et écrivaient des pièces de théâtre destinées à édifier le peuple. Ils s’en prenaient aux monuments et aux lieux de culte, plusieurs temples bouddhistes furent détruits ou endommagés.

Les gardes rouges faisaient faire leur auto-critique en public aux personnes soupçonnées d’idées contre-révolutionnaires, auto-critique qui serait ensuite retenue comme élément à charge lors de leur procès. La plupart des Chinois qui furent jugés contre-révolutionnaires furent exécutés en public à titre d’exemple ou exilés dans des camps de travail où les morts par mauvais traitement étaient légion. Plusieurs intellectuels se suicident, Lao She, Fu Lei, d’autres sont assassinés, Teng To. Au total, la «Terreur rouge» fit 1700 morts à Pékin. En parallèle, les professeurs et les intellectuels sont envoyés dans les campagnes pour être «rééduqués» par le travail manuel. Une fraction très importante de la jeunesse urbaine subira le même sort durant les dix années suivantes, les zhiqings.

La révolution fait peu à peu glisser le pays dans le chaos et la guerre civile, dont l’apogée est l’été 1967. Les exactions des gardes rouges, leurs divisions idéologiques, les rapports de classe expliquent le tournant de la révolution culturelle qui devient confuse. Elle s’étend géographiquement et socialement, surtout lorsque le 9 décembre 1966, Mao Zedong appelle les ouvriers à prendre une part active aux événements.

Le 15 décembre 1966, il incite les villages à faire de même. Le 28 janvier 1967, le dirigeant donne à l’armée un rôle important dans la révolution culturelle et la charge de protéger les usines et de secourir les «vrais révolutionnaires». Elle doit également établir des comités révolutionnaires.

Pendant l’hiver 1966-1967, Shanghaï connaît des troubles politiques et sociaux. A la fin décembre 1966, la municipalité est renversée. Les plus importantes grèves de l’histoire de la ville paralysent la vie économique. Les rebelles désirent mettre en place un système semblable à la Commune de Paris. Dans les premiers mois de l’année 1967, les gardes rouges et les rebelles se procurent des armes à feu, la production industrielle baisse et l’administration est désorganisée. Le 22 juillet 1967, Jiang Qing demanda aux gardes rouges de prendre la place de l’Armée Populaire de Libération. Les gardes rouges commencèrent à voler et à piller les casernes et autres bâtiments militaires. Cette révolte continua jusqu’à l’automne 1968. En août 1967, l’ambassade du Royaume-Uni est incendiée à Pékin. Les intérêts occidentaux sont visés. L’armée intervient contre les rebelles et les étudiants les affrontements se poursuivent dans le sud du pays. Wei Guoqing utilise des bombes au napalm pour réduire les rebelles à Wuzhou. Des milliers de prisonniers sont exécutés par l’armée, les milices du PCC. Pendant l’hiver 1968-1969, vingt millions de jeunes sont déplacés de force, mouvement des jeunes instruits Xiafang, et les gardes rouges disparaissent.

Entre 1968 et 1976, un million de Shanghaïens sont ruralisés de force. Les meneurs radicaux sont exécutés publiquement en avril 1968. Le 9e Congrès du PCC réuni le 24 avril 1969 entérine la purge et la réorganisation du Parti.

En 1968 Mao Zedong et Lin Biao décident d’en finir avec les excès de la révolution culturelle, Liu Shaopi est exclu de la présidence. La Chine est désormais placée sous le signe de l’ordre, et voit l’armée prendre une place prépondérante au sein du comité central.

Le conflit sino-soviétique qui se déroule sur la frontière de Sibérie opposant les armées des deux pays en combats sporadiques mais violents, renforce encore le rôle des militaires.

La rupture sino-soviétique est une période de dégradation puis de fortes tensions entre l’Union soviétique à la République populaire de Chine de la fin des années 1950 aux années 1980, et dont le paroxysme est marqué par les incidents frontaliers de 1969. La rupture eut pour conséquence une scission au sein du mouvement communiste international, bien que les désaccords aient en réalité moins porté sur des éléments de doctrine que sur les intérêts nationaux divergents des deux États.

Fidèle à Mao, Lin Biao joue un rôle majeur lors de la révolution culturelle. Servant dans l’APL, dépourvu de vie personnelle, il est entièrement dévoué à la cause du Parti. Orphelin, il considère le Parti comme sa famille. Sa bonté d’âme en fait un exemple pour tous. Alors que Mao annonce la fin du mouvement fin 68, tous ses opposants sont éliminés. Lin a alors la faveur de Mao, et il en est désigné successeur lors du IXe Congrès du Parti Communiste Chinois, en avril 1969.

Cependant, trois factions s’opposent. Il y a celle de Lin Biao et Chen Boda, celle des pragmatiques, très affaiblis par la révolution culturelle, emmenés par Zhou Enlai, et celle de la femme de Mao, Jiang Qing, et sa Bande des Quatre. La bande des quatre est un groupe de dirigeants qui furent arrêtés et démis de leur fonction en 1976 peu de temps après la mort de Mao Zedong. Mao, pour conserver toute son influence, utilise cette division et apporte alternativement son soutien à ces factions. Mais celle de Lin Biao et de Chen Boda va progressivement indisposer Mao. D’abord, Lin, qui a le soutien de l’Armée rouge, freine la mise en place de comités provinciaux qui doivent remplacer les comités révolutionnaires présidés par des militaires de l’Armée rouge. Lin s’oppose aussi à la réconciliation de la Chine avec les États-Unis. En effet, alors que les tensions sont vives entre l’URSS et la Chine, Mao invite le président Nixon à Pékin le 10 juillet 1971, contre toute attente.

 

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La politique d’ouverture fut menée par le rapprochement Américano-chinois, la visite du président Nixon reçu par Zhou Enlai en 1972. 

 

Lin s’était opposé en vain à cette visite. Pour écarter Lin du pouvoir, Mao va utiliser la maladresse de Chen Boda. En août 1970, au cours du Comité central de Luscha, Chen propose le rétablissement d’un poste de président de la République. Depuis que Liu Shaoqi a été contraint de le quitter en 1968, ce poste est resté vacant. Mais Mao n’en veut pas. C’est donc Lin qui l’aurait occupé. Peu à peu, tous les proches de Lin sont écartés.

Plus que tous ses exploits militaires, c’est son élimination spectaculaire en 1971 qui le rend le plus célèbre. Lin est accusé de comploter contre Mao. Pour quelles raisons ? Le mystère reste entier. Selon la thèse officielle du gouvernement Chinois, Lin Biao et son fils Lin Liguo avaient prévu d’assassiner Mao entre le 8 et 10 septembre 1971. C’est la fille de Lin elle-même, Lin Liheng qui aurait dénoncé le complot. Elle fut étranglée par sa mère Ye Qun.

Lin prend la fuite avec sa famille et ses fidèles vers l’URSS. Poursuivis jusqu’à l’aéroport, ils embarquent à bord d’un avion. À court de carburant, celui-ci s’écrase le 13 septembre en Mongolie. Il n’y a aucun survivant. Longtemps considéré comme un traître, Lin Biao a enfin été réhabilité lors du 80e anniversaire de l’Armée Populaire de Libération en 2007. Son portrait a été accroché aux côtés de ceux de neuf autres maréchaux fondateurs des forces Chinoises au musée militaire de Pékin.

La Chine est admise aux Nations-Unies et Taïwan perd son siège à cette Assemblée. La politique extérieure est marquée par le remplacement progressif des miltaires par des civils aux fonctions dirigeantes. La tendance centriste autour de Zhou Enlai gagne et adopte une politique d’ouverture vers l’étranger. Deng Xiaoping effectue sa rentrée politique.

 

200px-dengxiaoping.1259266735.jpgDeng Xiaoping en 1979.

Deng Xiaoping a été le secrétaire général du Parti Communiste Chinois, de 1956 à 1967 et plus tard le dirigeant de facto de la République populaire de Chine de 1978 à 1992. Bien que retiré ensuite des affaires, il demeura un référent pour le régime jusqu’à son décès. Deng Xiaoping étudia ensuite en France dans les années 1920 où il tomba sous l’influence du marxisme. Il rejoint le Parti Communiste Chinois en 1923. Deng Xiaoping est généralement considéré comme étant à l’origine du développement économique de la Chine actuelle.

Après sa disgrâce lors de la révolution culturelle ou, il a subit des humiliations publiques. Son fils est à cette époque défenestré par les gardes rouges et restera paralysé. Pour sa «rééducation», Deng est envoyé dans la province rurale du Jiangxi, pour y travailler comme ouvrier. Il consacre ses temps libres à l’écriture. Si Deng est purgé du PCC, les épreuves qu’il subit ne sont pas du même ordre que le sort qu’on réserve à Liu Shaoqi ou Peng Dehuai. Arrêtés, ils meurent en prison.

Lorsque Deng reprendra le pouvoir, ils seront réhabilités. Il se rapproche à nouveau du pouvoir au début des années 1970. En effet, après l’élimination de Lin Biao en 1971, les progressistes, emmenés par le populaire Zhou Enlai, reprennent la situation en main. Deng réapparaît en public à Pékin en 1973. Le Xe Congrès du Parti, en août, le rétablit au Comité central. Zhou qui a un cancer, délègue progressivement ses pouvoirs à Deng. En janvier 75, Deng devient secrétaire permanent du Bureau politique, vice-président du Parti et vice-Premier Ministre, et chef d’état major de l’Armée Populaire de Libération. Mais en 1976, Zhou Enlai meurt. La «Bande des Quatre» lance alors de sévères critiques contre le défunt. Mais à l’occasion de la fête des Morts, des manifestations violentes éclatent place Tian’anmen en soutien à Zhou. On fait porter la responsabilité de ces manifestations à Deng Xiaoping, qui se réfugie alors dans le Guangdong.

Destitué de ses fonctions, Hua Guofeng Ministre de la sécurité publique et vice-premier ministre en 1975, est choisi par Mao Zedong pour lui succéder à la tête du Parti Communiste Chinois. Il devient Premier ministre en avril 1976 à la suite de Zhou Enlai. A la mort de Mao en septembre de la même année, il devient Président du parti. Il a été le principal artisan de l’arrestation de la Bande des Quatre en octobre 1976, qui menaçait son pouvoir après la mort de Mao Zedong le 09 septembre 1976.

La suite sera l’après Mao, subtile évolution.

2 réflexions sur « La république populaire de Chine de Mao Zedong, suite 3, »

  1. Bonjour, j’aimerais savoir quels sont les 3 courants de pensées au sein du parti communiste chinois.

    Merci beaucoup

  2. [b]Byanca[/b] bonjour,

    Ce n’est pas une question simple, la Chine est un patchwork de pensée, mais j’ai réussi à trouver des documents récents.

    Voici un document [url]http://www.ceri-sciencespo.com/archive/2010/avril/dossier/art_ef.pdf[/url]

    Voici un autre document [url]http://french.beijingreview.com.cn/XVII/txt/2007-10/22/content_82116.htm[/url]

    Et puis un document intéressant « La controverse chinoise à propos des« valeurs universelles » : une remise en cause de La politique
    de réformes et d’ouverture ? [url]http://www.institut-gouvernance.org/docs/chro2010-lacontroverse-chinoise.pdf[/url]

    A partir de ces documents vous pouvez affiner votre recherche

    Bien à vous,

    Anido

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