La porte du Miroir s’est ouverte sur un monde étrange que nous semblons pourtant très bien connaitre. Nous sommes le 1102–20-22 et avons «émergé », en plein centre de « siraP, la capitale de la « ecnarF ». Les rues et les monuments nous sont familiers, si ce n’est, les véhicules qui ont adopté la conduite à gauche et les autochtones qui parlent un drôle de langage, tout en « verlan ». La vie, dans ce monde semble tranquille et la population détendue déambule dans les rues, la mine réjouie. Le week-end de travail hebdomadaire a laissé place à une semaine de loisir.
Nous descendons la grande avenue des « seésylE spmahC » et observons ce monde sans dessus dessous où les gens, déambulent calmement, sans aucun stress, nous croisons un homme en kilt et à gros ventre qui pousse, devant lui, un landau d’enfant. Dans ce quartier populaire et cosmopolite, tout semble marcher au ralenti. Nous arrivons devant le «s’teuquoF», ce petit restaurant typique fournit à une clientèle hétéroclite, des petits plats exotiques forts appétissants.
Un « ixat » nous conduit, gratuitement de rue en rue, jusqu’au quartier très chic de « ellagiP ». Ce lieu incontournable reçoit dans un luxe presque indécent, tout le « gratin » politique et industriel de ce monde paisible, sans arme, sans police et sans prison, où la pauvreté n’existe pas et ou les guerres ne sont d’aucunes utilité.
Dans ce monde sans aucune maladie, et où tout le monde trouve sa place l’assurance maladie n’existe pas et les agences pour l’emploi, refusent les offres d’embauche des employeurs, en surnombre.