La mode touche beaucoup de personnes mais nous devons mentionner les "victimes" de ce phénomène: l’anorexie touche femmes et jeunes filles, mais surtout dans le domaine des défilés de mode. Plusieurs questions se posent lors:
Comment peut-on donner comme modèle des femmes toujours plus minces, plus transparentes et combattre réellement l’anorexie ? Comment peut-on faire défiler des jeunes filles de 14 ans et faire croire que leurs corps est le corps féminin idéal ? Comment peut-on les ériger en icônes de mode?
Les adolescentes franchissent un pas énorme en devenant des femmes: Après la puberté, l’envie de plaire, d’être comme les "filles de la télé" gouverne leurs pensées. Mais les images que les médias leurs transmettent peuvent les induire en erreur.
En effet, beaucoup d’entre elles veulent incarner une beauté artificielle et jeune, selon des modèles médiatiques. Mais nous négligeons ainsi les risques que cela implique: beaucoup de jeunes femmes, voulant etre des stéréotypes de la mode, durent se forcer a suivre des directives qui leur coutèrent la mort. L’anorexie touche beaucoup de jeunes filles qui connaissent des complexes et qui ne sont pas satisfaites par leur apparence.
Car adolescence rime avec interrogations: l’enfant a besoin de se sentir aimé de toutes les formes par les autres.
Nous pouvons donc évoquer des moyens et astuces pour qu’une fille se sente bien dans son corps et qu’elle puisse vaincre les soucis d’un poids embarassant, de maniere naturelle:
– pratiquer une activité sportive régulière, ou se dépenser en marchant souvent a vitesse constante et rapide,
– boire beaucoup d’eau pour éliminer les graisses et purifier sa peau,
– apprendre a s’aimer, se faire plaisir avec des soins ou maquillages naturels, mais ne cachant pas notre vrai visage (n’oublions pas que le plus beau maquillage est celui qui ne se voit pas!),
– ne pas se laiser influencer par les autres. pour se construire on ne doit que se référer a soi meme et pas a des clichés récurrents.
Et enfin, retenons ceci:
" La beauté sans la grâce attire, mais elle ne sait pas retenir ; c’est un appât sans hameçon. "
Maxime Planude