La mer berceuse de nos peines et de nos pensées!!!
Bienfaisante pour nos baignades d’été!!
Meutrière à ces heures perdues!!!
Bien quelle soit à deux facettes, la mer reste à mes yeux, une belle et mystérieuse étendue!!!
Le poème qui va suivre aété écrit le 20 septembre 1999, aie, aïe, aïe, ça remonte à loin tout ça!!!
Je me suis inspirée d’une chanson de Renaud , celle oùil nous dit " c’est pas l’homme qui prend la mer, c’est la mer qui prend l’homme, tin tint tin!!!"
J’ai toujours été impressionnée par la mer et son incessant va et vient. Elle est imprévisible et étonnante, on se sent noyé dès qu’on la regarde et à la fois apaisé par la musique de ses vagues!!!
J’adore la mer, bénéfique pour nos corps stressés par le travail, son odeur ouvrant en grand nos poumons qui accueillent avec bienvenue ce nouvel air !!!
Voilà ce que cette grande étendue bleue m’inspire:
Elle nous laisse parcourir son sillage,
Mais toutefois si les hommes vont trop loin,
Elle emporte avec elle tous ces marins.
Au travers de son incessant va et vient,
Elle nous appelle par son chant,
Comme une mère à son enfant,
Jusqu’à ce que ses bras se referment comme un lien.
La mer est une mère nourricière,
Mais à cette condition, prend la vie de quelques pêcheurs,
Laissant femmes sans maris et enfants sans pères,
Elle reste donc voleuse de Bonheur.
MONTI Elise