Toujours de l’écrivain Américain G.H.LEONARD qui croit dure comme fer que la lune est habitée pourquoi pas ? Mais les preuves ! Faudrait y séjourner plusieurs jours voir plusieurs semaines pour visiter les régions lunaire, mais ça ! Un jour peut être ?
L’écrivain américain George H. Leonard, qui soutient que des ovnis se trouvent sur notre Lune, prétend en avoir repéré. A l’intérieur d’un cratère marqué de mystérieux glyphes en forme de lettres d’alphabets anciens ou actuels il en a localisé une demi-douzaine, posées sur le sol lunaire.
Bien entendu, ces ovnis ne sont pas reconnus par la N.A.S.A. !
Ces ovnis sont de forme ovale, avec une surface de 45 à 60 m2. L’un d’eux, au centre du cratère, « touchait un autre objet brillant ayant la forme d’une ampoule électrique. On peut avancer avec une bonne dose de certitude que l’objet ovale est, d’une certaine manière, « mis en service » par l’autre objet.
Apparemment, d’autres ovnis attendent leur tour, comme des voitures à une station-service. Chaque ovale porte une marque en forme d’Y, semblable à l’ancien Z sémite, ou à l’arbre de vie. En retournant les barres de la lettre Y, on obtient une forme semblable à la marque aperçue sur le fameux ovni observé par un policier dans l’État du Nouveau-Mexique, aux États-Unis.
Les affirmations de Leonard sur des « excavatrices» utilisées par les extra-terrestres sont encore plus étonnantes. Les plus communes sont les « formes en X ». Ces machines sont constituées de deux tubes croisés, formant un X. La plus importante mesure 5 km de largeur. Leonard a découvert des formes en X sur des crêtes et les bords de, certains cratères, ainsi qu’au fond d’autres cratères. Elles semblent avoir pour fonction de casser et de mettre en morceaux les roches sous-jacentes, en les battant avec des masses enchaînées à l’extrémité de leurs supports. D’autres formes en X rejettent les débris et la poussière en les « vaporisant ».
Leonard a discerné, sur une photographie, une équipe de formes en X en train de détruire systématiquement une montagne haute de 5800 m, tandis que d’autres creusaient des cratères d’une profondeur de 6 km. Dans le dernier cas, chaque machine était marquée d’une grande croix blanche. Celle-ci dit aux observateurs et voyageurs de l’espace il y a ici une forme en X au travail.
Selon Leonard, il y a bien d’autres excavatrices. Il a aperçu deux super-anneaux, ressemblant à des pelles mécaniques humaines, mais mesurant plusieurs kilomètres de largeur. Leonard est convaincu que les astronautes ont nécessairement vu ces machines … Mais, intentionnellement, ils ont tenu secrète leur découverte, les désignant par des noms de code, comme Annbell et Barbara.
Un autre écrivain est persuadé que la N.A.S.A. dissimule bien des informations c’est Don Wilson, auteur de Lune, notre mystérieux vaisseau spatial (Our Mysterious Spaceship Moon). Lui aussi a remarqué d’étranges structures sur la Lune. Mais sa propre hypothèse, se fondant sur les découvertes des missions Apollo, offre des perspectives encore plus inouïes Wilson est persuadé que la Lune est partiellement creuse. En réalité, elle serait un vaisseau spatial venu des gouffres lointains de l’Univers, conduit par un équipage d’extra-terrestres vers le système solaire.
Wilson revendique pour sa théorie une source respectable : deux savants, Mikhail Vasin et Alexander Shcherbakov de l’Académie des sciences soviétique. Et ils citent leur article La Lune est-elle une création de l’intelligence ? Paru pour la première fois en juillet 1970 dans le magazine Sputnik. Parmi les objections portant sur chacune des théories conventionnelles sur l’origine de la Lune, Vasin et Shcherbakov proposent leur thèse. Selon eux, elle aurait été placée là par des extra-terrestres, dont elle était le navire spatial. La surface visible serait seulement une peau externe, la véritable surface se trouvant à 80 km de profondeur sous celle-ci. Les extra-terrestres se seraient réservé un espace vital de 50 km et auraient construit une «peau » externe, continue, épaisse de 30 km, qui leur servirait d’écran contre les météorites. Cette carapace très dure serait recouverte d’une couche de rembourrage souple de quelques kilomètres d’épaisseur.
Wilson affirme que sa théorie élucide un bon nombre de mystères posés par la Lune. Les cratères sont peu profonds, en comparaison de leur superficie : dans l’hypothèse d’un vaisseau spatial, les météorites heurtant la Lune étaient incapables de pénétrer la carapace dure. Ils ont simplement traversé la couche souple et peu épaisse, créant ainsi des trous d’une grande superficie mais peu profonds. Les plaines de lave lisse sont un matériau ressemblant à du ciment, pompé vers le dehors par les extra-terrestres afin de « replâtrer » les brèches produites par de tels impacts. Selon les savants soviétiques, la Lune a une densité plus faible que la Terre parce qu’elle est partiellement creuse. Wilson admet ces interprétations dans leur ensemble et ajoute sa propre interprétation de certaines des « surprises » révélées par les missions Apollo. Notamment, les différences entre l’âge des roches lunaires et celui des roches terrestres, et entre les rochers et le sol lunaire sur lequel ils se trouvent. L’écrivain conclut que la Lune est plus vieille que la terre et qu’elle a « ramassé des roches plus jeunes» en traversant « différentes zones temporelles du cosmos ».
Sa composition chimique n’est pas la même que celle de la Terre Wilson suggère que les couches de surface proviennent en fait de l’intérieur de l’astre, lorsque les extraterrestres ont creusé la région située sous la carapace extérieure de protection pour en faire leur espace vital.
Mais la Lune est-elle toujours habitée ? Pour répondre à cette question, Wilson a repris les idées, vieilles de 70 ans, d’un ingénieur autrichien, Hans Horbiger (un des « savants » préférés de Hitler), lequel pensait que la Terre avait eu plus d’une lune et que notre Lune actuelle était apparue il y a seulement 13500 ans. L’écrivain émet alors l’hypothèse selon laquelle les extra-terrestres auraient pu arriver à bord de leur vaisseau spatial et que, celui-ci étant endommagé, ils auraient transformé la précédente lune en un nouvel engin, sur lequel ils seraient repartis en nous laissant une épave … qui nous sert de lune ! Cependant, il ne signale pas que cela fait apparaître un nouveau problème, à savoir l’origine de la lune précédente.
Wilson est persuadé que ces extra-terrestres ont visité la Terre tandis qu’ils étaient dans notre voisinage et que ce sont eux qui, dans les montagnes des Andes, ont construit la cité à présent abandonnée de Tiahuanaco un nom traduit par lui comme « la cité du satellite condamné. Mais il n’a pas vu les machines en X de Leonard, les super-installations ou les lettres ressemblant à des glyphes. Par contre, il a aperçu des « flèches », des « blocs» et des « dômes ». Il se fonde davantage sur les commentaires faits par les astronautes des missions Apollo, interprétant tout écart de l’anglais directement compréhensible comme un code convenu d’avance, destiné à ne pas divulguer certaines informations. Même si l’on admet les doutes formulés par Wilson à l’encontre de l’honnêteté de la N.A.S.A., il ne nous explique cependant pas ce qu’ils ont vu.
Les astronomes sont convaincus que notre Lune est un monde mort, depuis longtemps inactif dans un sens géologique, et un satellite qui n’a jamais abrité aucune vie. Malgré tout, pour quelques penseurs non conventionnels, l’astre argenté qui éclaire nos nuits est un monde beaucoup plus effrayant. Ils voient la Lune comme la demeure d’extraterrestres puissants et inconnus, se trouvant tout près de nous … sur le pas de notre porte. Que répond la science ?
Je pense que beaucoup écrivent des livres uniquement pour se faire de l’argent. Mais la lune nous réserve surement encore un bon paquet de surprises.
Bonjour Lucien.
Cyrano de Bergerac, les Sélénites…
Je n’ai pas pu résister à placer le final De Cyrano de Bergerac, ou Gérard Depardieu étale son immense talent:
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