Depuis bien des décennies, notre société prône la parité. Les femmes n’avaient pas les mêmes droits que les hommes, ne pouvaient pas voter, ni travailler…Elles dépendaient de leur mari. Alors, on a révolutionné la condition de la femme dans notre pays. Elle a pu voter, avorter, travailler. Aujourd’hui où en est-on dans cette parité ? Aujourd’hui, les femmes travaillent, sortent, se marient, ont des enfants, mais ont conservé leurs rôles d’antan. Travail, 35h par semaine, puis elles rentrent chez elles, s’occupent de leur homme, de leurs enfants, de leur maison. Les courses, les lessives, le ménage, la cuisine, le repassage, les femmes ne sont pas aux 35h… Le travail leur permet l’indépendance, et c’est une sacrée liberté. Alors, je tire mon chapeau à ceux qui ont permis cet essor. Non pas que les hommes soient des fainéants… mais ils ont le beau rôle en ce XXIème siècle, il faut bien l’avouer. N’est-ce pas messieurs ? Et si justement la situation des hommes était difficile à vivre? Se sentent-ils dévalorisés par la "parité"? Certains hommes, consciencieux, assurent la parité du quotidien, et veillent à l’équilibre des tâches ménagères, et au bien-être de leur femme. Certains se sont mis au repassage, d’autres mêmes ont choisi d’être homme au foyer. Mais ils restent rares. Je m’interroge. Les femmes tiendront-elles le coup face à la montagne de responsabilité qui pèse sur leurs épaules au quotidien ? Quelles conséquences sur leur vie, et leur santé ? Ah oui, j’oubliais…non pas que l’alcoolisme et le tabagisme aient été réservés à l’homme dans le passé, mais la parité s’équilibre en notre époque, concernant la consommation de ces deux produits. Sauf que les femmes sont plus fragiles face à l’alcool, et que l’association tabac pilule est une horreur pour leur santé. Stress au travail, fatigue du cumul des tâches professionnelles et personnelles, tabac-pilule, alcool…Je me demande, si la durée de vie des femmes continuera encore longtemps d’être supérieure (aussi peu soit-elle) à celle des hommes. Alors mesdames, ménagez-vous…tant que possible !
Lorsque j’étais jeune, il y a longtemps, j’ai toujours eu la conviction que les femmes aimaient leur foyer. Je situe ma réflexion dans les zones rurales, la vie des villes nous échappait quelque peu à l’époque.
Je me souviens de ces [b]femmes au foyer[/b] qui « jetaient » leurs maris ou tout autre personne masculine hors de la maison lorsqu’elles y étaient affairées en disant « vire tes galoches, t’as rien à faire ici, retourne à tes occupations et fiche moi la paix! » Bien souvent le « mâle » se retrouvait au bistro jusqu’à, parfois’ sa femme ne vienne le rechercher!
Non ce n’est pas de vieux clichés, c’est ce qui se passait réellement.
Ces femmes au foyer mettaient un point d’honneur à tenir leur maison et à élever leurs enfants. Elles considéraient que c’était leur rôle. Je veux dire par là que les choses se faisait naturellement c’est à dire comme la Nature l’avait dicté.
Leur chemin avait toujours été tracé ainsi et lors des mariages où maire et curé ne manquaient pas de le leur rappeler.
Puis une fronde s’est abattue sur notre pays en [b]Avril et Mai 68[/b], où nous avons pu assister à une « révolution » au sein de laquelle des femmes criaient haut et fort leur [b]droit à la Liberté[/b]. [b]Légitime[/b], mais vers [b]quelle liberté[/b] se dirigeaient-elles?
Ludo
sur 30 juillet 2009 à 9 h 52 min
Suite…
Dans nos campagne les femmes (au foyer)de mon entourage ne comprenaient pas et disaient que c’était bien des idées de parisiennes. « Elles ne feraient que de bien pauvres mères » disaient-elles. Comme quoi l’idée de mère au foyer était bien encrée chez ces femmes.
la [b]société de consommation[/b] avançait à grands pas et il fallait de plus en plus d’argent pour s’acheter des appareils ménagers [b] »pour aider la ménagère »[/b] qui allait maintenant travailler à l’extérieur, LA voiture pour montrer son [b]statut social[/b], la radio FM, le Teppaz et tout le toutim!
Aujourd’hui, j’ai l’impression qu’un « EQUILIBRE » de vie est rompu et qu’il est très difficile d’en trouver un nouveau.
L’autre jour une jeune femme (33 ans) m’a dit: » J’aimerai bien rester à la maison pour m’en occuper et être près de mes filles. Si seulement nous étions reconnues » (elle parlait finance et retraite) puis elle m’a affirmé que bon nombre de ses copines aimeraient en faire autant si leur époux gagnait mieux leur vie, car ce serait mieux pour les enfants.
Voilà une belle prise de conscience, mais en attendant il est vrai qu’il est nécessaire qu’elles soient bien aidées à la maison par les hommes.
Mais ça commence quand même à évoluer d’après ce que j’observe y compris chez moi!
Cordialement
Ludo
Gosseyn
sur 30 juillet 2009 à 13 h 59 min
Vote super pour vous et votre bel article, [b]lulu [/b]!
Pour revenir à ce que dit Ludo, même si une chose m’a fait tiquer, je suis entièrement d’accord avec lui ! Il y a un mot pour résumer ce que dit mr Bon Sens (lol) : l’individualisme.
Après, sans faire le procès de mai 68 (que je n’ai pas vécu), il faut rappeler qu’il y a de bonnes choses et des mauvaises dans tout, et que tout n’est pas à jeter. Je comprends la position des réacs, mais je ne les rejoints pas.
Cependant, l’émancipation de la femme, j’entends par là sa sortie du foyer, a entraîné bien des changements. Ils ne sont bons ou mauvais qu’à la façon dont on y répond.
Alors oui, la femme et l’homme sont différent biologiquement, et ses différences font que chaque sexe doit trouver sa place dans la société et dans son foyer, selon ses propres aspirations (individualisme) et selon le bien commun, ou celui de sa famille (altruisme).
Bonjour luluscribe ,
Lorsque j’étais jeune, il y a longtemps, j’ai toujours eu la conviction que les femmes aimaient leur foyer. Je situe ma réflexion dans les zones rurales, la vie des villes nous échappait quelque peu à l’époque.
Je me souviens de ces [b]femmes au foyer[/b] qui « jetaient » leurs maris ou tout autre personne masculine hors de la maison lorsqu’elles y étaient affairées en disant « vire tes galoches, t’as rien à faire ici, retourne à tes occupations et fiche moi la paix! » Bien souvent le « mâle » se retrouvait au bistro jusqu’à, parfois’ sa femme ne vienne le rechercher!
Non ce n’est pas de vieux clichés, c’est ce qui se passait réellement.
Ces femmes au foyer mettaient un point d’honneur à tenir leur maison et à élever leurs enfants. Elles considéraient que c’était leur rôle. Je veux dire par là que les choses se faisait naturellement c’est à dire comme la Nature l’avait dicté.
Leur chemin avait toujours été tracé ainsi et lors des mariages où maire et curé ne manquaient pas de le leur rappeler.
Puis une fronde s’est abattue sur notre pays en [b]Avril et Mai 68[/b], où nous avons pu assister à une « révolution » au sein de laquelle des femmes criaient haut et fort leur [b]droit à la Liberté[/b]. [b]Légitime[/b], mais vers [b]quelle liberté[/b] se dirigeaient-elles?
Suite…
Dans nos campagne les femmes (au foyer)de mon entourage ne comprenaient pas et disaient que c’était bien des idées de parisiennes. « Elles ne feraient que de bien pauvres mères » disaient-elles. Comme quoi l’idée de mère au foyer était bien encrée chez ces femmes.
la [b]société de consommation[/b] avançait à grands pas et il fallait de plus en plus d’argent pour s’acheter des appareils ménagers [b] »pour aider la ménagère »[/b] qui allait maintenant travailler à l’extérieur, LA voiture pour montrer son [b]statut social[/b], la radio FM, le Teppaz et tout le toutim!
Aujourd’hui, j’ai l’impression qu’un « EQUILIBRE » de vie est rompu et qu’il est très difficile d’en trouver un nouveau.
L’autre jour une jeune femme (33 ans) m’a dit: » J’aimerai bien rester à la maison pour m’en occuper et être près de mes filles. Si seulement nous étions reconnues » (elle parlait finance et retraite) puis elle m’a affirmé que bon nombre de ses copines aimeraient en faire autant si leur époux gagnait mieux leur vie, car ce serait mieux pour les enfants.
Voilà une belle prise de conscience, mais en attendant il est vrai qu’il est nécessaire qu’elles soient bien aidées à la maison par les hommes.
Mais ça commence quand même à évoluer d’après ce que j’observe y compris chez moi!
Cordialement
Ludo
Vote super pour vous et votre bel article, [b]lulu [/b]!
Pour revenir à ce que dit Ludo, même si une chose m’a fait tiquer, je suis entièrement d’accord avec lui ! Il y a un mot pour résumer ce que dit mr Bon Sens (lol) : l’individualisme.
Après, sans faire le procès de mai 68 (que je n’ai pas vécu), il faut rappeler qu’il y a de bonnes choses et des mauvaises dans tout, et que tout n’est pas à jeter. Je comprends la position des réacs, mais je ne les rejoints pas.
Cependant, l’émancipation de la femme, j’entends par là sa sortie du foyer, a entraîné bien des changements. Ils ne sont bons ou mauvais qu’à la façon dont on y répond.
Alors oui, la femme et l’homme sont différent biologiquement, et ses différences font que chaque sexe doit trouver sa place dans la société et dans son foyer, selon ses propres aspirations (individualisme) et selon le bien commun, ou celui de sa famille (altruisme).
Bravo pour votre article