Qu’est ce que le cyber crime?La cybercriminalité est le terme employé pour désigner l’ensemble des infractions pénales qui sont commises via les réseaux informatiques, notamment, sur le réseau Internet. Ce terme désigne à la fois l’atteinte aux biens et l’atteinte à la personne. La cybercriminalité se divise en deux grande catégories : les crimes commis à l’aide de l’informatique et les crimes informatiques comme tels.

 


Parmi les crimes commis à l’aide de l’informatique, mentionnons les suivants :·         L’échange de matériel pornographique·         Les fraudes, comme la fabrication de fausse monnaie et de faux documents (contrefaçon de carte de débit, de crédit, de passeport, de chèque, etc.)·         Les détournements de fonds effectués en modifiant des données comptables ou en manipulant des données informatiques·         Vol des services (télévision payante, internet service de téléphone)·         La prostitution (offres de ses services)·         Le blanchiment d’argent·         Les communications entre organisations criminelles au moyen de codes secrets·         La propagande haineuse·         Le harcèlement criminel, la diffamation, le libelle Dans la catégorie des crimes informatiques comme tels, nous retrouvons :·         L’accès illégal aux ordinateurs et à leurs données·         Vol des données informatiques·         Le méfait sur des données informatiques : détruire des données ou les rendre inutiles ou inopérantes, empêcher ou interrompre l’emploi légitime de données, refuser à une personne l’accès légitime à des données. Les conséquences économiques de cette forme de criminalité sont énormes. Au canada, on estime que la criminalité technologique entraine des pertes d’un million de dollars par année. Ça c’est sans compter la valeur des données perdues ou détruites. Les cybers délinquantsDans se type de criminalité il y a deux types d’individu : le hacker et le cracker.1.       Le hacker : le hacker est un passionné d’informatique qui, par plaisir, par curiosité, par défi ou par désir d’être reconnu surtout de ses pairs, pénètre dans ses systèmes informatiques sans l’aide de manuels techniques. C’est-à-dire qu’il essaye de déjouer les systèmes de sécurité par curiosité. Il n’est pas considéré comme un criminel informatique. En général il ne sait même pas l’ampleur des dégâts qu’il cause. Lors d’une recherche plus approfondie, j’ai trouvé un article sur un jeune adolescent de 15 ans résidant à Montréal, surnommé «Mafiaboy», a pénétrer dans les sites de Yahoo, de CNN, d’Amazon et de quelques autres, et les a mis hors service pendant quelques heures. Par la suite, celui-ci est allé se vanter auprès des ses amis de ses exploits sur internet. Les policiers ont été avertis et ils ont alors procédé à son arrestation. Le jeune fut alors inculpé sous 66 chefs d’accusations dont ceux de méfaits, d’interruption de services et  accès non autorisé à des sites internet. Tout ça pour de la curiosité. En tout, Mafiaboys à causé une perte d’au moins 2.1 milliard de dollars à ces compagnies.  Le cracker : Celui-ci est un vrai criminel informatique. On le surnomme «pirate informatique». À l’aide de données techniques, il exploite les failles dans la procédure d’accès informatique et il en attaque l’intégrité en dérobant, altérant ou même en détruisant l’information afin d’en tirer des avantages personnels. Ses activités criminelles sont divisées en trois formes :                     – La copie frauduleuse de logiciel-la pénétration de réseaux de banques de données– La diffusion de virus informatique pour contaminer et l’empêcher un système de fonctionner La technologie faisant de plus en plus partie de la vie quotidienne des citoyens, il est compréhensible qu’elle soit utilisée par des criminels. Le défi des policiers est énorme pour diminuer ce type de crime dit contemporain, car c’est difficile de ramasser des preuves tangibles et le degré de rapidité de perpétration du crime est très grand. Pour conclure, je crois qu’il est très important de rester sur nos gardes face à ce type de crime. Il est important de bien se protéger et de se tenir constamment au courant des nouvelles escroqueries.