Le problème sociologique dont je vais vous parler est le phénomène de plus en plus populaire des courses de rues. Les courses de rues sont, en effet, un phénomène sociologique. Ce phénomène touche toutes les tranches de la société. Les jeunes sont touchés par le fait que la majorité des coureurs sont des jeunes.
Les conducteurs sont aussi touchés par le phénomène car ils en sont témoins. Bref, les exemples sont nombreux car la majorité de la population à déjà été témoin ou à déjà participé à une course. En premier lieu, je vous parlerai du début du phénomène et de la différence entre plusieurs phénomènes que, malheureusement, la majorité des gens mettent dans le même plat. Deuxièmement, je vous parlerai du pourquoi les courses de rues sont un problème sociologique.
Finalement, je vous proposerai des actions plausibles que la population peut réaliser pour contrer, encadrer ou amoindrir ce phénomène.
Pour commencer, nous devons remonter à la source. Les courses de rues sont populaires depuis longtemps. Au début, les courses se déroulaient habituellement en sortant de l’église où l’on coursait à l’aide de son meilleur cheval. La voiture n’existait pas encore en ces moments. La course de rue automobile débute vers les années 50 et 60. Durant ces décennies, les modèles d’auto performante font leur apparition. Les modèles qu’on appelle aujourd’hui classique, comme les muscle car américain sont les premier du type performant et les heureux possesseurs s’amusent à démontrer leur habilité et la puissance de leur voiture en coursant sur des routes secondaires et peu achalandées où la limite de vitesse est, la plupart du temps, indéterminée.
À cette époque, la course est populaire et relativement bien acceptée. Jusque dans les années 80 environ la course de rue est bien acceptée et la majorité de la population est au courant qu’il y a des courses mais n’en sont jamais témoin. Le vrai problème commence quand les jeunes, essaient de reproduire les erreurs de jeunesse de leurs parents. Ils coursent en plein public et en plein trafic rendant le risque d’accident très élevé pour la population environnante et le trafic normal.
Le risque pour les autres automobilistes est très élevé. Avant de continuer dans l’histoire de la course de rue, j’aimerais préciser une chose. La modification de voiture n’est pas un problème sociologique et n’a jamais causé de vrais ennuis. La course de rue devient un problème lorsque qu’on constate qu’un nombre anormalement élevé de mort sur les routes sont créé par les pilote-amateur qui ont causé des accidents mortels en, par exemple, « prenant le clos » à plus de 200 km/h. Plus récemment, les courses de rues ont été popularisées par les films, tels que Rapide et Dangereux 1,2 et 3, parti en 60 seconde et les films telle que taxi. Les jeux need for speed underground et la série juiced font aussi parti du lot. Comme beaucoup de problème sociologique, les média ont grandement influencé la population en disant que les courses de rues étaient, et ce même en milieu fermé, un fléau pour les jeunes et la population en générale en nous présentant des images d’accident, souvent mortel, où les autos sont complètement détruites. La majorité du temps, ces images viennent d’accidents impliquant un jeune et la vitesse. La vitesse et la course sont deux choses complètement différentes.
Pour contrer le phénomène sociologique des courses de rues illégales, les solutions sont nombreuses, peu couteuses et très réalisables. Les plus simplistes proposeraient d’augmenter les amendes à des chiffres tellement énormes que les pilotes abandonneraient la course par peur de se faire attraper. Leur solution aboutirait à l’éradication d’un sport ou d’un loisir devenu extrêmement populaire au fil des années. Les retombées économiques seraient majeures et plusieurs garages se verraient obliger de fermer.
La solution serait donc de ne pas l’éradiquer, mais plutôt de le contrôler. En construisant deux bandes d’asphalte parallèle d’environ 550 mètre (1/4 de miles) et d’environ 5 mètres de large, la majorité des amateurs de courses pourraient toujours courser sans toutefois déranger personne.
Et en mettant un prix d’entré de deux dollars par personnes, la piste s’autofinancerait en très peu de temps et finirait par être rentable, apportant un profit au gouvernement et à la municipalité. Je crois que tout le monde est d’accord pour investir un peu, afin de réduire de manière substantielle le nombre de décès relié à ce phénomène de société. Cette action, pourtant très simple, pourrait régler bien des problèmes et ce, à moindre coût. Pour une piste comme mentionné ci-haut, le prix, selon un magasine québécois, serait d’environ 295 900 $.
Je crois que le prix d’une seule vie vaut beaucoup plus que le prix d’une piste de course sécuritaire qui pourrait sauver plus d’une vie. Les actions sociales Les actions prises pour contrer ce phénomène sont très peu nombreuses. En fait, elles sont quasi inexistantes. Bien sur, quelques lois sont passées, comme les grands excès de vitesses, mais aucune actions consistante, concrètes, n’est pris pour contrôler ce phénomènes. Les regroupements clandestins qui prônent la course sont plus nombreux que ceux qui la condamnent. De plus, le domaine policier et la justice, pour ce qui est du Québec, se ferment les yeux.
Les amendes sont ridiculement basses. Par exemple, une voiture qui s’amuse à faire des traces, couramment appelée patch, sur la chaussée, aura une amende de 52$ pour avoir sali la voie public. Pourtant, aucune amende n’est donnée pour la conduite dangereuse du chauffeur. Aussi, les compagnies d’assurances ne font rien pour contrer ce problème.
En mettant une close sur le contrat d’assurance qui dirait, par exemple, que si on accidente notre véhicule en faisant une course, la compagnie ne paye rien. Certaines compagnies d’assurances spécialisées offre d’ailleurs une assurance pour la course sur circuit. On peut donc parler d’inaction sociale. Car même si les municipalités essaient de nous faire croire que des actions valables sont prises, on se rend compte, et ce après de minimes recherches, que se boucher les yeux et faire comme si on avait rien vu est presque un mot d’ordre.
Certaine organisations prônent la course sécuritaire sur circuit comme au festival d’été festidrag. Ce festival est un très bon exemple de ce qui pourrait arriver avec le moindrement d’encadrement (piste mentionné plus haut). Ce festival est sécuritaire, non dangereux pour les spectateur, les coureurs et la population environnante et, raison de plus pour un investir un peu, très rentable, car il attire des gens venu de partout au Québec, quelque maniaque de l’automobile venu des États-Unis et même des touristes.
Et ce n’est qu’une seule course. Avec des courses à l’année, cette action, quoique minime, pourrait sauver des vies et amener beaucoup de retomber économique positive en région.
En conclusion, la course de rue est une activité très populaire qui regroupe plusieurs mordu ou groupe de mordu. Seulement au Québec, on en dénombre au moins 15 qui sont officielles. Par contre, la course de rue est illégale. Comme plusieurs personnes sont dérangées par cette activité, des moyens sont supposément pris par les municipalités pour éradiquer et/ou contrôler ce phénomène.
Malheureusement, après observation, on peut se rendre compte que ces supposées action sont inexistantes ou insuffisantes. L’inaction de la société face à ce problème est bien réelle et si l’on continue à ne rien faire, la course de rue pourrait s’amplifier et devenir encore plus dangereuse.
rien de plus nice que peter des burn out dans rue avec ma trans am pi faire le fou nes rien na foutre des ticket..
Lorque tu prendra le champ insamevamp et que tu sera même plus faire la différence entre ta graine et ta voiture tu nous en reparlera.
Tu parle comme un enfant de 13 ans
Je suis d’accord faire des burn c’est le fun et pas vraiment dangereux
c’est plus la vitesse le probleme, surtout que vous le faite avec des voitures qui tien mal la route mais bon
FUCK T ESTI DE USMD BIATCH FUCK USMD BITCH ;D VEND DON STOSTI DE MARDE LA POUR UN JDM .
CHOW POW VA LE CRISSER A SCRAPE