« Tout ce qui ne dépend pas du crédit résiste » et « ceux qui dépendent du crédit ne sont pas forcément condamnés à la déroute ».
Tels sont les propos des économistes actuellement !.
Après le pessimisme d’un plan de relance à la Française « par la communication »(voir mes articles précédents).On assiste à des paradoxes en tant de Crise.
Par exemple :
-Le secteur automobile profite de la prime à la casse,
-L’investissement locatif profite du dispositif Sellier : « le super-Robien »,
– Même les acheteurs de logements apparaissent avec le doublement des prêts à taux zéro,
Certes « on ne fait pas boire un âne qui n’a pas soif » mais il semble que « l’âne ne résiste pas à une carotte toute fraiche ».
Bref cela démontre que des mesures simples de politiques économiques peuvent soutenir la demande, du moins pendant un certain temps.
De plus la solidité du modèle social Français contribue à ce soutien économique :
-Un taux d’endettement encore supportable,
-Des prestations sociales qui servent d’amortisseurs de crise,
-Une forte natalité qui pousse les ménages à consommer….etc.
Le comportement des Français est stable mais le paradoxe est le pessimisme ambiant.