Faire souffrir, et moins jouir, et durablement, telle est la principale « justification » des circoncisions masculines et féminines prônées par diverses religions (dont des chrétiennes, voire des catholiques). Une autre motivation entre en jeu : gagner des pépètes, du pognon, du flouze, du pèze, et faire marcher le commerce. Les médecins, au prétexte que cela peut rapporter rapidement, vont-ils se mettre à prôner la généralisation de la circoncision ? On peut se poser la question…
Deux faits liés aux mutilations et aux croyances religieuses ont retenu récemment mon attention. D’une part, un communiqué du Groupe pour l’abolition des mutilations sexuelles féminines, des mariages forcés et autres pratiques traditionnelles néfastes (GAMS). Il relayait un appel conjoint de l’Ancic (Association nationale des centres d’interruption de grossesse et de contraception), de la Cadac (Coordination des associations pour le droit à l’avortement et à la contraception), et du Planning familial.
À l’occasion du 36e anniversaire de la promulgation de la loi Veil et du dixième de la loi du 4 juillet 2001 sur l’IVG, ces mouvements et associations constatent, à la suite d’un rapport officiel publié le 2 février 2010 par l’Inspection générale des affaires sociales (Igas), qui fait suite à un autre, encore plus préoccupant, portant sur l’application de la loi du 4 juillet 2001 dans les DOM, que l’esprit de ces lois est bafoué par les faits. Ce n’est pas un hasard. Très récemment, l’église catholique apostolique romaine s’est offusquée que, dans les pays européens, soient dispensés des cours d’instruction civique et d’éducation sexuelle ; par ailleurs, contraception et avortement ne sont pas des actes estimés suffisamment « rentables » par de nombreux praticiens du corps médical.
Aussi, l’Ancic, la Cadac, et le Planning familial veulent alerter le Premier ministre sur les « retards de prise en charge de l’avortement, les demandes abusives d’autorisation parentale pour les mineures, l’absence de choix pour les femmes de la méthode d’avortement et de contraception. ». Cela revient à pisser dans un violon : tout comme les ministres successifs de la Santé (l’affaire du Mediator est à cet égard fort significative), les premiers ministres sont, depuis quelques décennies, de très bons clients des groupes de pression religieux et médicaux, pour des raisons électoralistes, voire financières.
D’autre part, je constate que certains milieux islamophobes (parfois pro-israéliens aussi, mais à l’indignation sélective) et en fait anti-bicots, anti-crouillats, racistes et xénophobes (qu’importe pour eux, comme l’a montré récemment la majorité de la population tunisienne, européo-arabo-berbère, pour résumer, que l’islam insupporte nombre de gens estimés être de « cultures musulmanes »), s’emparent en France du phénomène de la prolifération des circoncisions rituelles assistées médicalement. Or ces milieux pointent un fait de société qui mérite débat ; mais cette « disputation » vaut d’être abordée tout autrement que de la manière dont ils la travestissent.
Punir et dominer les femmes, mais aussi les hommes, et les faire consommer « utilement » pour compenser, tel est l’objectif primordial des pouvoirs, qu’ils soient politiques ou religieux. Voiler les femmes, de châles, mantilles, burqas ou hijabs, voiles de premières communiantes, c’est faire marcher le commerce, et tant que les fabricants de protections solaires et de cosmétiques n’auront pas liquidé leurs participations dans l’industrie textile et soudoyé les divers pouvoirs religieux, le nudisme ne sera pas « mainstream ». Il faut, pour les religieux et les natalistes, aussi leur faire faire plus d’enfants qu’elles et ils ne peuvent en entretenir, mais attention, sans joie, uniquement par devoir, pour se conformer à la pression sociale. D’où parallèlement, la dissuasion de la contraception et les mutilations sexuelles, si possible douloureuses.
On ne sait trop pourquoi l’église catholique apostolique romaine n’a pas réussi à imposer infibulation et circoncision sur son aire d’expansion (elle s’en accommode fort bien en Afrique, là où cette coutume prédomine). Il y avait sans doute le souci de se concilier les pouvoirs temporels grecs et romains, opposés à la circoncision, et sans doute celui de ne pas s’aliéner les barbares. Dommage : les souffrances des enfants catholiques romains circoncis auraient pu leur faire un peu davantage gagner leur paradis ! Des églises catholiques concurrentes, moyen-orientales ou africaines, continuent de favoriser ces pratiques. Quant aux autres diverses églises chrétiennes, issues des réformes et des protestantismes, elles ont souvent réussi à faire en sorte que la circoncision passe pour une pratique hygiéniste. C’était particulièrement évident en Amérique du Nord.
Les pères des diverses églises (chrétiennes, mahométanes, judaïques…) et cultes des civilisations plus ou moins monothéistes (la Trinité chrétienne étant un ersatz de polythéisme) du bassin méditerranéen ont prôné la circoncision ; non d’emblée pour des raisons hygiénistes mais primordialement de répression de la sensualité. Les très remarquables ouvrages de Sami Awad Aldeeb Abu-Sahlieh, Circoncision : le complot du silence, et Circoncision masculine, circoncision féminine : débat religieux, médical… sont édifiants à cet égard (nombreux extraits en ligne, via Google Livres, chercher le mot-clef « douleur »). Philon d’Alexandrie (philosophe du premier siècle), Al-Jahidh (ou Al-Gahiz, un lettré abbasside du neuvième siècle), Maïmonide (un rabbin et médecin andalou du douzième), et d’autres auteurs, ont relevé que le dessein des religieux imposant la circoncision était soit de diminuer le plaisir sexuel des hommes, soit de faire en sorte qu’ils puissent satisfaire des épouses (si possible elle-aussi circoncises et donc moins avides de plaisirs sensuels) sans trop les porter à se montrer trop exigeantes à cet égard. C’est bien sûr réducteur, et ce résumé est légèrement caricatural, mais non point tendancieux ou fallacieux (reportez-vous aux textes). Ce n’est que vers les débuts des années 1970 que le mythe urbain d’une circoncision masculine améliorant la qualité des rapports sexuels (et diminuant le risque d’éjaculation précoce, entre autres) a été vraiment activé : politiques et religieux savent évaluer les rapports de force, les tendances sociétales dont il faut s’accommoder, au moins pendant un temps…
En fait, la circoncision ne s’impose, si possible avant l’adolescence, qu’en cas de phimosis, soit l’impossibilité de la rétraction du prépuce, ce qui rend les rapports sexuels douloureux. Ni les infections urinaires, ni les cancers du pénis, ni toute autre raison médicale alléguée (transmission des MST, par exemple), ne peut justifier la circoncision masculine systématique. Bien au contraire, les complications constatées l’emportent sur le seul avantage éventuel : prévenir un éventuel phimosis.
De plus, quel que soit l’âge, le nourrisson, l’enfant, et bien sûr l’adulte, souffrent atrocement si l’ablation du prépuce est faite sans anesthésie convenable. La douleur peut persister. Plus personne, dans le corps médical « neutre » (soit même chez les médecins se disant israélites, chrétiens ou musulmans, mais ne falsifiant pas les observations scientifiques) ne soutient le contraire. Il suffit d’ailleurs de consulter divers forums où des parents, ou des circoncis, partisans de la circoncision rituelle non fanatisés y compris, s’expriment librement, pour constater que la douleur chez l’enfant circoncis sans anesthésie, sur le moment et par la suite, n’est pas un mythe : vérifiez par vous-mêmes.
Or, actuellement, il est encore préconisé par des religieux de circoncire sans anesthésie autre que l’application d’une pommade ou d’onguents divers (leur cherté n’ayant rien à voir avec leur douteuse efficacité). « Heureusement » (car l’anesthésie correcte peut servir de « justificatif » à une pratique mutilante superflue), face aux réticences de parents mieux informés, les religieux se sentent obligés de concéder des circoncisions à motivations cultuelles correctement médicalisées. Lesquelles n’éliminent pas les complications postopératoires (d’un taux égal ou inférieur à 2 %).
Il se trouve que, selon les islamophobes monomaniaques, de plus en plus de médecins accepteraient de circoncire pour satisfaire des desiderata religieux. C’est possible, ce n’est pas forcément prouvé, mais on peut effectivement penser que les mêmes qui dédaignent de pratiquer des avortements puissent trouver leur compte (financier ? c’est à voir…) à cette facilitation d’un rituel. Mais rien n’est simple. Imaginez-vous, en conscience, recevant en tant que médecin, pédiatre, infirmière scolaire, un parent dont vous savez que, s’il ne peut faire circoncire médicalement son enfant qui n’en a nul besoin, il l’exposera à une mutilation douloureuse pouvant entraîner des complications allant jusqu’au décès rapide (cas d’hémophilie : les religieux juifs dispensaient et dispensent toujours de la circoncision les enfants dont deux frères aînés étaient morts des suites de cette pratique) ou différé.
Dernier en date des islamophobes monomaniaques à reprendre le thème des circoncisions abusivement médicalisées galopantes, le dénommé Arouet le Jeune, auteur du blogue-notes Nouvelle langue française. Selon lui, mais il ne doit fréquenter que les cliniques privées huppées ou l’hôpital américain de Neuilly, « le phimosis donne lieu à une opération qui coûte, selon les spécialistes, près de mille euros, » mais qui est totalement prise en charge par la Sécurité sociale. Ce faussement candide disciple de Voltaire cite pour seule source une émission télévisée animée par un médecin, Michel Cymes. Pour situer à quel point Arouet le Jeune est objectif, on se reportera au verbatim du dr Cymès qui avance un coût situé entre 700 ou 800 euros tandis qu’une association musulmane de banlieue parisienne favorable à la prise en charge de la circoncision rituelle par la CPAM en estime le prix à 860 euros. Affirmations d’Arouet le Jeune : « La France est le pays où est enregistré le plus grand nombre de phimosis au monde – en chiffres absolus, plus que les États-Unis dont la population est cinq fois supérieure à celle de notre pays, plus que l’Inde (population vingt fois supérieure) et plus que le Chine (vingt-deux ou vingt-trois fois supérieure). Les Français seraient-ils les champions du monde des malformations génitales ? Que nenni. L’opération du phimosis, acte médical ou acte chirurgical, cache en réalité, grâce à des chirurgiens complices ou irresponsables, des actes religieux, à savoir des circoncisions. Les mahométans se font circoncire à l’hôpital gratos sous couvert de phimosis. ».
Je suis incapable de vérifier les données alléguées pour la Chine ou l’Inde. En revanche, pour les États-Unis, je doute : les circoncisions en milieu médical y sont (en tout cas, selon des statistiques médicales canadiennes, y étaient) beaucoup plus nombreuses et fréquentes qu’en France. Sont-elles déclarées aux assurances en tant qu’opérations de prévention ou de traitement d’un phimosis ? Je n’en sais rien, je ne vais même pas chercher à vérifier.
Mais les faits sont têtus. Valérie Boyer, députée UMP des Bouches-du-Rhône, département où le vote judéo-mahométan n’est peut-être qu’un mythe (comme à Strasbourg, où les études sérieuses avaient déterminé que la communauté juive répartissait ses votes à l’identique de l’ensemble du corps électoral), s’est intéressée au phénomène. « L’évolution démographique et sociologique de notre pays pose la question de la place de cet acte chirurgical en termes de santé publique, de coût pour l’assurance maladie et de la laïcité, » estime Valérie Boyer. UMP ou pas, elle n’a absolument pas tort de présenter les choses en ces termes. Sauf que, si les populations françaises et étrangères originaires de pays de cultures musulmanes ou judaïques approcheront sans doute bientôt le dixième de la population, ce n’est pas leurs origines qui leur dictent leurs convictions laïques ou religieuses. Pour se concilier tant ces communautés supposées attachées à la circoncision que le groupe de pression des assurances privées, Valérie Boyer suggérait, à l’été 2009, « un contrat d’assurance circoncision proposé à la naissance des enfants mâles. ». Ah bon, mâles seulement ? Oh, là, il y a un fort manque à gagner pour les assurances, les laboratoires du genre Servier, le corps médical et les rabbins et les imams… Timorée, la députée ! Le ministère de la Santé s’est opposé à cette suggestion et Roselyne Bachelot avait considéré que faire passer une circoncision religieuse pour un acte médical était une « fraude ». Il n’empêche qu’on ne peut que s’interroger. De même que faire payer ceux qui n’ont pas accès aux soins peut entraîner des complications plus coûteuses encore (à moins d’admettre qu’un mourant non assuré social n’aurait que ce qu’il mérite), faute de prévention et de prise en charge à temps, la question de la circoncision sous anesthésie correcte doit être considérée indépendamment de tout a priori idéologique. Facile à énoncer, difficile à mettre en pratique. En fait, il est très difficile de se prononcer, et il faut pourtant, politiquement, opter.
Ce qui est cocasse, c’est que Riposte laïque, faux-nez en puissance des intégristes cathos, voire bientôt des israélites traditionnalistes, tout aussi maniaco-islamophobe qu’Arouet le Jeune, considérait en février 2009 : « à l’heure actuelle, il n’existe aucune statistique sur le nombre de circoncisions rituelles effectuées pour des raisons médicales et effectivement remboursées par la Sécu… ».
Idéalement, la circoncision des mineurs devrait être sanctionnée comme toute mutilation qu’un majeur ne s’auto-inflige pas, soit très lourdement. Je ne comprends absolument pas pourquoi on poursuit des pédophiles et non des adultes circoncisant des mineurs – pour les mineures, « bizarrement », c’est interdit en France, ce qui n’est guère logique. Et tant qu’à faire, autant infliger la déchéance de nationalité et l’expulsion en fin de peine (allez, admettons que je me laisse emporter par mon indignation…). Pragmatiquement, que faire, que préconiser ? Interner tous les croyants jusqu’à résipiscence ? Restent l’information et l’éducation. Mais avant que nos politiques imposent une instruction obligatoire, y compris dans les écoles confessionnelles, sur les risques de la circoncision masculine, des tonnes de prépuces finiront dans les incinérateurs. Diffuser l’information que, même en cas de risque de phimosis, il y a des alternatives curatives autres que la circoncision (mais elle reste la seule solution connue pour d’autres cas qui concerneraient 6 ‰ de la population masculine selon au moins source médicale), convaincrait-il des croyants ? D’une part, c’est controversé (les méthodes à base d’applications de pommade peuvent ou non convenir, d’autres types d’incision sans ablation aussi, mais pas toujours). D’autre part, il n’y a pas plus têtu qu’un âne n’ayant pas soif : des parents peuvent favoriser l’installation de complications génito-urinaires, en refusant de s’informer, parce que la non-circoncision leur semble inimaginable, quels que soient les risques, létaux ou non.
N’ayons pas peur des mots. Il est insolite de constater, sur les diverses versions de Wikipedia, que les articles correspondant au français « phimosis » ne posent guère problème. En revanche, voyez, pour la version française, la page « circoncision ». Elle s’orne d’un avertissement : « cette page est l’objet d’un important désaccord entre participants… ». Voyez aussi l’onglet « discussion » de cette page. La version germanophone (« Zirkumzision »), ou hispanophone (« circuncisiόn »), ou anglophone (« circumcision »), ne comportent pas de telle mise en garde. En revanche, la page en roumain accumule trois avertissements similaires. La traduction automatique (par Google) de la page de discussion afférente en turc recèle cette phrase insolite : « Elle aussi, les lecteurs sont invités à se baigner dans le cerveau » (sic). Relevons que la Turquie était, jusqu’aux années 1980, l’un des pays où le taux des circoncis restait très inférieur à celui d’autres pays de religions musulmanes dominantes (c’est en train d’évoluer, le gouvernement actuel favorisant les associations caritatives assurant la gratuité de cette cérémonie ; on a même eu le cas de la circoncision forcée de tous les mâles d’un village – 61 personnes, enfants, adolescents et adultes – sur ordre préfectoral). Ce qui évoque bien sûr l’expression « lavage de cerveau ». Cette page en turc évoque que la circoncision aurait un rôle préventif pour le sida. Peut-être… Il est certain que, lors de l’opération, il est difficile d’avoir simultanément des rapports sexuels avec des personnes infectées. En revanche, le risque d’attraper une affection nosocomiale n’est pas négligeable : bah, du moment que ce n’est pas le sida, que l’infection soit tout aussi mortelle est bien moins grave… Bizarrement, seul le sida, et non l’herpès ou la syphilis, serait contrecarré (pas totalement, et on ne sait trop dans quelle mesure) par la circoncision. Si j’étais candidat à un prix « Ignoble » (ou IG-Nobel, un anti-Nobel), je tenterai d’étudier l’influence de la circoncision sur l’obésité, les maux de tête (la migraine féminine, par exemple), les hémorroïdes, &c. C’est étonnamment en Afrique, où les sectes protestantes nord-américaines et leurs ONG sont très actives, que la (enfin, cette présumée) liaison entre le virus du sida et la circoncision a été établie. Étonnamment aussi, le sieur Ratzinger, dit Sa Sainteté Benoît, n’a pas repris à son compte cette singulière relation. Ce qui est sûr, c’est que le débat ou la présentation des mêmes faits sont… tout aussi culturels que cultuels.
Pour défendre leurs bouts de gras, les praticiens rituels (religieux non médecins) avancent qu’une anesthésie est encore plus dangereuse que son absence. Ben, c’est quasiment vrai, et c’est comme l’ablation des amygdales, qui était la norme pour beaucoup d’enfants nés dans les années 1950 (et depuis la fin du siècle dernier, ce n’est plus du tout la norme) ou des végétations : autant que l’enfant soit mal ou pas assez anesthésié, et qu’il souffre pour éviter le risque d’une anesthésie trop forte ! Je me souviens encore très vivement de mon opération des amygdales (pas seulement de la douleur, mais aussi de l’énormité apparente des instruments qu’on m’enfonçait dans la bouche et de la bobine masquée du chirurgien, paraissant une tête d’épingle). En sus, plus la mère et le père seront fiers de voir leur enfant souffrir, mieux ils gratifieront le tortionnaire ! D’accord, la remarque ne vaut pas pour tous les parents, ni tous les religieux. Mais cette motivation, fort avouable (voyez aussi les forums, et toutes ces mamans ravies de voir leurs gosses souffrir lors de la circoncision), ne peut être exclue.
Aux États-Unis, la circoncision, dans les années 1930, avait commencé à devenir systématique en milieu hospitalier : l’accoucheur réalisait un acte facturable supplémentaire. Actuellement, ce sont les césariennes systématiques qui « sécurisent » certains obstétriciens (gain de temps, et moins, selon eux, de risques de complications). La circoncision systématique a été en vogue en Amérique du Nord jusqu’à la fin des années 1970. Tout et son contraire a été avancé pour favoriser la circoncision, notamment le fait qu’elle endurcirait le futur combattant (prêt à affronter les communistes et les athées…). Si vis pacem… coupe-z’y l’zizi ! La détestation phobique de la masturbation en Grande-Bretagne a aussi favorisé, dans les pays de langue anglaise, la pratique de circoncision systématique : religieux (anglicans, catholiques, autres…) et médecins étaient culs et chemises pour circoncire à la chaîne. Le baptême ou les communions (solennelle ou pas) ne préservant pas de la tentation de se masturber (comme quoi… hein… les sacrements…), la circoncision a semblé tout indiquée. Bon, je vais me faire taxer d’anglophobe, j’arrête là… Ce qui me semble surprenant, c’est que rien, dans les textes chrétiens, n’indique si Jésus-Christ, ressuscité, était ou non muni de son prépuce. De même, lors de la résurrection d’entre les morts, retrouve-t-on amygdales, végétations et appendice, et à quelle taille en cas d’ablation de son vivant ? Grave question théologique !
Établir une corrélation entre d’une part la baisse des avortements et la hausse des posthectomies (circoncisions) et d’autre part des causes ou raisons particulières précises me semblerait très hasardeux. Je suppute simplement qu’un siècle toujours plus mercantile et religieux (là, c’est fortement corrélé), du moins jusqu’à nouvel ordre, devrait ne pas gâcher ainsi tous ces prépuces. Plusieurs églises catholiques (abbayes de Coulombs, de Conques, pour la France, 14 recensées en Europe) ont exhibé le même « saint » prépuce du Christ. À défaut de renoncer à les enterrer, les israélites pourraient au moins en réaliser des moulages (pour les pauvres, en résine, pour les riches, en or, titane et autres métaux précieux), de même que les mahométans (à exhiber au bout d’une chaîne lors du pèlerinage à la Mecque, expédition réservée aux seuls circoncis, pouvant être ornés de pierres précieuses, voire assortis de calculs rénaux par la suite). Écrins joailliers, petits étuis selliers de voyage, et autres accessoires, élargiraient la gamme des produits dérivés. On pourrait taxer tout cela et contribuer ainsi à combler le déficit de la Sécurité sociale. Ou subventionner tous les cultes, y compris la scientologie, les franches-maçonneries (qui célèbrent bibles, corans, et livre blanc…), les raéliens, les stales adorateurs du nombril, &c. Au nom d’une conception tolérante et éclairée de la laïcité, on pourrait tout tolérer, n’est-il pas ?
Eh bien, justement, non. Je ne considère pas que les pays européens soient plus « civilisés » que d’autres, et quand je vois que certains (comme la Suisse) interdisent d’essoriller ou de pratiquer l’ablation de la queue de certains animaux mais autorisent la circoncision, je reste pantois. Des Européens qui s’offusquent qu’on puisse consommer de la viande équine ou asine admettent très bien qu’on torture et mutile ainsi des enfants. Mais il faut trancher, et ne pas instrumentaliser la laïcité. Naguère (et encore à présent), des associations laïques défendaient le droit des femmes à disposer de leur corps et à l’avortement. À présent, des groupes prétendument laïques, pour ne pas s’aliéner la sympathie des catholiques romains, délaissent ce genre de combat pour ne plus se consacrer qu’à assimiler de fait tous les étrangers (ou Français « récents », fussent-ils de troisième ou quatrième génération) issus de pays de cultures musulmanes à des idolâtres mahométans. À défaut de pouvoir criminaliser la pratique de la circoncision masculine (elle l’est textuellement, juridiquement, mais les tribunaux suivent les directives de la Chancellerie : il ne faut s’aliéner ni les communautés mahométanes, ni les judaïques…), combattons-les en les exposant. Mais il ne faut surtout pas le faire en prêtant le flanc à la critique du « deux poids, deux mesures ». La chrétienté n’a jamais été plus « civilisatrice » qu’un autre groupe humain, parfois même, bien au contraire. Elle n’a jamais renoncé à son apostolat missionnaire. Marc Aillet, évêque romain de Bayonne, multiplie les déclarations prosélytes. Il favorise l’engagement politique des chrétiens et accueillait en décembre dernier le représentant de l’Association chrétien élu public pour une conférence réunissant des élus locaux, il promeut aussi les marches nationales pour le respect de la vie (anti-avortement, anti-contraception, &c.).
La défense de la laïcité se montrant complaisante à l’égard de la chrétienté ou du judaïsme est une imposture que l’islamophobie ne saurait justifier. Quant aux médecins, athées, agnostiques, sincèrement attachés aux principes laïques qui estimeraient – et on peut les comprendre – que refuser de prendre en charge médicalement une circoncision rituelle exposerait de jeunes patients à des risques indéniables et à la douleur, il convient de leur dire clairement : non, votre charité et votre compassion n’ont pas à s’exprimer aux dépens de la collectivité, si vous intervenez, assumez, et faites-le gratuitement. L’argument du surcoût de la prise des complications des circoncisions « sauvages » est discutable à l’infini, il est très difficile d’établir des éléments probants… Ou, mieux peut-être, faites pression sur vos consœurs et confrères pratiquant une religion. Qu’ils s’en chargent ! Gracieusement ! Les musulmans désireux de faire circoncire gratuitement leurs enfants avec anesthésie et dans un milieu médicalisé par un personnel qualifié peuvent d’ailleurs s’adresser à Mgr Aillet : il saura convaincre ses coreligionnaires médecins, qu’ils en soient assurés !
Je suis pour à condition qu’on attente que les enfants soient adultes et qu’ils prennent la décision eux-mêmes.
Avant la majorité cela devrait être interdit car il s’agit bien d’une mutilation que l’on fait subir à des enfants et c’est intolérable quelque soit le motif retenu pour la pratiquer, et devrait être puni comme tout autre sévisse qui serait donné à un enfant.
D’autre part, cela aurait le mérite de couper court à toute discussion ou polémique sur le sujet.
[b]Circoncision et fraude à la Sécu : “La France a le record du monde de phymosis”[/b]
La circoncision est un sujet si sensible que personne n’ose en parler.”
Michel Cymes (France 5)
@Ludo,
couper court! c’est le cas de le dire!!!
glups!j’en rougis de honte!!!!!!
Il manquerait plus que la Sécu rembourse la circoncision rituelle!
Ah!Bon c’est déjà fait?
Et l’excision c’est pour quand?
[b]SCANDALEUX![/b]
[b]Personnellement, je reste très opposé à la circoncision, lorsqu’elle est pratiquée sur un enfant qui n’est pas en âge de décider par lui-même : d[i]onc, je suis tout à fait d’accord avec Ludo, qui propose qu’une loi interdise toutes formes de circoncision avant la majorité d’un enfant ![/i]
[u]J’irai plus loin encore[/u] : [i]je suis fermement opposé à l’excision des femmes, qu’elles soient mineurs, qu’elles soient majeures ![/i]
Pour que ces lois soient comprises et bien respectées par tous les croyants en diverses religions, il faut tout simplement s’appuyer sur la Loi du 9 décembre 1905, relative à la séparation des Eglises et de l’Etat, qui, étant toujours en vigueur, a été promulguée le 11 décembre 1905 [ [ [url]http://www.assemblee-nationale.fr/histoire/eglise-etat/sommaire.asp[/url] et [url]http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=LEGITEXT000006070169&dateTexte=20100423[/url] ].
Pour que ces lois soient comprises et bien respectées par toutes les personnes, qui se déclarent athées, déistes…, il suffit de leur dire que les enfants, qui sont des personnes, ont des droits, qu’il convient de respecter, ce, en vertu de la Déclaration universelle des droits de L’homme [ [url]http://www.un.org/fr/documents/udhr/[/url] ].
[i][u]*************************************************[/u][/i]
Pour Jef Tombeur, qui a une page sur LePost.fr, cet article : [url]http://www.come4news.com/index.php?option=com_content&task=view&id=40774[/url] pourrait l’intéresser ! J’aimerais bien connaître son avis sur la question… Merci d’avance.
[/b]
C’est vrai Raisinfraise et Dominique.
L’excision n’est ni plus ni moins qu’une mutilation.
Alors sa pratique sur des enfants ou des adultes ne change à c fait et devrait aussi être interdite purement et simplement.
Mais tout le temps qu’on n’aura pas de personnalités politiques assez couillues (les biens nommés!), la polémique autour du sujet alimentée par tout un tas de gens aveuglés voire embrigader dans leurs religions, n’aura de cesse que de se multiplier.
Dominique a raison de rappeler la loi de 1905 relative à la séparation de l’Église et de l’État. Nous vivons dans une République laïque et en ce sens ces pratiques barbares devraient disparaître
l’excision est INTERDITE en France!
En France, la clitoridectomie a été préconisée à la fin du XIXe siècle par des médecins comme Thésée Pouillet (1849-1923), Pierre Garnier (1819–1901) ou Paul Broca (1824-1880) pour lutter contre l’onanisme.
Aujourd’hui l’excision constitue une atteinte à la personne. Elle entre dans le cadre des violences ayant entraîné une mutilation permanente, délit passible de dix ans d’emprisonnement et de 150 000 euros d’amende dans le cas général. Lorsque la victime est mineure de 15 ans, cela devient un crime passible de 15 ans de réclusion criminelle, 20 ans si le coupable est un ascendant légitime (Art 222-9 et 222-10 du Code pénal). Une interdiction du territoire d’une durée de cinq ans peut également être prononcée (Art. 222-47 du Code pénal).
Cependant, souvent l’excision est pratiquée lors d’un retour au pays et donc hors du territoire national. La législation française fait cependant obligation aux soignants de dénoncer toutes agressions sexuelles sur mineur. Les médecins sont tenus au signalement des cas (même potentiels) de mutilation génitales féminines, même si ces derniers sont ou devraient être effectués hors du territoire français.(source wikipédia)
[url]http://www.droit.univ-paris5.fr/cddm/modules.php?name=News&file=article&sid=59[/url]
un site très complet sur la législation concernant la circoncision
[quote][i][b]l’excision est INTERDITE en France!… Aujourd’hui l’excision constitue une atteinte à la personne. Elle entre dans le cadre des violences ayant entraîné une mutilation permanente, délit passible de dix ans d’emprisonnement et de 150 000 euros d’amende dans le cas général. Lorsque la victime est mineure de 15 ans, cela devient un crime passible de 15 ans de réclusion criminelle, 20 ans si le coupable est un ascendant légitime (Art 222-9 et 222-10 du Code pénal). Une interdiction du territoire d’une durée de cinq ans peut également être prononcée (Art. 222-47 du Code pénal)…. [/b][/i][/quote]
[b]Raisinfraise[/b], mille excuses pour mon oubli dans mon commentaire… Il est exact que l’excision est totalement interdite dans notre Pays, mais également dans beaucoup de pays d’Europe !
[quote][i][b]… Cependant, souvent l’excision est pratiquée lors d’un retour au pays et donc hors du territoire national. La législation française fait cependant obligation aux soignants de dénoncer toutes agressions sexuelles sur mineur. Les médecins sont tenus au signalement des cas (même potentiels) de mutilation génitales féminines, même si ces derniers sont ou devraient être effectués hors du territoire français.(source wikipédia)[u][/b][/i] [/quote]
Raisinfraise, je serais tout à fait favorable, pour cette situation que vous expliquez en ce qui concerne les excisions pratiquées en dehors du territoire national, que nos lois françaises, qui répriment ces mutilations, s’appliquent dans toutes leurs rigueurs[/u] : [i]après tout, les actes de pédophilie commis par des immigrés, par des citoyens français en déplacement à l’étranger, sont bien réprimés par la justice de notre pays… Alors, pourquoi ne pas faire de même en ce qui concerne ces mutilations rituelles ou religieuses exercées contre les femmes ?[/i]
Rainfraise,
Les dernières lignes du texte de votre lien sont éloquents et ceci me conforte dans l’idée que loi ou pas loi, cela ne change pas grand chose dès lors que les instances judiciaires et autres se refusent à prendre une position sur l’interdiction de ces mutilations.
On a vraiment du mal en France à juger avec discernement ce genre de problème dès lors qu’il touche au religieux.
Quant à la loi interdisant l’excision en France, elle devrait faire l’objet d’un élargissement de son application dans toute Europe puis étendue au niveau mondiale.
Que fait l’OMS?
Pourquoi rien n’est fait?
Y aurait-il encore des intérêts privés en cause?
Pour Raisinfraise :
En quoi excision féminine et circoncision masculine diffèrent-elles ? Merci de ne pas répondre par des évidences médicales, mais sur le fond. Une mutilation partielle féminine sous anesthésie serait-elle plus intolérable que l’ablation du prépuce ? Au nom de quoi ?
Et pourquoi n’est-il pas fait obligation de dénoncer toute mutilation masculine d’enfants ou de mineurs ?
Bon, ce coup de gueule s’adresse notamment aux gens qui condamnent la corrida mais tolèrent la circoncision au nom du respect des convictions religieuses : faut être cohérent, non ?
@Jef,
les deux pratiques ne diffèrent en rien il est vrai, d’un point de vue moral bien sûr!
Pour une fois la petite fille semble mieux protégée que le petit garçon, qui subit avec sévérité le poids de l’obligation religieuse.
Il n’empêche qu’ils existent des raisons médicales sérieuses pour la circoncision: [i]La circoncision réduit la transmission des HPV
Plusieurs études observationnelles l’avaient montré. Les partenaires féminines d’hommes circoncis ont un risque abaissé de cancer du col. Mais ces travaux n’étaient pas suffisamment probants. Pour tenter ([/ile quotidien du médecin 07/01/2011]…) (si je peux je vous mets l’article en ligne)
et aucune pour l’excision!
toujours la même source une deuxième étude :
[i]Deux essais menés en Afrique
La circoncision réduit la transmission des HPV
Deux études, menées en Ouganda, confirment que la circoncision diminue le risque de transmission des HPV, au sein de couples indemnes du VIH.
Le Quotidien du Médecin du 11/01/2011 [/i]
@Dominique,
[i]après tout, les actes de pédophilie commis par des immigrés, par des citoyens français en déplacement à l’étranger, sont bien réprimés par la justice de notre pays… Alors, pourquoi ne pas faire de même en ce qui concerne ces mutilations rituelles ou religieuses exercées contre les femmes ?[/i]
c’est une excellente idée Dominique que de poursuivre les parents de petites filles excisées en dehors du territoire français,avec obligation de signalement par les médecins .
Bonjour tout le monde, il ne faut pas confondre mutilation des femmes (excisions etc…) et circoncision masculine, préconisée par un certain nombre de médecins(peu importe leur religion!) pour des raisons d’hygiène. Elle n’a d’ailleurs aucune répercussion sur la sexualité masculine si elle se passe sous anesthésie et « proprement ». Des médecins australiens rapportent que selon une quarantaine d’études, la circoncision masculine diminue le risque d’infection du VIH (de 2 à 8 fois)et des MST. Ils préconisent d’ailleurs qu’elle soit généralisée dans les pays les plus infectés.
Sur les études menées en Afrique portant sur une corrélation entre circoncision et transmission du virus VIH, j’ai comme des doutes… Qui en a eu l’idée, qui a lancé l’incitation à la circoncision généralisée ? &c.
Je me demande si les ONG liées à l’OMS n’ont pas été fortement incitées à entériner des conclusions induites par des actions gouvernementales dictées par des considérations diverses que je ne saurais qualifier, faute de documentation.
En Ouganda, on ne sait trop si les musulmans constituent 12 % environ de la population (ou moins, ou davantage), mais seraient représentés plus « copieusement » dans les sphères se disputant le pouvoir politique.
Le coup de la circoncision « préconisée pour des raisons d’hygiène » a bon dos… C’est sûr que, dans des pays où le simple fait de se laver le sexe serait quasiment tabou (c’était encore le cas de pays européens voici moins d’un siècle), un circoncis sous la douche ou au bain est plus propre qu’un non-circoncis qui ne se laverait pas sous le prépuce. Ces histoires d’hygiène sont comme par hasard mieux mises en avant dans certains pays anglophones que dans d’autres. Un peu comme les crises de foie et les suppositoires français… Dire que la circoncision n’a aucune influence sur la sexualité masculine me semble aussi sujet à caution. On a tout dit et soutenu et son contraire sur ce point.
Najia Plumett
Même les circoncisions réalisées par des médecins (et est-ce la majorité?) sont à exclure.
Je suis un homme, et je n’aurai jamais accepté qu’on me rende « différent » sans mon consentement et qu’on ai profité de mon enfance pour le faire.
J’ai fais l’armée. Je ne vous dis pas ce que ces garçons ont subit comme brimades! Dans les pensionnats aussi, dans les vestiaires de salle de sport aussi…C’est pire que comme vous dites de l’approche sexuelle dont vous parlez.
A vie ils seront différents ces gars et toujours à la merci de brimades s’ils s’exposent.
Pour moi c’est une [b]ATTEINTE A LA DIGNITÉ DE L’HOMME ET C’EST LÂCHE DE PROFITER DE L’INNOCENCE D’UN PETIT GARÇON POUR FAIRE SUR SON CORPS QUELQUE CHOSE D’IRRÉVERSIBLE.[/b]
Mais enfin où on va?
Quand à éviter les risques d’infection du VIH, je reste perplexe surtout avec des données aussi imprécises. 2 à 8 fois, il faudrait savoir.
C’est aussi grave que l’excision pratiquées sur les jeunes filles tout aussi innocentes (et non sur les femmes comme vous le dites)
Maintenant qu’il y ait circoncision pour raisons médicales bien précises réalisée en milieu hospitalier dans les règles de l’art par un chirurgien, c’est un autre débat et çà n’a rien à voir avec ce sujet.
[b]A Jefftombeur[/b]
[quote]En quoi excision féminine et circoncision masculine diffèrent-elles ? Merci de ne pas répondre par des évidences médicales, mais sur le fond. Une mutilation partielle féminine sous anesthésie serait-elle plus intolérable que l’ablation du prépuce ? Au nom de quoi ?
Et pourquoi n’est-il pas fait obligation de dénoncer toute mutilation masculine d’enfants ou de mineurs ? [/quote]
Une mutilation féminine très pratiquée, [b]l’infibulation[/b], qui consiste à coudre les lèvres génitales, doit être renouvelée après chaque accouchement. L’accouchée est cousue à vif le plus souvent.
Il y a pire : dans certaines coutumes, les lèvres sont coupées, leurs bords rapprochés et maintenus par des épines d’arbustes, comme des agrafes. Elles cicatrisent ensemble.
Témoignage d’une jeune mariée, qui avait été « infibulée de cette façon » encore vierge;
Lors de la « nuit de noce », l’époux l’ouvre au couteau.
Sur la question des mst, sida….une bonne campagne de préservatifs serait plus humaine.
Circoncision, excision, infibulation, sont des actes de torture et de mutilations volontaires. Ce sont des monstruosités qui n’ont aucune excuse au 21ème siècle.
[quote]ne mutilation féminine très pratiquée,[b] l’infibulation,[/b] qui consiste à coudre les lèvres génitales, doit être renouvelée après chaque accouchement. L’accouchée est cousue [b]à vif le plus souvent.[/b]
[b]Il y a pire : dans certaines coutumes, les lèvres sont coupées, leurs bords rapprochés et maintenus par des épines d’arbustes, comme des agrafes. Elles cicatrisent ensemble.
[/b]
Témoignage d’une jeune mariée, qui avait été « infibulée de cette façon » encore vierge;
Lors de la « nuit de noce »[b], l’époux l’ouvre au couteau.[/b]
Sur la question des mst, sida….une bonne campagne de préservatifs serait plus humaine.
Circoncision, excision, infibulation, sont des actes de torture et de mutilations volontaires. Ce sont des monstruosités qui n’ont aucune excuse au 21ème siècle[/quote]
[b]Tout à fait exact Isabelle,c’est une réelle souffrance,un martyr pour ces petites filles et femmes!!
Tout ça,en vue de la SOUMISSION au MÂLE DOMINANT!Ces femmes ont des problèmes toutes leur vie!!
Comment peut il encore,de nos jours,martyriser les femmes de façon si IMMONDE!!![/b]
[quote]…
Bonjour tout le monde, il ne faut pas confondre [b]mutilation des femmes[/b] (excisions etc…) [b]et circoncision masculine,[/b] préconisée par un certain nombre de médecins(peu importe leur religion!) pour [b]des raisons d’hygiène.[/b] Elle n’a d’ailleurs aucune [b]répercussion sur la sexualité masculine[/b] si elle se passe sous anesthésie et « proprement ». Des médecins australiens rapportent que selon une quarantaine d’études, la circoncision masculine diminue le risque d’infection du VIH (de 2 à 8 fois)et des MST. Ils préconisent d’ailleurs qu’elle soit généralisée dans les pays les plus infectés[/quote]
Oui,Nadija,la « circoncision masculine » est faite dans un tout autre but et l’homme peut continuer à jouir ,tandis que pour les femmes c’est tout le contraire…!Plus aucune vie sexuelle,des douleurs permanentes etc…etc…
Il est vrai qu’il y a encore en France trop de circoncisions pratiquées sans aucune raison médicale qui causerait à l’enfant ou l’homme des douleurs intenses lors de l’émission urinaire ou lors des érections.
L’année dernière, un groupe nous avait fait une présentation sur les « violences faites aux femmes », parmis ces violences, l’excision et infibulation. C’était atroce, comment au XXIeme siècle peut on encore penser que ces cruautés améliorent la foi ou rende heureux?
Malheureusement, ce sont des « coutumes » dictées par des diseurs de lois, des gourous qui y confèrent un devoir d’honneur ou pensent que c’est ce que voudrait leur « dieu », or si dieu à fait l’homme à son image…pourquoi le garçon nait avec un prépuce et la fille un clitoris ? encore une incohérence dans la religion 😉
A la rigueur je peux concevoir la circoncision par foi religieuse si c’est le choix ECLAIRE de l’individu et non celui de ses parents, car c’est un acte irréversible. Ce qui induit que l’individu doit etre majeur.
Il n’est pas rare encore d’entendre dire par des mères, y compris parfois faisant partie de métiers de soignants « je ferai circoncire mon fils car c’est plus hygiènique! » (absurdité)
Les progrès sont quand même là où les médecin véhiculent de plus en plus le message que la circoncision/excision n’a aucun rapport avec une meilleure hygiène, désormais reste à convaincre les populations récalcitrantes désormais…mais les peines encourrues ne sont pas assez dissuadantes et les idées reçues la dent dure…
[quote]alheureusement, ce sont des [b] »coutumes » [/b]dictées par des diseurs de lois, des gourous qui y confèrent un devoir d’honneur ou pensent que c’est ce que voudrait leur « dieu », or si dieu à fait l’homme à son image…pourquoi le garçon nait avec un prépuce et la fille un clitoris ? encore une incohérence dans la religion[/quote]
Coutumes,Julien…un peu facile, ces coutumes ancestrales qui mettent les femmes en esclavage
pdt toute leur vie,de leur divin et suprême mari,et qui les condamne à une vie de souffrance et de déprime…comme on dit dans le coran:soignez vos femmes,vos vaches,…
Je rejoins Jeff et toutes les personnes qui sont opposées à la circoncision. D’ailleurs pour faire comprendre l’odieux de la circoncision en tant que tradition de même que l’excision, je proposais d’enlever à la petite comme au petit le même équivalent de peau et de plaisir. La question est donc posée à toutes les personnes pro-circoncisions: Pour sauvegarder leur tradition si importante, seraient-elles pour une excision ne dépassant pas en dommage l’équivalent de la circoncision des garçons?
Je disais « coutumes » car je ne trouvais pas de mot adapté, parler de « tradition ancestrale » revient au même et tout aussi facile.
Cependant ce que j’ai écrit est un fait, dans certaines communautés ces mutilations font partie de leurs « traditions ancestrales », même si des femmes ou hommes sont contre, on a vu dans des pays d’afrique où l’excision est monnaie courante que ce sont souvent des femmes « exciseuse » qui exercent alors qu’elle l’ont elles même subit…
Le soucis qu’il se pose aujourd’hui c’est de faire en sorte que toutes/tous prennent conscience que c’est une mutilation en tout sens du terme et renoncent à ces pratiques: c’est comme interdire aux catholiques la tradition du baptème de leurs enfants sans leur consentement…bon courage!
Bon cet article est toujours un pas en avant mais combien de pas vont être nécessaire pour arriver au but final? On n’a pas finit de les compter…
[quote]pendant ce que j’ai écrit est un fait, dans certaines communautés ces mutilations font partie de leurs « traditions ancestrales », même si des femmes ou hommes sont contre, on a vu dans des pays d’afrique où l’excision est monnaie courante que ce sont souvent des [b]femmes « exciseuse »[/b] qui exercent alors qu’elle l’ont elles même subit.[/quote]
Julien, tout à fait d’accord avec toi!ce sont « les femmes » qui font cela mais elles sont « prises dans un engrenage » qui ne va pas être facile à expliquer…étant donné ces coutumes où personne ne réfléchit…
[quote]Bon cet article est toujours un pas en avant mais combien de pas vont être nécessaire pour arriver au but final? On n’a pas finit de les compter..[/quote]
[b]Oui,mais il faudrait « dénoncer » ce genre de pratique d’ une manière plus spectaculaire…ce sont les femmes du pays en question qui devraient le faire!![/b]
[b]L’Homme est le plus grand prédateur de….l’Homme![/b]
3 étoiles,Jeff,j’avais oublié… 😀
L’excision du prépuce reste la pire des mutilations pratiquée ce jour.
Et sur le plan médical, il s’agit bien d’une excision.
Comparer avec la circoncision des filles et sur le principe stupide car chaque personne doit avoir le droit d’avoir un corps entier jusqu’à l’age adulte.
Ce étant, en toute logique la mutilation que subissent les pauvres garçons a des conséquences bien plus graves que pour les filles.
La nature a fait les hommes et les femmes différemment aux niveaux des organes sexuels.
La femme a la chance de disposer de très nombres zones érogènes comme le vagin bien sûr, mais également les seins, le point G et le clitoris qui n’est donc un qu’un des éléments du plaisir pour la femme.
L’homme de son côté, ne dispose que du gland.
Un gland dont la peau a été excisé subit la kératinisation. Ce processus qui au début est ressentis de manière favorable par l’enfant car les frottements du gland sur le slip sont ressentis comme une gêne devient ensuite un frein au plaisir. Il a été prouvé aux USA que des hommes excisés ont beaucoup de moins sensations neuronales lors de stimulations par frottement que des hommes non excisés. De la même manière, on sait qu’une femme a des orgasmes d’intensité d’avantage importantes et de durée plus longues que l’orgasme que peut ressentir un homme.
Un gland excisé perd donc son utilité sauf à la base qui reste à peu près protégée. Comme il durcit et n’exerce plus son rôle qui le différencie du reste de la verge, c’est comme s’il était mort. Indirectement, l’excision du prépuce entraîne l’amputation du gland et c’est bien de cette manière que le ressente certains hommes.
La femme a la chance d’avoir maintenant accès à des chirurgies réparatrices alors que l’homme doit se contenter de procédures longues consistant à étirer la peau.
J’ai découvert les conséquences de la circoncision avec un ami qui se prénommait Magid. Il avait été mutilé alors qu’il avait 6/7 ans. Et arrivée à l’adolescence, il a compris ce qu’il avait réellement subit. Il regrettait de ne pouvoir obtenir de greffe, se sentait malpropre avec sa partie intime pouvant être souillée en permanence dans son slip sans la protection qu’avait voulut pour cette tâche la nature. Il se sentait incompris dans sa souffrance, frustré de ne pouvoir porté plainte contre le chirurgien qui l’avait mutilé, contre ses parents… A force de prise de tête avec son entourage et ne pouvant s’accepter infirme sexuel, il a décidé de quitter notre monde pour cette unique raison.
Pour éviter que de tels drames se reproduisent, il faut interdire l’excision des garçons et bien sûr la circoncision des filles.
Les religions ont toujours été obnubilées par le sexe. Elles feraient mieux de s’occuper d’inciter les humains à s’aimer les uns et les autres.
L’excision ou ablation du clitoris interdit définitivement la jouissance à une femme, elle doit se contenter du devoir conjugal. Est-ce le cas de la circoncision ?
[quote]comparer avec la circoncision des filles et[b] sur le principe stupide [/b]car chaque personne doit avoir le droit d’avoir un corps entier jusqu’à l’age adulte.
Ce étant, en toute logique la mutilation que subissent les pauvres garçons a des conséquences bien plus graves que pour les filles.[/quote]
Le principe stupide c’est plutôt « l’ignorance » en ce qui concerne les mutilations féminines!
[b]
[quote]La femme a la chance[/b] d’avoir maintenant accès à des chirurgies réparatrices alors que l’homme doit se contenter de procédures longues consistant à étirer la peau[/quote]
Ah Bon? Vous me donnez l’adresse?
Pourquoi poster ce message de si nombreuses fois ?
Bien sûr que l’excision du garçon interdit la jouissance de l’homme avec la kératinisation. La désensibilisation qui se produit avec le frottement du gland contre les sous-vêtements et l’absence d’humidité est indéniable. Ce n’est pas étonnant si le pays le plus gros consommateur de VIAGRA est USA (ou les hommes excisés en forte proportion) car pour pas mal d’hommes excisés, les stimulations ne sont pas suffisantes pour garder de l’érection.
Et pour ces hommes, il avouent parfois que pour pouvoir éjaculer lors de relations sexuelles avec leur partenaires, ils sont obligés de fantasmer. Ce n’est donc pas le plaisir réel ressentis qui déclenche l’orgasme mais l’imaginaire.
Et comme expliqué dans mon message précèdent, les hommes n’ont qu’une seule zone érogène comparée aux très nombreuses que la femme a la chance de disposer.
Donc, les conséquences de l’excision pour un homme sont pires que la circoncision chez la femme.
Et comparer ces 2 MGF (Mutilations Génitales Féminines et Mutilations Génitales Falliques) reste dépassé, en 2011, ils faut les interdire immédiatement pour que chaque individus puissent profiter d’un sexe entier jusqu’au moins devenir adulte.
pour l’adresse des chirurgiens effectuant des chirurgies réparatrices de femmes circoncises, facile à trouver avec Google
voilà un liens par exemple : http://www.doctissimo.fr/html/sexualite/dossiers/violence-sexuelle/8643-excision-clitoris-soin-itw.htm
Et en lisant ce genre de liens, on comprends mieux la sexualité de la femme et donc, il n’y a pas d’ignorance par contre, les idées préconçues comme quoi l’excision de l’homme n’avait aucune conséquence a vraiment la vie dure.
L’homme et la femme ont des sexes différents et les comparer reste stupide. Sur le plan éthique, mutiler l’un ou l’autre reste du domaine de l’hérésie. Ne pas vouloir comprendre et admettre la souffrance de ceux qui souffrent en se sentant mutilés montre aussi une faible considération altruiste.
Il faut interdire la circoncision des filles et l’excision des garçons.
Très bon article, Jef, et totalement d’accord avec vous, comme avec les commentaires plus haut, notamment ceux de DavidB.
La circoncision et l’excision sont toutes les deux des mutilations. La circoncision ne doit être pratiquée pour des raisons médicales et vitales.
La circoncision comme moyen de prévention est insensé. Ce serai comme vouloir se couper la tête pour ne plus avoir de migraines.
[b]Votre attention, merci!
message de Corinne Thomas
URGENT: bébé de 17 mois a besoin de sang du groupe B pour cause de LEUCEMIE FULGURANTE, tél: 091/085 075
Faites circuler SVP, sinon à quoi ça sert d’être ici ???? Pour noble cause, PARTAGEZ SVP … merci[/b]
Je suis circoncis et le fait de l’être n’amenuise en rien le plaisir sexuel. Sivous ne me croyez pas , essayez.
[quote]Et pour ces hommes, il avouent parfois que pour pouvoir éjaculer lors de relations sexuelles avec leur partenaires, [b]ils sont obligés de fantasmer.[/b]??????????? Ce n’est donc pas le plaisir réel ressentis qui déclenche l’orgasme mais l’imaginaire[/quote]
[quote]…
[b]Je suis circoncis et le fait de l’être n’amenuise en rien le plaisir sexuel. Sivous ne me croyez pas , essayez[/b][/quote]
C’est bien ce que je pensais…
certaines femmes excisées prétendent la même chose… comme si on apprenait à vivre avec son handicap. La majorité des hommes n’osent pas le reconnaître, ou n’osaient pas le reconnaître. Les témoignages d’hommes osant exprimer leur frustration sont de + en + nombreux, tous comme les groupes ou association qui cherchent à obtenir à défauts de greffes, des techniques de restauration. Hélas, en français, les sites sont peu nombreux et http://www.enfant.org semble l’un des seuls parlant des MGF. En voilà quelques autres en anglais : http://foreskin-restoration.net/forum/ http://www.nocirc.com http://www.intactamerica.org/
Et encore une fois, avec les appareils électroniques permettant de voire l’intensité des stimulations d’un point de vue neuronale, on sait que la kératinisation atténue énormément le plaisir ressentis (entre 30 et 50% de différence entre un circoncis lorsqu’il était bébé et un non circoncis). Ce sont les mêmes procédés qui ont permit de démontrer que l’orgasme féminin avait une intensité + forte et une durée + longue que l’orgasme masculin. Je doute que les femmes vont dire l’inverse ;D Il est évident qu’un homme circoncis ne peut avoir conscience réellement du plaisir perdu et se contente de ce qu’il ressens encore. Et pour les hommes qui osent l’avouer le plaisir ressentis n’est vraiment plus suffisant pour garder l’érection ou pour pouvoir éjaculer sans avoir besoin de fantasmer…
Il faut interdire la circoncision des filles et l’excision des garçons.
Je ne sais plus quel rigolo (ayant reçu copie de son message par courriel, j’ai supprimé le courriel) m’a envoyé un truc qui a été supprimé (pas pas moi, je ne supprime que le pourriel, et encore, j’oublie souvent de le faire).
En substance, cela disait : « je suis circoncis, cela ne diminue en rien le plaisir sexuel, essayez… ». C’est un argument récurrent (on le voit ailleurs).
Bon, c’est un peu niais de se faire circoncire, hors phimosis (et encore, dans certains cas, l’ablation totale ne s’impose pas) pour essayer, car c’est irréversible (il y a des palliatifs, mais ce n’est pas évident).
Je ne fais pas de comparaison avec les divers christianismes dans ce qui suit puisque certains imposent encore la pratique et qu’il ne s’agit pas de critiquer une ou des religions davantage ou moins que d’autres.
Et l’argument ne tient pas la route. Si cela ne sert pas le but décrit par de nombreux religieux, cela sert à quoi, au juste ? Déjà, contredire des religieux, cela peut laisser supposer qu’ils ont dit, écrit, imposé n’importe quoi ? C’est quoi ces religions qui préconisent un acte pouvant comporter des dangers pour les enfants mâles (les hémophiles en particulier) ?
Si un dieu à l’image de l’homme existait, soit il s’est créé sans prépuce, soit il aurait imposé la « malédiction » du prépuce à ses créatures et que sont ses créatures pour oser braver une malédiction divine ? 😉
Pour les religions, on peut se demander si ce n’est pas pour limiter la sexualité à la seule reproduction. Il ne faut pas oublier que pour brider la masturbation, l’excision du prépuce est en effet assez efficace. De nombreux circoncis ont des irritations au niveau du gland à sec et ne peuvent donc pas se masturber sans lubrifiant. Lubrifiant qui est parfois que la salive à l’effet de courte durée…
La prise de conscience sur la mutilation qu’elle l’excision de l’homme est en cours déjà aux USA en espérant qu’elle se propage rapidement ailleurs et se concrétise par l’abandon de cette pratique.
Quand aux aspects médicaux, en 2011, on sait traiter tous les phimosis sans mutiler. Il faut d’abord signaler qu’on ne touche jamais le pénis d’un enfant avant sa puberté. La nature fait souvent bien les choses et le décallotage n’est pas nécessaire même pour l’hygiène. Si vraiment phimosis, il y a pour les cas légers des crèmes assoupissantes sont efficaces et pour les cas les plus embêtants et si rares qu’ils sont vraiment marginaux, une petite incision avant étirement et quelques points de sutures et tout va très bien.
Merci Jef pour ton article
Il faut interdire l’excision des garçons et la circoncision des filles.
Logion 53 (Evangile de Tohmas dite apocryphes par Rome retrouvées en 1945 à Nag Hammadi en Egypte (manuscrits anciens)
Ses disciples lui dirent :
La circoncision est-elle utile ou non ?
Il leur dit :
Si elle était utile, leur père les engendrerait circoncis de leur mère, mais la véritable circoncision en esprit est tout à fait utile.
JESUS
La faille
L’Homme nu par sa naissance terrestre est terminé et complet physiquement. Il n’y a rien à ajouter et rien à retirer. Pourquoi l’Homme devrait terminer lui-même l’œuvre divine ? Le croyant estime-t-il que Dieu n’est pas parfait ? Le parfait ne peut que par l’ajout ou le retrait s’abîmer. Circoncire, c’est effectuer une scission, une séparation, sur la circonférence. La circoncision telle qu’elle est comprise et effectuée sur le corps, n’est que symbolique rituel et aveu de la non compréhension et de la non réalisation spirituelle. Son action est sur le nouveau-né, lui qui en a le moins besoin, étant encore plus proche de l’esprit que du corps. La vraie circoncision est individuelle et non corporelle. C’est une “auto-circoncision”. C’est la séparation par la recherche intérieure, du mal ou de l’ego en nous, c’est l’éloignement autour du soi intérieur du faux, c’est l’ouverture des portes par cette coupure spirituelle, afin de laisser pénétrer la vérité, la lumière, ce qui est. Circoncire ses fils, c’est avant tout se circoncire soi-même, c’est renaître en sa vérité intérieure pour ensuite aider ses enfants et ses frères à se circoncire eux-mêmes. Le reste n’est qu’actes inutiles commis sur des corps innocents, actes qui seront à répondre.
Philippus. 9 mai 1999. Nouakchott
Le LUSTRE Livre 3. Prophétie présente Universelle.
Philippus
1ere Epitre aux Corinthiens 7.19
[i] »La circoncision n’est rien, et l’incirconcision n’est rien,
mais l’observation des commandements de Dieu est tout. »[/i]
Pourquoi pas prise en charge par la secu ? Après tout la chirurgie esthétique (y compris changement de sexe) est prise en charge par la secu…..
Pourquoi pas la prendre en charge par la secu ? ce serait normal compte tenu de la prise en charge déjà effective pour la chirurgie esthétique de confort (y compris changement de sexe…
Je ne vois rien à redire.
Rien à redire, car sans doute tu n’as pas subit cette mutilation.
Il parait qu’il ne faut pas dire neuronale mais cérébrale en ce qui concerne l’intensité ressentie.
Il a été dit que les femmes circoncises avaient droit à une opération réparatrice. Si les hommes n’y ont pas encore accès, ils sont nombreux à ne plus s’accepter mutiler sans rien pouvoir faire.
Il y a la technique d’étirement de la peau qui a déjà été abordée ici mais considérée comme longue et prenante. Certains ont voulut porter un préservatif en permanence dont l’extrémité a été coupée afin de pouvoir uriner. Ils se rendus compte que le frottement contre les sous-vêtements se faisaient moins ressentir. Le préservatif reste un élément fragile.
Un produit plus approprié a été développé : http://www.viafin-atlas.com/shop.php
certainement pas assez connus, hélas, pas encore de distributeur en langue francophone mais si vous avez une âme d’investisseur…
rare sont les femmes qui condamnent la circoncision…
Les juges doivent condamner toutes les mutilations qu’elles aient comme prétextes la religion ou la pseudo médecine. Chaque enfant doit pouvoir bénéficier d’un sexe entier jusqu’à devenir adulte.
En ce qui concerne les juifs, j’ai un doute. Un juif ne l’est pas de part sa mère, et non via son père uniquement ?
merci de supprimer toute référence à mon nom