La Chine, suite 3,

les dynasties primitives.

La dynastie de Han de -206 à +200 ap, J.C.

 

Introduction

La fin des Qin est suivie d’une période incertaine durant laquelle plusieurs prétendants à la succession s’opposent jusqu’à ce que l’un d’entre eux, un petit fonctionnaire des Qin, Liu Bang, l’emporte et fonde une nouvelle dynastie qui prend le nom de Han. Le fondateur des Han est connu sous le nom de Gaozu. Si dans les premières années de la dynastie Han, la centralisation instaurée par les Qin a pu sembler un temps remise en question par la distribution de fiefs à des proches parents de l’empereur, très rapidement une reprise en main s’opère et aboutit à une nouvelle centralisation du pouvoir. Des Qin aux Han, sur fond de rivalité entre les pouvoirs régionaux et le palais impérial, on peut parler de continuité politique, institutionnelle et administrative. Christine N’Guyen Tri.

 

Tripode en terre cuite peinte dynastie des Han antérieurs fin du troisième siècle jusqu’au premier siècle après J.C.

Ce fut la première dynastie à adopter le confucianisme, voir la suite 1, qui devint le soutien idéologique de toutes les dynasties jusqu’à la fin de la Chine impériale. Sous la dynastie Han , l’histoire et les arts s’épanouirent, de nouvelles inventions améliorèrent la vie et des empereurs comme Wu Di -156 à -87 de son nom personnel Liu Che, est le septième empereur de la dynastie Han -140 à -87. Il est considéré, avec les empereurs Taizong dynastie Tang 618 à 907 et Kangxi dynastie Qing 1644 à 1912, comme l’un des plus grands empereurs de l’histoire de la Chine. Parmi les inventions des Han on peut citer le papier, l’encre et le collier d’attelage des chevaux. Les empereurs Han renforcèrent et étendirent l’Empire chinois en repoussant les Xiongnu (quelquefois assimilés avec les Huns), en soumettant des territoires à l’ouest, dans le bassin du Tarim, et au sud, et au Viêt Nam. Les Xiongnu entrèrent dans l’histoire, – 245, à l’occasion de l’affrontement contre le royaume de Zhao – 453 à -228, l’un des sept États qui composaient la Chine pendant la Période des Royaumes Combattants, voir la suite 2. La Chine était alors divisée en Royaumes soumise a des conflits permanents. Avec l’établissement de la route de la soie, on observe pour la première fois l’apparition d’un commerce entre la Chine et l’Occident. La population Chinoise est estimée à 60 millions d’habitants. Voir le tableau des empereurs Han ici.

 

Les routes de la soie.

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En chinois le terme di signifie Dieu, empereur, et Wu signifie guerrier, Wu di est souvent écrit en entier. Lui signifie empereur de la dynastie Han, l’appellation conventionnelle des empereurs est : nom de la dynastie + nom posthume.

 

periode-grande-unite-feodale18.1258125260.jpgLiu Bang.

La dynastie Han seconde des dynasties impériales, fût suivie par la période des Trois Royaumes 220 à 265, et fondée par l’empereur Gaozu de -202 à – 195, également connu sous le nom de Liu Bang chef de guerre d’origine paysanne révolté contre la dynastie Qin. Elle compta vingt-huit empereurs. Première dynastie impériale par sa durée, elle se divise en Han antérieurs -206 à + 9, capitale Chang’an, et Han orientaux 25 à 220, capitale Luoyang, séparés par la courte dynastie Xin fondée par Wang Mang, qui est du premier siècle avant notre ère n’ayant compté qu’un seul empereur dignitaire de la cour des Han et qui s’est emparé du pouvoir en 9 après J.C..Il s’efforça de mettre en pratique l’idéal social et politique des classiques confucéens, projet irréaliste qui s’acheva dans le chaos et la perte de sa courte dynastie en 23, la laissant avec une réputation d’usurpateur.

Les quatre siècles de domination de la Dynastie Han sont généralement considérés comme un des âges d’or de l’histoire de la Chine. Jusqu’à aujourd’hui, le groupe ethnique majoritaire du pays se désigne lui-même comme étant le «peuple Han». Le triomphe du confucianisme, qui sous les Han voit en la présence de Tong Tchong-chou mort en 105 av J.C. un de ses plus brillant philosophes, suscite un développement considérable du genre historique, les Chinois considéraient l’histoire comme l’outil de base du politicien. Deux ouvrages mi-historiques mi-encyclopédiques sont composés sous les Han, Le che-ki, mémoires de l’historien de Seuma Ts’ien -145 à – 86 et l’histoire des Han de Pan Kou de -32 à – 92.

     

La dynastie Han

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À l’issue de ses conquêtes, le territoire de l’empire atteignait quasiment la taille de la Chine actuelle, excepté le Tibet.

 

L’idéologie politique des Han, Gaozu conscient des souffrances de la population sous les Qin et durant la guerre Chu-Han, voir la suite 2, mit en place un régime favorable à la classe paysanne, destiné à reconstituer les forces du pays. Les impôts furent réduits, et les lois légistes très dures pour le peuple furent partiellement révisées. Il imposa par contre lourdement les marchands dont il chercha à limiter les activités, probablement en réaction contre le rôle qu’ils avaient joué dans la dynastie précédente, Qin. On peut interpréter la politique de cet homme d’action comme pragmatique et réaliste plus que comme un signe d’adhésion délibérée à une quelconque idéologie. Ses successeurs immédiats poursuivront sa ligne. Wen di empereur de nom Liu Heng -179 à -157 et Jing di empereur Liu Qi -156 à -141 sont connus comme des partisans du huanglao, mélange de taoïsme et de légisme qui préconise pour le souverain le wu-wei, (le wu-wei est le principe d’action du sage qui agit en harmonie avec le Taoïsme, à l’extérieur comme à l’intérieur, wu signifie ne pas et wei acte, effort, ne pas aller au delà…), c’est à dire la non-intervention, attitude en accord avec la politique d’allègement des impôts et des peines légales. Leur règne, pendant lequel le pays connait une certaine prospérité et une paix relative, est vanté par l’histoire comme une période bénéfique à la population. Leur successeur Wudi adoptera le confucianisme comme idéologie politique, mais dans la réalité, des dispositions légistes resteront en place pour le contrôle de la population et le huanglao continuera d’exercer une certaine influence.

 

180px-daodetianzun.1258062413.jpgLao Tseu en taoïste avec un éventail à la main.

Le terme huanglao signe un courant de pensé Chinois caractéristique de la dynastie Han ayant des affinités légistes et taoistes. Avec le choix par Wudi du confucianisme comme idéologie politique officielle grâce aux efforts de lettrés comme Dong Zhongshu -195 à -179 lettré confucianiste de la dynastie des Han Antérieurs, le Huanglao serait devenu un courant religieux taoïste intégrant la croyance aux immortels et aux sorciers, huangdi empereur jaune souverain mythique de l’antiquité Chinoise -2597 à -2598, et Laozi furent divinisés. Laozi est la traduction Française de Lao Tseu signifiant vieux maitre, est un sage Chinois dont la tradition fait un contemporain de Confucius fin de la Période des Automnes

Le taoisme est une religion développant un système de pensées religieuses et philosophiques. il constitue un syncrétisme complexe qui s’est développé en Chine au VIe siècle av. J.-C. Né parallèlement au confucianisme mais en rupture avec lui, le taoïsme est devenu, avec le bouddhisme, l’une des deux grandes religions chinoises. On peut dire que le taoïsme est la religion de la «Chine profonde», car il fait appel à des croyances d’une tradition forte ancienne touchant les couches les plus populaires de la société. Face au confucianisme, philosophie humaniste officielle insérant l’homme dans un univers avant tout moral et social, le taoïsme, lui, se montre davantage préoccupé de l’individu, de sa conscience et de sa vie spirituelle, voire spéculative, dans sa recherche d’une harmonie avec la nature et l’univers.

 

Les Han antérieurs, – 206 (prise de Xianyang), -206 date officielle à -9.

 

periode-grande-unite-feodale17.1258125282.jpgXuiang Yu.

Durant les trois ans suivant la mort de Qin Shi Huangdi à Shaqiu, voir la suite 2, de nombreuses révoltes naquirent, aussi bien populaires que venant des descendants de l’aristocratie des Royaumes combattants supplantée par les Qin. La première importante fut celle de deux officiers mécontents, Chen Sheng général subordonné à Liu Biao cousin lointain de Liu Bei puissant ministre de l’empereur Han, et Wu Guang capitaine dans l’armée avec Chen Sheng, ce sont deux dirigeants de la révolte paysanne à la fin de la dynastie des Qin. Parmi les chefs de la rébellion devenue générale, finirent par émerger deux figures principales, l’aristocrate Xiang Yu, général de Chu, et son subordonné et rival Liu Bang. Lors de la guerre entre le Chu et le Han qui éclata entre ces deux prétendants au titre d’Hégémon, (Hégémon de Thasos – 245 poète comique Grec auteur de parodies), Liu Bang, émergea en vainqueur après sa victoire décisive à la bataille de Gaixia en -202. Poussé par ses courtisans, il prit le titre d’empereur, Huangdi et sera désigné après sa mort comme Han Gaozu

Après la défaite de la révolte de Chen Sheng et de Wu Guang, Liu Bang et Xiang Yu continuèrent de diriger les paysans contre les Qin. En 207 avant J.-C., à Julu (au sud-ouest de Pingxiang, province du Hebei), Xiang Yu, avec une force inférieure en nombre, infligea une défaite écrasante à la force principale des troupes Qin. En même temps, Liu Bang assiégea Xianyang et mit fin à la dynastie des Qin. Après la chute des Qin, Xiang Yu se proclama roi hégémon de Chu Antérieurs et nomma Liu Bang roi de Han.

Le nom de Han est à l’origine celui du fief donné à Liu Bang par Xiang Yu après la chute des Qin, englobant les actuels territoires du Sichuan, de Chongqing et le Sud du Shaanxi, dont la capitale était près de l’actuelle Hanzhong au Shaanxi, dans la vallée de la Han, affluent du Chang Jiang. Bien que -202 soit l’année de sa proclamation officielle par Gaozu, les historiens la font généralement débuter en -206, lorsque celui-ci entre à Xianyang, ancienne capitale des Qin

En – 202, Liu Bang assiégea Xiang Yu et réussit a l’encercler à Gaixia (dans l’actuelle province de l’Anhui). Dans la nuit, Xiang Yu entendit les chants de Chu venant des camps des troupes de Han qui l’entouraient, il pensa que le territoire de Chu était déjà entièrement occupé par l’armée de Han. Plein de regret et de chagrin, il fit ses adieux à sa concubine favorite Yuji, rassembla 800 cavaliers pour s’ouvrir une route et s’enfuit. Poursuivi sans relâche par les troupes de Han, il finit par se donner la mort à Wujiang (nord-est de l’actuel district de He de la province de l’Anhui). L’héroïsme de Xiang Yu a toujours été l’objet des éloges des générations suivantes.

 

La dynastie Xin 9 à 25 ap J.C.

A la fin des Han Antérieurs dernier empereur Lui Ying 6 à 8 ap J.C., apparaît la courte dynastie Xin (renouveau) du premier siècle avant notre ère n’ayant qu’un seul empereur Wáng Măng 9 à 23, un dignitaire de la cour des Han, s’est emparé du pouvoir en 9 apr. J.-C.. Il s’efforça de mettre en pratique l’idéal social et politique des classiques confucéens, projet irréaliste qui s’acheva dans le chaos et la perte de sa courte dynastie en 23, le laissant avec une réputation d’usurpateur. Il tenta ainsi d’imposer un système où l’État, propriétaire de toute la terre, la distribue aux familles de paysans payant l’impôt, la superficie attribuée étant calculée selon le nombre et le sexe des membres de la famille. La majorité des activités professionnelles et le prix des denrées essentielles devaient être aussi placés sous contrôle de l’État. Cependant, sans aucune connaissance pratique ni du terrain ni des réalités économiques, impuissant à forcer effectivement les grands propriétaires à restituer leurs terres et libérer leurs serfs, il n’engendra que mécontentement et fut tué en 22 dans une révolte d’origine populaire constituée de deux armées, les «Sourcils rouges» et les «Forêts vertes». Le dernier empereur est Geng Shi di , Liu Xang 23 à 25 ap J.C. Il marque la reprise du pouvoir par le clan Liu après l’éphémère dynastie Xin. Il doit faire face à des guerres civiles et meurt étranglé sous l’ordre de son successeur Guang Wu Di, Liu Xiu premier des Han orientaux.

 

Les Han Orientaux 25 à 200 ap J.C.

Les révoltés étaient encouragés par le fait qu’ils avaient avec eux un descendant de Jingdi, Liu Yan était un général de l’un des grands soulèvements contre la dynastie Xin de la Chine et de son empereur, Wang Mang, désireux de reprendre le trône comme le promettaient les écrits prophétiques chenwei en cours à l’époque. Néanmoins, les rebelles préférèrent finalement soutenir Liu Xuan, cousin de Liu Yan considéré comme aisément manipulable. Ce fut lui qui tua Wang Mang et se proclama empereur Geng Shi di. Son incapacité poussa toutefois rapidement les Sourcils rouges à s’en débarrasser. Il est renversé puis tué. Liu Xiu, frère de Liu Yan mort entre-temps, le remplace et se proclame empereur Guang Wu Di, premier des Han orientaux, il transfère la capitale à Luoyang.

Après une dizaine d’années de luttes, Guang Wu Di réussit à imposer son pouvoir contre les grands féodaux et d’autres descendants réels ou prétendus d’empereurs des Han Antérieurs. Il mit en place des réformes destinées à corriger les vices qui avaient causé la perte de ses prédécesseurs, sans toutefois réussir à éliminer le plus grave d’entre eux, le système fiscal faisant reposer l’essentiel du poids de l’impôt sur les paysans libres. Aucun de ses successeurs ne put réellement empêcher les grands propriétaires et les courtisans d’étendre leur pouvoir au détriment du bon fonctionnement de l’État. Malgré un certain optimisme pendant le règne des trois premiers empereurs, la situation des finances continua de se détériorer, d’autant que les luttes aux frontières ne cessèrent jamais. Le système des examens, des promotions et démissions de la fonction publique fut corrompu par le népotisme, donnant naissance à un conflit exacerbé entre les eunuques et les fonctionnaires confucéens, ainsi qu’au qingyi, débat philosophique sur les qualités requises d’un bon ministre et d’un sage gouvernant.

Comme la courte dynastie Xin, les Han Orientaux disparurent dans un climat de révolte. En 184, sous l’empereur Ling Di, Liu Hong 168 à 189, la secte taoïste Taiping fondée par Zhang Jiao, proclamant la fin proche de la dynastie qui devait laisser place au règne de la Grande paix (Taiping dao est avec l’école des cinq boisseaux de riz l’une des premières sectes taoïstes connue basée sur le canton de Taiping), donna naissance à un soulèvement organisé, celui des Turbans Jaunes. Leurs attaques militaires, débutées en 185, devinrent une menace très sérieuse entre 189 et 192, qui ne fut éradiquée qu’en 205, laissant les généraux qui l’avaient combattue encore plus conscients de leur puissance. Les principautés périphériques avaient de fait repris leur indépendance. Cao Pi écrivain Chinois fondateur de la dynastie Wei, fils de Cao Cao seigneur de guerre écrivain et poête de la fin de la dynastie Han, ancien secrétaire impérial et prince de Wei, força Xian Di, Liu Xie 189 à 220 à abdiquer, mettant officiellement fin à la dynastie Han. Il se proclama empereur cette même année, mais ses prétentions furent immédiatement contestées par Liu Bei, membre éloigné de la famille impériale et roi de Shu, qui se déclara successeur de Xian Di. Sun Quan, roi de Wu était un seigneur de guerre à la fin de la dynastie Han et premier fondateur de la dynastie des Wu Antérieurs début de la période des Trois Royaumes, les imita en 222. De ces Trois royaumes, Wei sortira vainqueur, mais ne réunira pas l’empire pour autant. Il faudra pour cela attendre la dynastie Sui.

 

Le Bouddhisme.

250px-buddhahead.1258136302.JPGGandhara Bouddha premier et second sècle, musée Guimet.

C’est au premier siècle que le bouddhisme pénétra en Chine par l’intermédiaire de l’Empire kouchan. La légende rapporte que l’empereur Ming Di, Liu Zhuang 58 à 75 rêva d’un homme qui semblait fait d’or.

Le bouddhisme y est devenu à partir de la fin du IIIe siècle l’un des trois principaux courants idéologiques et spirituels (les Trois écoles, sānjiào) avec le confucianisme et le taoïsme, tout en y poursuivant son évolution. À l’exception de certaines influences vajrayana (bouddhisme tibétain) ou hinayana, les principaux courants actuels des bouddhismes japonais, coréen et vietnamien proviennent d’écoles mahayana qui sont nées ou ont pris leur essor en Chine.

Cette nouvelle religion présentait des caractéristiques en désaccord avec l’idéal moral et social façonné par le confucianisme. Ainsi, le célibat monastique adopté en vue du perfectionnement spirituel individuel contrevenait au devoir de contribuer de façon productive à la famille et à l’empire, au détriment de l’accomplissement personnel si nécessaire. Il répondit en mettant en avant des sources indiennes, à l’origine mineures, présentant son utilité sociale et promouvant la piété filiale. On vanta l’efficacité des prières des moines pour délivrer, le cas échéant, ses parents de l’enfer, notion que le bouddhisme dota d’éléments indiens et d’une riche iconographie. Dès lors, dans l’ensemble syncrétique de la religion chinoise, les rites mortuaires feront souvent appel à lui. Avec le taoïsme il offrait des similitudes extérieures. Au début, il en fut parfois considéré comme une forme, et le vocabulaire taoïste servit à traduire celui des soutras. Certaines notions se confondirent au point qu’il est parfois impossible de démêler précisément les deux influences. Une tradition ancienne prétendant que Lao Zi partit vers l’ouest à la fin de sa vie donna naissance à la légende taoïste qui affirme qu’il est en fait le Bouddha (Siddhārtha Gautama du clan Śākya, dit Shākyamuni ou le Bouddha, fondateur historique d’une communauté de moines errants, qui devint par la suite le bouddhisme), elle sera utilisée comme propagande quand les deux courants deviendront concurrents. Le taoïsme développa son monachisme pour imiter les grands monastères bouddhistes. Néanmoins, les contacts et échanges entre les deux religions ne cessèrent jamais, on les trouve réunis dans la religion populaire, certaines formes du Chan, les courants syncrétistes nés sous les Song et les nouveaux courants religieux apparus au XIXe siècle.

Après cette ouverture sur les dynasties primitives, le prochain article sera la république de Chine plus proche de nous et surtout plus assimilable

5 réflexions sur « La Chine, suite 3, »

  1. Merci de nous retracer l’Histoire de Chine, [b]Anidom Nidolga[/b] 😉

    C’est un grand plaisir à chaque fois de lire chacun de vos articles !

    Bonne continuation pour cet excellent travail…

    Bon dimanche,

    [b]Benjamin[/b]

  2. [b]Benjamin[/b] bonjour,

    C’est gentil de dire que je retrace l’histoire de la Chine, je n’ai pas cette prétention, mais les dynasties primitives sont peu écrites bien qu’elles montrent la connaissance de ce grand peuple, qui je crois maintien encore cette culture primitive.

    J’espère que les prochaines suites plus contemporaines auront plus de succès

    Bien à vous,

    Anido

  3. Bonsoir Anidon,
    Merci de nous tracer l’histoire de la Chine. Je pense que vous allez nous en parler
    jusqu’à la remise du territoire de HonkHong par le Prince Charles en 1997. C’est des livres
    d’histoires romancées que j’ai lues et sur laquelle vous allez nous parler dans la prochaine
    partie, c’est à dire le XIX siècle l’ile ayant été cédé à la Grande Bretagne en 1842.
    Bien amicalement.

  4. [b]eleina[/b] bonsoir,

    En effet eleina jusqu’à la mort de Deng Xioaping le 19 février 1997 mais je ne m’étends pas sur cet épisode je le site simplement. Il existe de nombreux ouvrages qui retracent cette histoire.

    Bien à vous,

    Anido

  5. [b]Et c’est avec bonheur que je continue à tourner les pages de cette histoire de la Chine…

    Avec toute mon amitié, Anido…

    Dominique[/b]

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