La Chine réclame la libération immédiate de quelques pêcheurs arrêtésparce qu’ils péchaient illégalement dans les eaux territoriales japonaises.
Une source AP a annoncé aujourd’huique la Chine avait augmenté la pression sur le Japonen convoquant son ambassadeur pour demander la libération immédiate des pêcheurs chinois et de leur bateau séquestré près des îles contestées.
Le bateau de pêche est entré en collision avec des navires de patrouille japonais la semaine dernière, après avoir ignoré les avertissements de quitter la région et en refusant de s’arrêter pour une inspection.
L’incident de mardi s’est produit près de Kubaune île du Japon, juste au nord des îles contestées, à environ 200 kilomètresà l’est de Taiwan. Les îles sont contrôlées par le Japon, mais elles sont également revendiquées par la Chine, quia demandé au Japon de trouver une« sage résolution politique» et la libération de l’équipage du bateau « immédiatement ».
Les fonctionnaires japonais ont trouvé des poissons sur le bateau et ils ont observé qu’ils ont été capturés illégalement dans les eaux que le Japon considère comme son territoire.
Le ministère des Affaires étrangères de la Chines’est déclaré fermement opposé à toute forme d’enquête par les autorités japonaises dans le bateau de pêche.« La Chine, a dit un fonctionnaire, exhorte donc le Japon à cesser ses actions et à libérer immédiatement et inconditionnellement l’équipage et le navire ; c’est la seule façon de résoudre le problème ». Les autorités japonaises ont répondu queles autres14 membres d’équipage sont restés sur le bateau de pêche et ils ne peuvent pas atterrir au Japon, parce qu’ils n’ont pas de passeports ; mais qu’ilssont libres de rentrer chez eux, si la Chine envoie un navire pour les embarquer.
S’exprimant devant les parlementaires nationaux et européens,
réunis ce mardi à Bruxelles, le secrétaire général de l’OTAN,
a confirmé qu’il envisageait dans ses différentes propositions
qu’il fera au sommet des Chefs d’Etat et de gouvernement à Lisbonne
« de mettre en place une petite capacité civile au sein de l’OTAN ».
S’exprimant devant les parlementaires nationaux et européens,
réunis ce mardi à Bruxelles, le secrétaire général de l’OTAN,
a confirmé qu’il envisageait dans ses différentes propositions
qu’il fera au sommet des Chefs d’Etat et de gouvernement à Lisbonne
« de mettre en place une petite capacité civile au sein de l’OTAN ».