La position des médias officiels est on ne peut plus claire: il n'y a pas de krach immobilier en France. Tout au plus un ralentissement des ventes avec une stagnation des prix moyens, et quelques baisses dans certaines villes de province.

La vérité est moins rose. La France est en effet entrée à son tour, après les Etats-Unis, l'Espagne, l'Angleterre, dans un krack immobilier qui sera probablement aussi vigoureux que celui de 1991. A cette époque, les prix avaient été divisés par deux en moins de deux ans !

Nous avons interrogé les professionnels du déménagement: ils sont unanimes, leurs clients principaux sont aujourd'hui … les banques et les huissiers, qui sont mandatés pour expulser de leurs logements les propriétaires devenus insolvables.

Des situations difficiles même pour les déménageurs, qui sont payés pour ces délicates tâches jusqu'à 20% plus cher que la normale.

Certains agences immobilières plus transparentes que d'autres confirment: seules les biens dévalués de 10 à 20% partent rapidement. Les autres restent invendus, sans recevoir aucune visite. 

Mais me direz vous pourquoi les médias nous cachent-ils la vérité ? La réponse est fort simple. Les médias n'ont pas intérêt à un krach massif, car ils tirent leurs revenus de la publicité: crise immobilère implique crise économique implique budgets publicitaires coupés.

Chers reporters et lecteurs de come4news, apportez vous aussi vos témoignages sur le krack immobilier qui se profile.