Jean DOLANDE et la Galerie Vera AMSELLEM à Paris

               Après l’exposition RedLine présentée à Paris, en juillet 2008 Place Saint-Germain, et en mars 2009 au Pavillon d’Art Contemporain, et l’enterrement d’une de ses œuvres au Cimetière du Père Lachaise le premier novembre 2008, le parcours artistique de Jean Dolande fait étape cette fois-ci dans le quartier du Marais.La Galerie Vera Amsellem, du nom de sa Directrice, réserve un accueil tout en sourire naturel et en contact amical. Elle partage, de toute évidence, la volonté d’ouverture et la passion de la créativité de son invité. C’est ainsi que le concept qui a été mis en place ne peut s’entrevoir que par la complicité entre des esprits libres et éclairés. L’espace n’a pas de limite dans leur univers. Et le quartier du Marais offre, de la plus belle façon, la tribune d’un monde fantastique où tout est permis entre la liberté, la tolérance, et l’amour des arts qui peut s’exprimer dans la rue.Dans cette dimension ainsi établie, Véra Amsellem et Jean Dolande sont en mouvement permanent, vont ici et entre là. La vie s’affine dans toute sa splendeur de l’amitié à l’échange, de l’émotion au rire.           

Dans une telle atmosphère, les œuvres de Jean Dolande peuvent donner toute leur saveur et leur puissance, de la peinture à la sculpture, avec comme point d’orgue la mise en scène théâtrale prévue. Dans la continuité de ses expositions précédentes, il a disposé deux de ses statues sur le trottoir opposé de la galerie. De couleur rouge vif, sur la base d’un socle de toilette, elles représentent deux des symboles de la misère de notre monde que l’artiste dénonce : le buste à la tête sans cheveux incarnant les Droits de l’Homme bafoués, et les mains suppliantes pour la détresse de la faim. Elles sont encadrées chacune par deux  mystérieux gardes au masque rouge d’un côté et deux  au masque noir de l’autre, tous au regard impénétrable. Entre elles, se trouve la représentation symbolique de la pureté toute blanche sur un socle de même modèle sur laquelle se tiennent, immobiles, des sphères …        

Soudain, au milieu des conversations, surgit l’ange libérateur en tenue et masque blanc. Sortit de nulle part, son apparition est annoncée par la vibration lourde et profonde d’un gong à coups réguliers donnés par un autre garde au masque rouge. Lentement, dans un mouvement décomposé et léger, l’ange s’approche de la statue blanche. Le moment est intense dans son mystère et dans son harmonie. Arrivé devant l’objet pur, l’ange prend une masse et commence son œuvre destructrice et salutaire. Les boules blanches jaillissent du socle renversé et défoncé. Les forces de la vie sont enfin libérées !Les masques tombent et la pression retombe sous les applaudissements du public qui occupe massivement la totalité de la rue, et qui est encore sous l’émotion des instants irréels qu’il vient de vivre. L’aspect solennel du moment a été accentuée par le respect des automobilistes parisiens qui ont attendu la fin de la cérémonie sans la moindre protestation.Devant l’affluence de l’arrivée des amis et du public dans l’espace galerie-rue, l’ange réapparait une seconde fois avec autant de force et de magie.        

Une fois de plus, le message est passé. L’artiste, dans son aspiration à être la lumière du monde, a renouvelé son action dans l’instant présent de la réalité. Le cri de révolte à deux visages explose à chacune de ses apparitions avec plus d’énergie et de volonté. Oui, le monde est en danger ! Oui, l’art contemporain existe et il est bien là pour le rappeler !        

Les acteurs médiatiques n’ont pas raté ce nouveau rendez-vous avec la télévision Bouddhachannel Internet, et de nombreux photographes de plusieurs organes journalistiques. Plusieurs personnalités, dont le Prince et la Princesse de Bourbon, sont venus pour apporter leur soutient à la démarche artistique et humaniste du créateur.        

La Galerie Véra Amsellem a rempli sa mission de lieu d’expression des arts et de la culture avec l’éclairage exceptionnel d’un artiste au devenir exponentiel, Jean Dolande, dans la mise en valeur de son talent.

Jean DOLANDE : www.jeandolande.com 

 Galerie Véra AMSELLEM : 48 rue du Roi de Sicile 75004 Paris  M° Hôtel de Ville / Saint-Paul  É + 33 (0) 1 40 29 47 34 

La télévision Buddhachannel www.buddhachannel.tv  

 

Photographies : Robert Desgroppes   :  [email protected]

Jean-Jacques Kelner :  [email protected]                                                   

 

 

Jean DOLANDE

et La Galerie Véra AMSELLEM à Paris 

 

Exposition du 9 avril au 30 avril 2009

Vernissage du 9 avril 2009 

 

  L’Art contemporain :

De la galerie à la rue !

Du message de paix à la révolte !  

Une réflexion sur « Jean DOLANDE et la Galerie Vera AMSELLEM à Paris »

  1. A l’Administrateur :

    Serait-il possible de remettre le texte dans l’ordre ? Le titre en haut et le texte en dessous ?
    Merci d’avance.

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