Depuis l’année dernière, mon fils se proposait de m’acheter une tablette.
Je la visualisais, moyennement, mais ne pensais pas que je pourrai en avoir l’utilité. Je pensais qu’à l’utilisation, elle serait moins aisée que mon ordinateur portable.
Cette année, il a décidé, entre l’occasion de ma fête et de mon anniversaire, il me l’a « imposée ». Me connaissant, il savait fort bien que je ne ferai pas de dépenses dans cette technologie, ayant déjà mon ordi. Sachant aussi que peu de dépenses en d’autres domaines ne me tentent plus.
C’est ainsi, moins les objets m’envahissent, plus je me sens riche.
J’ai donc commencé mes errances sur la tablette. A utiliser : posée sur son socle tel un écran, ou à la main, tel un bouquin.
Merveille des merveilles, chaque jour, je découvre une nouvelle fonction.
Sa première qualité, ne vous moquez pas, est qu’elle tient dans mon sac.
Je peux ainsi, voyager. Continuer à « dévorer » mon livre en cours. Dessiner les esquisses qui me viennent à l’esprit. Consulter les mails du jour.
J’ai programmé la météo, ainsi prévoir : barbecue, plage-bronzette, ou …rien du tout, si la pluie m’est annoncée. Savoir qu’il m’est inutile d’arroser le jardinet, puisque le ciel va s’en charger.
Je retourne toutes les icônes, à la recherche de la bonne. Je personnalise ma tablette à ma tête.
Je vais de sites en sites, me saoulant de toutes les infos que je recherche quand il me faut.
Je sais que durant les mois suivants, sous ma couette ou au fond de mon canapé, je n’ai pas fini de trouver de nouveaux bonheurs à l’utiliser. Elle va dans le sens de la mobilité, de l’indépendance avec son autonomie. Elle me garantit une bonne journée, même loin de la prise de courant.
Pour écrire, j’ai adopté la technique du « swype ». Ce choix permet d’écrire les mots par un glissé du doigt sur le clavier, de lettre en lettre. Il vous est proposé alors quelques suggestions. Vous confirmer le mot sans avoir à rajouter l’espace, que cette fonction insère à votre place. Sur mon téléphone je l’utilisais déjà. C’est pour cette raison, qu’en navigant je cherchais cette commodité.
En elle-même, la tablette, n’est pas d’une grande révolution d’utilisation, mais quel bonheur de m’apercevoir, que je ne suis plus liée à un endroit pour effectuer les activités désirées.
J’ai toutes les longues soirées de l’hiver proche pour configurer et découvrir d’autres tâches qu’elle voudra bien accomplir à ma place. Si j’étais patiente, je téléchargerai un extrait des « nuls en tablette », et installée confortablement, m’instruirait sur ce nouvel engouement.
Je laisse faire le temps, de peut-être vos commentaires, pour apporter quelques astuces, et ainsi en savoir plus. Merci de vos contributions.
Au début, on reste sceptique aux toutes nouvelles technologie, mais lorsqu’on là, on commence à l’apprivoiser.
bonjour Ecriveuse. je suis comme vous un inconditionnel du pc portable mais c’était sans compter votre don pour intéresser vos lecteurs à vos articles. après lecture je me demande si finalement je ne vais pas aller voir un pro et me faire faire une démonstration. vous semblez tellement heureuse d’avoir votre nouvel outil!
à bientôt – JP
Vous résumez parfaitement la situation, on se dit que non la tablette n’est pas utile si on possède un pc portable et pourtant … l’un et l’autre sont bien différents et cela même dans l’autonomie.
Je pense qu’il faut en avoir la sérieuse utilité pour aborder ces produits d’informatique. les PC familiaux au départ étaient un plaisir qui souvent aprés quelques semaines finissaient sous une toile dans un coin d’une chambre. Internet réveilla le produit, mais ce fut pour des futilités souvent. j’ai abordé le PC plus tard quand réellement le besoin profesionnel s’est fait ressentir et ensuite pour la communication, sans être un fou du dernier produit. Idem cette plaquette, certes intéressante mais si c’est pour éviter d’aller du lit au bureau en faisant venir le bureau au lit, pas vraiment indispensable. Profesionnellement certainement plus, se retrouver avec tous ses dossiers en pôche lors de ses déplacements doit être trés bien voir indispensable maintenant, au lieu de trainer la sacoche et de passer dix minutes à tout installer. Mais à force de mettre la machine plus proche de l’homme bientôt elle sera greffée sur le corps, des essais existent déja il semble… En gagnant des choses l’homme en perd aussi, pas étonnant tout ce stress quand on ne sait plus déconnecter parfois…
PH
[b]Une petite goutte d’eau :
J’ai eu la chance, en plus de mon Imac 27 pouces sur lequel je suis , là maintenant, et sur lequel j’écris et publie mes articles,.
J’ai eu la chance d’avoir reçu en cadeau d’anniversaire un MacBook Air 17 pouces.
Je le préfère à la tablette, mais il est évident que je ne l’utilise pas de la même façon.
Lui aussi me sert à écrire et publier mes articles sur C4N.
Mais où que je sois, avec une connexion, je suis « chez moi ».
Seul inconvénient je préfère la souris au track-pad, mais c’est accessoire.
Il a les même fonctions que l’Imac, j’y ai ma musique, mes photos, facebook, Word que j’ai installé n’aimant pas du tout Safari, et son open office, j’ai donc frefox, etc, etc..;
Un Imac de poche qui ne pèse pas plus d’1kg.
La plaquette serait de trop, donc je n’en aurai pas.
Le MBA rentre également dans mon sac à main, bien protégé par un « collant » que j’ai baptisé un soutien gorge.
Mon voisin, fan de la tablette y trouve son bonheur, tout comme vous.
[/b]
Seul regret en ce qui concerne ma tablette : quelle lenteur !
Sinon, quelle utilité !
Seul regret en ce qui concerne ma tablette : quelle lenteur !
Sinon, quelle utilité !