J’ai 30 ans, je fais mon arbre généalogique

Les trentenaires amateurs de généalogie.

Voilà de quoi étonner, mais c’est plutôt logique Selon le Figaro du 3 mai 2010, "deux tiers des moins de 35 ans auraient déjà entrepris des recherches généalogiques sur leurs ancêtres". C’est surprenant, car on s’imagine le généalogiste plutôt retraité. Et personnellement, je croyais bien faire exception à la règle.

J’avais des antécédants plutôt favorables pour commencer ma recherche sur mes ancêtres. J’ai une licence d’Histoire, je disposais chez mes parents de beaucoup de documents me permettant de remonter jusqu’au début du 19ème siècle pour certaines branches de ma famille.

Mais cet article m’a montré que je ne suis pas toute seule. Et à bien y réfléchir, ça s’explique de façon plutôt logique.

Beaucoup de trentenaires sont partis s’établir loin de leur région d’origine. Ils éprouvent alors un besoin de retour aux sources. C’est humain, chacun a besoin de savoir d’où il vient, de connaître ses racines.

En plus, internet permet maintenant de faire de chez soi des recherches généalogiques. Pas mal d’archives départementales ont mis leur état-civil en ligne. C’est le cas de Paris, de la Seine et Marne, de la Saône et Loire……Et cette génération de trentenaire tombe, utilisatrice d’internet y trouve son bonheur.

Voilà de quoi assouvir les curiosités de pas mal des gens de ma génération et des autres aussi.

Une réflexion sur « J’ai 30 ans, je fais mon arbre généalogique »

  1. Oui, c’est important pour beaucoup!

    Il faudrait voir si ce sont les personnes qui se sentent bien dans leur famille, oucelles qui ont des problèmes avec qui sont le plus attirées pour ancrer des racines profondes!

    Et à côté de ça, les enfants adptés, comment ressent-ils ce phénomène de mode ?

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