On peut être impressionné par la capacité de ce pays, Israël, à continuer à faire croître son économie dans un climat de guerre permanent. Le business en Israël se fait comme si la guerre n’existait pas. Une activité économique pas touchée, certainement grâce au fleuron de l’économie Israélienne qui est la haute technologie. Le marché Israélien, auquel on lie une image d’insécurité, de guerre, de terrorisme, d’attentat, a été souvent négligé par peur de représailles des différents pays du Golfe et entraînant un frein à toute affaire avec l’Arabie Saoudite, Dubaï, ….
Cette 6ème rencontre France-Israël intitulée « La sécurité des biens, des personnes et de l’information » a permis de faire le point sur les relations entre la France et l’Israël, devant plus de 200 professionnels, consultants, intégrateurs, dirigeants d’entreprises. Cette rencontre sponsorisée par Check Point
a permis à des entreprises Israéliennes comme Check Point, Aladdin, Imperva, Promisec de rencontrer des entreprises Françaises afin d’étudier des opportunités de collaborations.
Aujourd’hui, la société Promisec, experte dans la sécurité informatique interne, fournit au CNAM en France une solution pour protéger des fichiers qui doivent rester confidentiels. Promisec intervient pour vérifier que les règles de sécurité définies au sein de l’entreprise sont respectées par les utilisateurs et relève des éventuelles violations (identification de vecteurs d’attaques internes ou externes malgré les solutions de défense déjà installées).
Israël est un leader mondial de la sécurité informatique et notamment dans la protection des logiciels et de la fabrication d’antivirus. Des synergies existent cependant entre les deux pays dans différents domaines : la cryptographie, la signature électronique, les cartes à puce, la sécurité, le sans-fil, le logiciel ….
L’environnement a radicalement changé dans le domaine de la sécurité (terrorisme international, crises internationales, désastres naturels); il est devenu incertain et nécessite des solutions spécifiques pour le gérer. Le niveau de sécurité des biens et des personnes doit donc être élevé de par la mobilisation d’outils techniques et technologique.
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