Depuis plusieurs jours en France, les cours d’eau s’affolent et sortent de leur lit. La conséquence : des inondations encore et toujours, comme chaque année, sans que rien ne soit fait pour arranger les choses les années suivantes.
En effet, pourquoi chaque année regardons nous toutes ces maisons se noyer sous les eaux ? Heureusement que bien souvent comme cette année, les pertes humaines françaises ne sont pas nombreuses, mais vous me répondrez que nous sommes malheureusement, lorsque la nature se déchaîne, impuissant face à sa verve impitoyable.
Pourtant l’homme est connu pour être l’espèce animal qui, grâce à ses capacités intellectuelles, a su s’adapter le mieux à son environnement. En l’occurrence, de nos jours aidés des moyens météorologiques et géographiques dont nous disposons, impossible pour les communes de France de ne pas savoir si elles sont inondables par temps de crue et dans quelles proportions…
L’Etat français connait-il Venise ? Ou bien encore les Pays – Bas ? Deux exemples géographiquement assez éloignés mais dont le problème fut bel et bien le même : l’eau.
Pour la première, ville des amoureux, connue à travers le monde pour deux choses principalement : son Carnaval, et la manière dont cette citée a été fondée, sur l’eau.
Pour le second, les Pays – Bas, comme son nom l’indique, Pays – Bas car pays en grande partie situé en dessous de la mer et dont une grosse partie de ses terres a été gagné sur les mers, grâce à des digues géantes.
Dans ces deux exemples, les habitations sont sur pilotis, et même plus moderne encore au Pays -Bas, puisque certaines habitations dont le risque d’inondation est accrue, sont construites sur pilotis et flottante. C’est-à-dire qu’au cas où les pilotis ne suffiraient plus au niveau impressionnant des eaux, ces maisons flotteraient littéralement sur celles -ci le temps de la crue pour éviter qu’elles soient ravagées…
Idée astucieuse non ?
A réfléchir, cher Etat Français, sur la nécessité dans certaines villes et villages de la construction de telles habitations, ou digue, afin d’éviter que chaque année, des milliers, que dis-je, des millions d’euros soient déboursés par les assurances, et par conséquent par les Français.
Évitant également que des vies et les biens accumulés par diverses personnes soient réduites à néant, voir pire avec la perte d’un être cher.
[b]L’État français et surtout ses fonctionnaires illustrent parfaitement la phrase célèbre opportunément d’actualité [u]APRÈS NOUS LE DÉLUGE[/u] ![/b]