Je suis là, comme un pauvre idiot, ma peau contre la tienne, ton corps presque nu à portée de mes désirs les plus fous.

Tes seins me font de l’oeil et dessinent des ombres brunes à travers la soie de ton tee-shirt.

Ah! que j’aimerais pouvoir les goûter du bout de ma langue si gourmande, les effleurer presque par hasard, en faire un dessert entre mes mains impatientes. Diable, qu’ils sont mignons sous le tissu tendu par la pointe de tes tétons fièrement dressés vers l’avant.

Oui, je l’avoue, tes seins m’émerveillent, m’émeuvent, me donnent des envies de plaisir interdit, des fantasmes inavouables, des frissons à foison et des millions de raisons d’y penser même quand tu n’es pas là… 

Comment tes seins peuvent-ils avoir autant de pouvoir sur mes mains et mes pensées? Pourquoi m’attirent-ils comme des aimants? Est-ce bien normal de les désirer avec autant de force?

Je ne sais plus quoi penser à force de les imaginer virevoltant sous mes yeux ébahis, les sculptant du regard, me mettant les sens en dessous, au bord de l’ivresse, s’amusant à mettre la pagaille dans mes désirs, me laissant à chaque fois en état de manque, comme si tes seins n’avaient rien de mieux à faire que de me donner envie de toi.

Alors s’il te plaît, jolie demoiselle, cesse de me faire languir, mes mains s’impatiente et n’en peuvent plus d’attendre, pire encore, mes yeux deviennent aveugles de ne jamais les voir…

Merci à toi, ma belle amie, d’avoir les plus beaux seins du monde!

Je t’aime.